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Une enquête réalisée par le HCP dévoile le ressenti des Marocains sur la pauvreté et les inégalités sociales, présentes dans notre société.
Une étude présentée ce 6 décembre, à Rabat, par le Haut-commissariat au Plan (HCP) met en avant les inégalités sociales encore présentes au royaume. Après avoir sondé des milliers de Marocains, pendant deux mois, les chiffres sont éloquents.Pour 43,6% des Marocains sondés, l’extrême pauvreté existe dans leur environnement (39,8% en milieu urbain et 49,9% en milieu rural). Plus en détails, voici, en infographies, les grands axes de l’étude proposée par le HCP :
42,7% des Marocains interrogés par le HCP, trouvent « fréquent » le phénomène de mendicité. 39,6% le trouvent « très fréquent » quand 17,7% seulement, le trouvent « rare. »
Problème, pour les sondés, les pauvres ne bénéficient pas assez de ces programmes. 11% estiment qu’ils en bénéficient « beaucoup », 65,5% pensent qu’ils en bénéficient « peu» et 23,5% estiment qu’ils n’en bénéficient « pas». Pour expliquer ces chiffres, 40,6% estiment que les difficultés d’accès des pauvres à ces programmes sont liées à une forme de népotisme, quant 36,7% mettent en avant la faiblesse du contenu et de la pertinence de ces programmes.
Source: Tel Quel
https://www.youtube.com/watch?v=gfj9MLgS6O0
Une étude présentée ce 6 décembre, à Rabat, par le Haut-commissariat au Plan (HCP) met en avant les inégalités sociales encore présentes au royaume. Après avoir sondé des milliers de Marocains, pendant deux mois, les chiffres sont éloquents.Pour 43,6% des Marocains sondés, l’extrême pauvreté existe dans leur environnement (39,8% en milieu urbain et 49,9% en milieu rural). Plus en détails, voici, en infographies, les grands axes de l’étude proposée par le HCP :
42,7% des Marocains interrogés par le HCP, trouvent « fréquent » le phénomène de mendicité. 39,6% le trouvent « très fréquent » quand 17,7% seulement, le trouvent « rare. »
Problème, pour les sondés, les pauvres ne bénéficient pas assez de ces programmes. 11% estiment qu’ils en bénéficient « beaucoup », 65,5% pensent qu’ils en bénéficient « peu» et 23,5% estiment qu’ils n’en bénéficient « pas». Pour expliquer ces chiffres, 40,6% estiment que les difficultés d’accès des pauvres à ces programmes sont liées à une forme de népotisme, quant 36,7% mettent en avant la faiblesse du contenu et de la pertinence de ces programmes.
Source: Tel Quel
https://www.youtube.com/watch?v=gfj9MLgS6O0