Nissan, Suzuki et Toyota veulent s’implanter en Algérie
14 déc. 2016
Les constructeurs automobiles s’intéressent de plus en plus au marché algérien. Après Renault, Volkswagen, Peugeot, Hyundai, c’est au tour des constructeurs japonais d’annoncer leur intention de s’installer sur le sol algérien.
Ce sont en effet, trois constructeurs automobiles japonais à savoir Nissan, Suzuki et Toyota qui ont exprimé leur volonté d’investissements sur le sol Algérien. « Trois constructeurs japonais sont intéressés par l'implantation d'usines de fabrication de véhicules et camions en Algérie dont deux d'entre eux ont déjà entrepris les démarches pour la concrétisation de leurs projets, », c’est ainsi qu’a indiqué, mardi soir, l'ambassadeur du Japon en Algérie Masaya Fujiwara, à l’occasion d'une conférence de presse conjointe avec le président du Club d'affaires algéro-japonais, Mustapha Mekideche à l'issue de la deuxième réunion de ce club, l’ambassadeur Fujiwara.
Selon l’ambassadeur, le Japon est beaucoup intéressé par l'investissement en Algérie dans différents domaines d'activités. « On y travaille, et il y a de bons signes d'ailleurs, car nous avons déjà des constructeurs automobiles comme Nissan et Suzuki qui ont des projets d’usines de montage de véhicules en Algérie et n'attendent que le feu vert des autorités algériennes pour les concrétiser », précise-t-il, avant d’ajouter que Toyota est également intéressé par la réalisation d'une usine de montage en Algérie à travers sa filiale Hino Motors, spécialisée dans la construction des camions et des bus.
Pour l’ambassadeur, en plus de contribuer à la création de richesses et d'emplois, ces projets permettraient de saisir ensemble « beaucoup d'opportunités existantes dans différents domaines pour développer nos relations économiques ».
Par ailleurs, M. Fujiwara, qui estimé que les relations économiques entre l'Algérie et son pays ne sont pas à la hauteur des potentialités existantes, a indiqué qu’un nouvel accord entre le ministère algérien des Affaires étrangères et son homologue japonais "est en phase de finalisation », pour la création d'une commission mixte entre les deux pays avec l'objectif de hisser le partenariat économique bilatéral. Selon lui, la commission devrait tenir sa première réunion au courant du premier trimestre 2017.
N.I
Leconews
14 déc. 2016
Les constructeurs automobiles s’intéressent de plus en plus au marché algérien. Après Renault, Volkswagen, Peugeot, Hyundai, c’est au tour des constructeurs japonais d’annoncer leur intention de s’installer sur le sol algérien.
Ce sont en effet, trois constructeurs automobiles japonais à savoir Nissan, Suzuki et Toyota qui ont exprimé leur volonté d’investissements sur le sol Algérien. « Trois constructeurs japonais sont intéressés par l'implantation d'usines de fabrication de véhicules et camions en Algérie dont deux d'entre eux ont déjà entrepris les démarches pour la concrétisation de leurs projets, », c’est ainsi qu’a indiqué, mardi soir, l'ambassadeur du Japon en Algérie Masaya Fujiwara, à l’occasion d'une conférence de presse conjointe avec le président du Club d'affaires algéro-japonais, Mustapha Mekideche à l'issue de la deuxième réunion de ce club, l’ambassadeur Fujiwara.
Selon l’ambassadeur, le Japon est beaucoup intéressé par l'investissement en Algérie dans différents domaines d'activités. « On y travaille, et il y a de bons signes d'ailleurs, car nous avons déjà des constructeurs automobiles comme Nissan et Suzuki qui ont des projets d’usines de montage de véhicules en Algérie et n'attendent que le feu vert des autorités algériennes pour les concrétiser », précise-t-il, avant d’ajouter que Toyota est également intéressé par la réalisation d'une usine de montage en Algérie à travers sa filiale Hino Motors, spécialisée dans la construction des camions et des bus.
Pour l’ambassadeur, en plus de contribuer à la création de richesses et d'emplois, ces projets permettraient de saisir ensemble « beaucoup d'opportunités existantes dans différents domaines pour développer nos relations économiques ».
Par ailleurs, M. Fujiwara, qui estimé que les relations économiques entre l'Algérie et son pays ne sont pas à la hauteur des potentialités existantes, a indiqué qu’un nouvel accord entre le ministère algérien des Affaires étrangères et son homologue japonais "est en phase de finalisation », pour la création d'une commission mixte entre les deux pays avec l'objectif de hisser le partenariat économique bilatéral. Selon lui, la commission devrait tenir sa première réunion au courant du premier trimestre 2017.
N.I
Leconews
Commentaire