En déplacement à Algérie, le candidat à la primaire du parti socialiste en France, Arnaud Montebourg a défendu la « colocalisation ». Ce concept dont il est à l’origine, consiste à encourager la création de richesse, d’emplois en Algérie et en France, dans le cadre d’un partenariat « gagnant-gagnant ».
Dans ce cadre, il souhaite que des investisseurs algériens puissent créer des entreprises en France. Montebourg en a profité pour saluer et citer en exemple l’homme d’affaires algérien, Issad Rebrab, patron de Cevital qui a repris les entreprises Fagor-Brandt et Oxxo.
Par ailleurs, il défend ardemment l’installation de l’usine de Renault, dans la région d’Oran. « Cela permet de créer des emplois et une filière automobile en Algérie, tout en préservant des emplois en France. C’est cela, la colocalisation », s’enthousiasme-t-il.
Montebourg a profité de sa présence dans le pays pour se rendre dans la capitale de l’Ouest, où il a visité l’unité de production de véhicules du constructeur. L’ancien ministre français en a également profité pour retrouver des membres de sa famille.
Dépasser les querelles historiques
Sur le plan politique, Arnaud Montebourg a été reçu par le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. « Je suis toujours bien reçu par les autorités lors de mes fréquentes visites en Algérie », indique-t-il.
Il dit avoir eu des discussions ouvertes avec les représentants politiques algériens, insistant sur la nécessité de « dépasser les querelles historiques ». Certains font de l’Algérie un « fonds de commerce électoral » en France, a-t-il dénoncé.
L’ancien ministre français défend une politique étrangère de son pays basée sur « les trois A », correspondant à « l’Allemagne, Algérie et Afrique ». Montebourg plaide ainsi pour que l’Algérie et la France coopèrent étroitement, notamment pour développer leurs présences respectives sur les marchés africains.
TSA
Par Tewfik Abdelbari
Dans ce cadre, il souhaite que des investisseurs algériens puissent créer des entreprises en France. Montebourg en a profité pour saluer et citer en exemple l’homme d’affaires algérien, Issad Rebrab, patron de Cevital qui a repris les entreprises Fagor-Brandt et Oxxo.
Par ailleurs, il défend ardemment l’installation de l’usine de Renault, dans la région d’Oran. « Cela permet de créer des emplois et une filière automobile en Algérie, tout en préservant des emplois en France. C’est cela, la colocalisation », s’enthousiasme-t-il.
Montebourg a profité de sa présence dans le pays pour se rendre dans la capitale de l’Ouest, où il a visité l’unité de production de véhicules du constructeur. L’ancien ministre français en a également profité pour retrouver des membres de sa famille.
Dépasser les querelles historiques
Sur le plan politique, Arnaud Montebourg a été reçu par le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. « Je suis toujours bien reçu par les autorités lors de mes fréquentes visites en Algérie », indique-t-il.
Il dit avoir eu des discussions ouvertes avec les représentants politiques algériens, insistant sur la nécessité de « dépasser les querelles historiques ». Certains font de l’Algérie un « fonds de commerce électoral » en France, a-t-il dénoncé.
L’ancien ministre français défend une politique étrangère de son pays basée sur « les trois A », correspondant à « l’Allemagne, Algérie et Afrique ». Montebourg plaide ainsi pour que l’Algérie et la France coopèrent étroitement, notamment pour développer leurs présences respectives sur les marchés africains.
TSA
Par Tewfik Abdelbari
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