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États-Unis Secrétaire d’État John Kerry a considérablement intensifié ses contacts avec la Russie sur la Syrie, le Kremlin a confirmé, en établissant un rapport que Kerry veut sceller un accord avec Moscou avant que Donald Trump assume la présidence des États-Unis en janvier.
Le rapport par le chroniqueur Washington Post Josh Rogin dit Kerry fait un ultime effort pour arrêter l’opération syrienne à Alep orientale, parce que l’administration de Trump peut finir par être « carrément sur le côté du dictateur [président syrien] Bachar al-Assad. "
russe présidentielles aide Yury Ushakov a confirmé que Kerry a intensifié les contacts avec son homologue russe, Sergueï Lavrov, pour discuter de la situation en Syrie sous le nom de la fin.
« ce [effort] pourrait être appelé incroyable, en termes qu’il y a jamais eu tant d’appels téléphoniques entre le Secrétaire d’Etat et FM de la Russie qui portaient à discuter une seule question – Syrie, » il a déclaré aux journalistes. Ouchakov s’est abstenu de commenter s’il y a avais été tout progrès.
Conformément à la pièce de Post, qui cite quatre responsables d’américains sans nom avec la connaissance de la situation, Kerry espère garantir un cessez-le-feu localisé à Alep en offrant aux membres de l’opposition dite modérée de groupes terroristes comme le Jabhat Fatah al-Sham (anciennement Al-Nusra avant) séparés. Le rapport dit que Kerry a portée dans d’autres pays, y compris la Turquie, l’Arabie saoudite, Qatar et, parfois, l’Iran, pour tenter de sceller un accord.
Les officiels reconnaissent qu'un Kerry frustré n'a toujours pas été autorisé par la Maison Blanche à apporter une pression significative à l'encontre d'Assad ou de la Russie, ce qui le place dans une position de négociation faible. La perspective de Hillary Clinton étant élu président a donné Kerry un levier, parce qu'elle était attendue à poursuivre une politique plus hawkish Syrie », a écrit Rogin.
Un cessez-le-feu à Alep sur les termes de Kerry peut être difficile à vendre, car la Russie insiste sur le fait que l'échec des États-Unis à séparer les modérés des terroristes, un point clé de l'accord de trêve négocié par Moscou et Washington en septembre, Le cessez-le-feu s'est effondré en premier lieu.
L'opération du gouvernement syrien pour reprendre Aleppo oriental de groupes armés semble également progresser, avec les derniers rapports disant que les militants ont perdu un tiers de leur territoire à l'armée en marche. Arrêter le siège maintenant pourrait donner à ces combattants le temps de se regrouper, réarmement, et monter une contre-offensive.
Moscou semble réticent à conclure un accord significatif avec l'administration sortante et attend que l'administration Trump prenne le pouvoir.
'Nous attendrons patiemment que cette équipe prenne place, et nous aimerions avoir un dialogue intensif avec eux', a déclaré Ushakov.
RT com
Kerry making ‘unbelievable effort’ to save Syrian rebels from Trump, Russia confirms
US Secretary of State John Kerry has significantly intensified contacts with Russia on Syria, the Kremlin has confirmed, substantiating a report that Kerry wants to seal a deal with Moscow before Donald Trump assumes the US presidency in January.
The report by Washington Post columnist Josh Rogin says Kerry is making a last-ditch effort to stop the Syrian operation in eastern Aleppo, because the Trump administration may end up being “squarely on the side of dictator [Syrian President] Bashar al-Assad.”
Russian presidential aide Yury Ushakov confirmed that Kerry has intensified contacts with his Russian counterpart, Sergey Lavrov, to discuss the situation in Syria as of late.
“This [effort] could be called unbelievable, in terms that there have never been so many phone calls between the Secretary of State and Russia’s FM which were focused on discussing a single issue – Syria,” he told journalists. Ushakov refrained from commenting on whether there was had been any progress.
According to the Post piece, which cites four unnamed US officials with the knowledge of the situation, Kerry hopes to secure a localized ceasefire in Aleppo by offering to separate members of the so-called moderate opposition from terrorist groups like Jabhat Fatah al-Sham (formerly Al-Nusra Front). The report says that Kerry has brought in other nations, including Turkey, Saudi Arabia, Qatar and, at times, Iran, in a bid to seal the deal.
“Officials acknowledge that a frustrated Kerry still has not been given authority by the White House to bring any meaningful pressure to bear against Assad or Russia, placing him in a weak negotiating position. The prospect of Hillary Clinton being elected president gave Kerry some leverage, because she was expected to pursue a more hawkish Syria policy,” Rogin wrote.
A ceasefire in Aleppo on Kerry’s terms may be hard to sell, as Russia insists that the US’ failure to separate moderates from the terrorists, which was a key point in the truce agreement negotiated by Moscow and Washington in September, was the reason that the ceasefire collapsed in the first place.
The Syrian government’s operation to retake eastern Aleppo from armed groups also appears to be progressing, with the latest reports saying that the militants have lost a third of their territory to the advancing army. Stopping the siege now could give those fighters time to regroup, rearm, and mount a counteroffensive.
Moscow appears to be reluctant to strike any significant deal with the outgoing administration and is waiting for the Trump administration to take power.
“We will patiently wait for that team to take their seats and then we are interested in having intensive dialogue with them,” Ushakov said.
RT com