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Le gazoduc Nigeria-Maroc, le projet ouest-africain le plus ambitieux jamais annoncé (Jeune Afrique)

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  • Le gazoduc Nigeria-Maroc, le projet ouest-africain le plus ambitieux jamais annoncé (Jeune Afrique)

    Le gazoduc Nigeria-Maroc, le projet ouest-africain le plus ambitieux jamais annoncé (Jeune Afrique)

    Le projet de gazoduc qui devrait relier le Nigéria au Maroc, puis à l’Europe est sans doute le projet ouest-africain le plus ambitieux jamais annoncé, écrit l’hebdomadaire Jeune Afrique dans sa dernière livraison.
    Ce gazoduc va prolonger le West African Gas Pipeline, qui depuis 2010 relie le Nigeria au Ghana en passant par le Bénin et le Togo, rappelle la publication.

  • #2
    L'Algerie a réagit en plaçant un pion entre la mauritanie et le Maroc.

    Ould abdelaziz joue avec le feu
    La haine aveugle

    Commentaire


    • #3
      L'Algerie a réagit en plaçant un pion entre la mauritanie et le Maroc.

      Ould abdelaziz joue avec le feu
      Il ne faut pas donner de l'importance à des choses qui n'en ont pas.

      Commentaire


      • #4
        Envoyé par mahjoub
        L'Algerie a réagit en plaçant un pion entre la mauritanie et le Maroc.
        faux

        L'affaire de Guergarat ne date pas depuis l'annonce du projet de gazoduc

        - 14 aout 2016 Le maroc lance des travaux a guergarat
        - 24 aout 2016 Le Polisario à envoyer des éléments armés a guergarat
        Envoyé par mahjoub
        Ould abdelaziz joue avec le feu
        Je ne vois pas pourquoi vous accusez le président mauritanien dans cette affaire
        AOUT 2016 A GUERGARAT


        Usinenouvelle 06/12/2016

        Le projet de gazoduc... mais au conditionnel


        ....L’annonce de ce de ce projet intervient deux ans après le lancement par le Maroc d’un vaste plan gazier : "Gas to power". Il ambitionne de faire passer la consommation de gaz naturel du royaume de 0,9 milliard de m3 en 2014 à 5 milliards de m3 en 2025 pour produire de l’électricité et fournir l’industrie.

        - Le recours à l’importation par le gazoduc ouest-africain pourrait cependant remettre en cause la structuration actuelle du plan. Celui-ci mise jusqu'ici sur l’importation de gaz naturel liquéfié (GNL) par voie de mer via un port dédié encore à construire. Les infrastructures portuaires et de regazéification représentent ainsi à elles seules près de 30% du coût de tout le plan Gas to power, évalué en 2014 à 4,6 milliards d’euros par le ministère de l’Industrie.

        - La prolongation pourrait impliquer un accroissement de capacité du gazoduc Wapco, surtout, si comme c'est évoqué, le projet Nigeria-Maroc devait à terme rejoindre l'Espagne. Par ailleurs, ce type d'infrastructure suppose toujours la conclusion d'accords commerciaux à long terme avec des clients identifiés pour sécuriser les financements. Et la négociation du tracé et des droits de passage avec les pays riverains, soit en l'espèce huit états.

        - Pour faire aboutir le nouveau projet de gazoduc, le Nigeria va devoir aussi faire la preuve de la pérennité de ses réserves, à ce jour les plus importantes du continent (5 100 milliards de m3). Cet automne, des représentants de la NNPC, la compagnie nationale pétrolière du Nigeria, se sont inquiétés de sa capacité à répondre aux besoins croissants de la demande nationale et des prévisions d’exportation au-delà des 35 prochaines années.

        - Le refus du gouvernement nigérian d’accepter une étude indépendante de ces réserves avait même constitué, dans les années 2000, l’une des pierres d’achoppement du projet de gazoduc transaharien (Nigeria-Algérie-Europe).

        - S’il parvient à découvrir de nouvelles réserves, comme il le prévoit, le Nigéria devra encore faire face aux groupes rebelles du delta du Niger ; problème récurrent de son exploitation des hydrocarbures. Le groupe "Les vengeurs du Delta" revendique depuis le début de l’année 2016 des dizaines d’attaques sur les infrastructures pétrolières et gazières installées dans le delta du Niger. L’Américain Chevron et l’Italien ENI en ont fait les frais. Ces attaques ont coûté au pays la production de plus de 400 millions de tonnes de barils de brut cette année.

        - La route du gazoduc sera semée de bien d’autres embûches encore. La traversée du Sahara Occidental présentera des obstacles financiers - les bailleurs internationaux pourraient rechigner à financer un projet qui traverse un territoire disputé selon le droit international - et sécuritaire, comme toute la zone sahélo-saharienne.
        .

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