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La Commission de l’Union africaine a officiellement nié toute tentative de la part de sa présidente, la sud-africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, de contrarier la décision du Maroc de réintégrer l’organisation panafricaine. Les détails.
"Les décisions concernant l'admission d'un pays dans l'Union africaine sont du ressort des Etats membres de l'UA", a précisé la Commission de l'Union africaine, dans un communiqué officiel diffusé ce lundi 6 décembre.
Dans ce communiqué, la Commission de l'UA nie toute tentative de la part de sa présidente sortante, la sud-africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, de contrarier la décision du Maroc de réintégrer l'organisation panafricaine, soulignant que "les décisions concernant l'admission d'un pays au sein de l'UA" ne relèvent nullement des attributions de sa présidente.
''La demande du Maroc est dans le système de l'UA. Elle passe par les processus et les procédures internes de l'Union, comme le prévoit l'Acte constitutif de l'UA. Le royaume du Maroc sera également informé du résultat», a indiqué le communiqué.
En effet, le Maroc a dénoncé vigoureusement, mercredi 30 novembre 2016, "les manoeuvres du chef de la Commission de l'Union africaine", accusée de tenter de "contrarier la décision du royaume de retrouver sa place naturelle et légitime au sein de sa famille institutionnelle panafricaine".
Pour rappel, le Maroc a officiellement présenté sa demande de réintégration de l'Union africaine en septembre 2016.
"La demande a été reçue et officiellement reconnue par le président de la Commission de l'UA, Nkosazana Dlamini Zuma. En conséquence, tous les 54 Etats membres de l'UA ont été informés", assure ladite commission, dans le communiqué.
Au moins 36 des 54 pays de l'Union africaine ne reconnaissent pas la "RASD" et soutiennent le retour du Maroc au sein de la structure panafricaine, constituant ainsi une majorité au sein de l'UA pour valider cette réintégration tant espérée du Maroc au sein de sa famille africaine.
Les précisions de la Commission de l'Union africaine n'enlèvent toutefois rien à la réalité de l'hostilité de sa présidente à la question de l'intégrité territoriale du royaume du Maroc. La compromission de Dlamini Zuma avec les hautes sphères d'Alger, particulièrement son ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, est un secret de polichinelle.
Ziad Alami
"Les décisions concernant l'admission d'un pays dans l'Union africaine sont du ressort des Etats membres de l'UA", a précisé la Commission de l'Union africaine, dans un communiqué officiel diffusé ce lundi 6 décembre.
Dans ce communiqué, la Commission de l'UA nie toute tentative de la part de sa présidente sortante, la sud-africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, de contrarier la décision du Maroc de réintégrer l'organisation panafricaine, soulignant que "les décisions concernant l'admission d'un pays au sein de l'UA" ne relèvent nullement des attributions de sa présidente.
''La demande du Maroc est dans le système de l'UA. Elle passe par les processus et les procédures internes de l'Union, comme le prévoit l'Acte constitutif de l'UA. Le royaume du Maroc sera également informé du résultat», a indiqué le communiqué.
En effet, le Maroc a dénoncé vigoureusement, mercredi 30 novembre 2016, "les manoeuvres du chef de la Commission de l'Union africaine", accusée de tenter de "contrarier la décision du royaume de retrouver sa place naturelle et légitime au sein de sa famille institutionnelle panafricaine".
Pour rappel, le Maroc a officiellement présenté sa demande de réintégration de l'Union africaine en septembre 2016.
"La demande a été reçue et officiellement reconnue par le président de la Commission de l'UA, Nkosazana Dlamini Zuma. En conséquence, tous les 54 Etats membres de l'UA ont été informés", assure ladite commission, dans le communiqué.
Au moins 36 des 54 pays de l'Union africaine ne reconnaissent pas la "RASD" et soutiennent le retour du Maroc au sein de la structure panafricaine, constituant ainsi une majorité au sein de l'UA pour valider cette réintégration tant espérée du Maroc au sein de sa famille africaine.
Les précisions de la Commission de l'Union africaine n'enlèvent toutefois rien à la réalité de l'hostilité de sa présidente à la question de l'intégrité territoriale du royaume du Maroc. La compromission de Dlamini Zuma avec les hautes sphères d'Alger, particulièrement son ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, est un secret de polichinelle.
Ziad Alami
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