Le mega projet marocain en vérité ce n'est qu'un accords pour se connecter a partir du Sénégal (Projet d'extension du gazoduc de la communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) ce projet n'a rien à avoir avec le projet Nigeria - Algérie - Europe
27 avril 2016
L’atelier régional pour la validation du rapport préliminaire de l’étude de faisabilité pour l’extension du réseau de gazoduc de l’Afrique de l’ouest s’est achevé jeudi 27 avril à Ouagadougou, au Burkina Faso, sur une série de recommandations aussi bien à l’endroit du consultant ayant réalisé l’étude qu’à la Commission de la CEDEAO.
Les participants ont suggéré, entre autres, qu’une étude de l’offre et de la demande en gaz naturel soit menée pour chacun des 15 États membres de la CEDEAO. Recommandation est également faite au consultant d’analyser la multiplicité des points d’entrée pour l’approvisionnement du gaz, notamment par le Ghana et la Côte d’Ivoire, comme alternative complémentaire à l’approvisionnement du gazoduc par le Nigeria.
S’agissant de l’extension du gazoduc, les participants estiment que celle-ci doit profiter à l’ensemble des 15 Etats membres de la CEDEAO. Toutefois, ils adhèrent à la proposition du consultant de procéder au phasage de l’extension afin de garantir la viabilité économique du projet.
Ainsi, compte tenu des résultats de l’analyse basée sur une multitude de critères, les participants ont validé la proposition du consultant de considérer dans un premier temps la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, et en seconde phase le Niger et la Guinée. Dans une 3ème phase, il sera envisagé une interconnexion à partir du Sénégal et un développement des portions à partir de la Guinée et du Niger pour couvrir les autres États membres de la CEDEAO.
C’est en 2003, en marge du 26ème sommet ordinaire de la CEDEAO, que les présidents Olusegun Obasanjo du Nigéria, Mathieu Kérékou du Bénin, John Kufuor du Ghana et Gnassingbé Eyadema du Togo ont signé un traité pour la construction et l’exploitation réseau de gazoduc de l’Afrique de l’Ouest, afin de transporter du gaz naturel pour la génération d’électricité et les besoins industriels dans la région. Ce projet, d’un coût global d’environ un milliard de dollar US, permet actuellement au Bénin, au Ghana et au Togo de recevoir du gaz naturel provenant du Nigeria.
L’atelier régional pour la validation du rapport préliminaire de l’étude de faisabilité pour l’extension du réseau de gazoduc de l’Afrique de l’ouest s’est achevé jeudi 27 avril à Ouagadougou, au Burkina Faso, sur une série de recommandations aussi bien à l’endroit du consultant ayant réalisé l’étude qu’à la Commission de la CEDEAO.
Les participants ont suggéré, entre autres, qu’une étude de l’offre et de la demande en gaz naturel soit menée pour chacun des 15 États membres de la CEDEAO. Recommandation est également faite au consultant d’analyser la multiplicité des points d’entrée pour l’approvisionnement du gaz, notamment par le Ghana et la Côte d’Ivoire, comme alternative complémentaire à l’approvisionnement du gazoduc par le Nigeria.
S’agissant de l’extension du gazoduc, les participants estiment que celle-ci doit profiter à l’ensemble des 15 Etats membres de la CEDEAO. Toutefois, ils adhèrent à la proposition du consultant de procéder au phasage de l’extension afin de garantir la viabilité économique du projet.
Ainsi, compte tenu des résultats de l’analyse basée sur une multitude de critères, les participants ont validé la proposition du consultant de considérer dans un premier temps la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, et en seconde phase le Niger et la Guinée. Dans une 3ème phase, il sera envisagé une interconnexion à partir du Sénégal et un développement des portions à partir de la Guinée et du Niger pour couvrir les autres États membres de la CEDEAO.
C’est en 2003, en marge du 26ème sommet ordinaire de la CEDEAO, que les présidents Olusegun Obasanjo du Nigéria, Mathieu Kérékou du Bénin, John Kufuor du Ghana et Gnassingbé Eyadema du Togo ont signé un traité pour la construction et l’exploitation réseau de gazoduc de l’Afrique de l’Ouest, afin de transporter du gaz naturel pour la génération d’électricité et les besoins industriels dans la région. Ce projet, d’un coût global d’environ un milliard de dollar US, permet actuellement au Bénin, au Ghana et au Togo de recevoir du gaz naturel provenant du Nigeria.
15 septembre, 2016
La Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a initié une rencontre de deux jours à Dakar sur l’extension du réseau du gazoduc, en vue de renforcer la sécurité énergétique dans la Région.
Cette rencontre organisée à Dakar mardi et mercredi, conjointement par le Département de l’Énergie et des Mines de la Commission de la CEDEAO et l’Unité de Préparation et de Développement des Projets d’Infrastructure de la CEDEAO (PPDU) basée à Lomé, a regroupé entre autre les experts de 12 sur les 15 États membres de la CEDEAO, de l’Autorité du Gazoduc de l’Afrique de l’Ouest (AGAO), de la Société du Gazoduc de l’Afrique de l’Ouest (WAPCo), du Système d’échanges d’énergie électrique Ouest Africain (EEEOA) ainsi que ceux de la Direction de l’Énergie de la CEDEAO et PPDU.
S’exprimant à l’ouverture des travaux, le directeur de cabinet du ministre de l’Énergie et du Développement des Énergies Renouvelables du Sénégal, Mor Ndiaye Mbaye, a indiqué que la diversification des sources d’énergies et le recours aux énergies propres répondant aux enjeux environnementaux constituent un défi important pour la région et pour le Sénégal en particulier.
Par ailleurs, il a déploré la situation énergétique de la région, caractérisée par l’un des plus faibles taux d’accès à l’électricité au monde. Il a précisé que la CEDEAO a placé le développement du marché du gaz au cœur des stratégies, pour soutenir la production électrique...
« Cela nécessite néanmoins que nous travaillions à son optimisation et à son extension aux autres pays de la région afin de leur permettre d’en bénéficier» a déclaré Dr Morlaye Bangoura, le commissaire chargé de l’Énergie et des Mines de la commission de la CEDEAO.
Une étude devant analyser et faire des recommandations sur le fonctionnement actuel du gazoduc et identifier les conditions de son extension aux autres États membres de la CEDEAO a été confiée à un cabinet basé à Londres, en Angleterre. Elle devrait également voir les conditions techniques et économiques pour l’extension du réseau du gazoduc aux autres États membres de la CEDEAO non parties au traité du Gazoduc de l’Afrique de l’Ouest (GAO) et le cas échéant, préparer un schéma pour l’extension et l’interconnexion du réseau de gazoduc dans la région de la CEDEAO en prenant en compte les points de consommation et les sources potentielles de production existantes ou nouvelles.
La Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a initié une rencontre de deux jours à Dakar sur l’extension du réseau du gazoduc, en vue de renforcer la sécurité énergétique dans la Région.
Cette rencontre organisée à Dakar mardi et mercredi, conjointement par le Département de l’Énergie et des Mines de la Commission de la CEDEAO et l’Unité de Préparation et de Développement des Projets d’Infrastructure de la CEDEAO (PPDU) basée à Lomé, a regroupé entre autre les experts de 12 sur les 15 États membres de la CEDEAO, de l’Autorité du Gazoduc de l’Afrique de l’Ouest (AGAO), de la Société du Gazoduc de l’Afrique de l’Ouest (WAPCo), du Système d’échanges d’énergie électrique Ouest Africain (EEEOA) ainsi que ceux de la Direction de l’Énergie de la CEDEAO et PPDU.
S’exprimant à l’ouverture des travaux, le directeur de cabinet du ministre de l’Énergie et du Développement des Énergies Renouvelables du Sénégal, Mor Ndiaye Mbaye, a indiqué que la diversification des sources d’énergies et le recours aux énergies propres répondant aux enjeux environnementaux constituent un défi important pour la région et pour le Sénégal en particulier.
Par ailleurs, il a déploré la situation énergétique de la région, caractérisée par l’un des plus faibles taux d’accès à l’électricité au monde. Il a précisé que la CEDEAO a placé le développement du marché du gaz au cœur des stratégies, pour soutenir la production électrique...
« Cela nécessite néanmoins que nous travaillions à son optimisation et à son extension aux autres pays de la région afin de leur permettre d’en bénéficier» a déclaré Dr Morlaye Bangoura, le commissaire chargé de l’Énergie et des Mines de la commission de la CEDEAO.
Une étude devant analyser et faire des recommandations sur le fonctionnement actuel du gazoduc et identifier les conditions de son extension aux autres États membres de la CEDEAO a été confiée à un cabinet basé à Londres, en Angleterre. Elle devrait également voir les conditions techniques et économiques pour l’extension du réseau du gazoduc aux autres États membres de la CEDEAO non parties au traité du Gazoduc de l’Afrique de l’Ouest (GAO) et le cas échéant, préparer un schéma pour l’extension et l’interconnexion du réseau de gazoduc dans la région de la CEDEAO en prenant en compte les points de consommation et les sources potentielles de production existantes ou nouvelles.
03 décembre 2016
Le Roi Mohammed VI et le Chef de l'Etat du Nigéria, Muhammadu Buhari ont lancé ce samedi 3 décembre, le projet de réalisation d'un gazoduc reliant le Nigéria au Maroc. Il s'agit encore d'un projet, dont le contenu sera défini après les études.
Ce gazoduc régional est appelé à relier les ressources gazières du Nigéria, celles de plusieurs pays d’Afrique de l’ouest et le Maroc.
Projet majeur destiné à favoriser l’intégration économique régionale, le pipeline vise à accélérer les projets d’électrification dans la région, servant de base pour la création d’un marché régional compétitif de l’électricité, susceptible d’être relié au marché européen de l’énergie.
Il permettra aussi de développer des pôles industriels intégrés dans la sous-région, dans des secteurs tels que l’industrie, l’agro-business et les engrais, afin d’attirer des capitaux étrangers, d’améliorer la compétitivité des exportations et de stimuler la transformation locale des ressources naturelles.
L’objectif du projet de gazoduc maroco-nigerian sera donc d’étendre ce pipeline qui ne traverse actuellement que quatre pays ( Nigéria, Bénin, Togo et Ghana) vers le Maroc en passant par Dakar. Le projet d’extension du pipeline vers le Sénégal a été validé par la CEDEAO (La Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest.
Le Roi Mohammed VI et le Chef de l'Etat du Nigéria, Muhammadu Buhari ont lancé ce samedi 3 décembre, le projet de réalisation d'un gazoduc reliant le Nigéria au Maroc. Il s'agit encore d'un projet, dont le contenu sera défini après les études.
Ce gazoduc régional est appelé à relier les ressources gazières du Nigéria, celles de plusieurs pays d’Afrique de l’ouest et le Maroc.
Projet majeur destiné à favoriser l’intégration économique régionale, le pipeline vise à accélérer les projets d’électrification dans la région, servant de base pour la création d’un marché régional compétitif de l’électricité, susceptible d’être relié au marché européen de l’énergie.
Il permettra aussi de développer des pôles industriels intégrés dans la sous-région, dans des secteurs tels que l’industrie, l’agro-business et les engrais, afin d’attirer des capitaux étrangers, d’améliorer la compétitivité des exportations et de stimuler la transformation locale des ressources naturelles.
L’objectif du projet de gazoduc maroco-nigerian sera donc d’étendre ce pipeline qui ne traverse actuellement que quatre pays ( Nigéria, Bénin, Togo et Ghana) vers le Maroc en passant par Dakar. Le projet d’extension du pipeline vers le Sénégal a été validé par la CEDEAO (La Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest.
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