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Fonds monétaire international (FMI) : L’Algérie va récupérer ses 5 milliards de dollars en 2020

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  • Fonds monétaire international (FMI) : L’Algérie va récupérer ses 5 milliards de dollars en 2020

    Écrit par Samy Saïdi

    L’Algérie va récupérer, en 2020, les 5 milliards de dollars prêtés au Fonds monétaire international (FMI) en 2012 sous forme d’accord d’achat de titres libellés en « droits de tirage spéciaux (DTS), selon ce qu’avaient annoncé à l’époque le ministère des Finances et la Banque d’Algérie.
    Et c’est ce qui est confirmé dans le rapport préliminaire de la Commission finances du Conseil de la nation, qui comportait une réponse du ministre des Finances, Hadj Baba Ammi, faite dans le cadre de la présentation, à la Chambre haute du Parlement, de la loi de finances pour 2017, adoptée en première instance par l’APN – Chambre basse – le 22 novembre dernier. Il y a quatre ans, avant la crise des prix pétroliers deux ans plus tard, l’Algérie avait décidé de participer à l’emprunt lancé par le FMI en y plaçant 5 milliards de dollars, motivant sa participation à cet emprunt par le fait qu’elle «constitue une opération qui s’inscrit dans le cadre de la gestion rationnelle des réserves de changes », qui flirtaient à l’époque avec les 200 milliards de dollars. « Une bonne opportunité pour l’Algérie de diversifier ses placements sous deux angles : d’abord sous l’angle qualité de l’emprunteur, et donc qualité de l’instrument financier, le FMI étant une institution financière multilatérale et de premier ordre, ce qui permet un niveau de sécurité élevé des placements », expliquait le ministère des Finances. « Ensuite, sous l’angle monnaie de dénomination, puisque les titres dans le cadre de cet emprunt seront libellés en DTS (unité de compte du FMI déterminée sur la base d’un panier de devises largement utilisées dans les marchés financiers), ce qui élargira la composition par devises des réserves de change, atténuant davantage les risques de change sous-jacents », poursuit-il.
    L’Algérie avait effectué ce placement car disposant d’une viabilité financière externe solide, dans un contexte d’une gestion macroéconomique saine. C’était en 2012 !.
    REPORTERS.DZ
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
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