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(Agence Ecofin) - Selon des informations obtenues par le quotidien américain Wall Street Journal, l’Irak envisage d’augmenter sa production de pétrole brut, à partir du mois de janvier. Ceci, bien qu’ayant donné son accord pour réduire sa production de 210 000 barils de pétrole par jour afin de favoriser la remontée des prix sur le marché international, l’offre étant supérieure à la demande.
D’ailleurs, selon des observateurs présents lors de la rencontre de l’OPEP où a été conclu l’accord de limitation de la production, la délégation irakienne aurait «difficilement » accepté de participer à la réduction de la production.
D’après des précisions rapportées par le quotidien algérien TSA Algérie, « la compagnie pétrolière nationale irakienne envisagerait d’augmenter la production du puits de pétrole de Bassorah, d’environ 7%, pour atteindre 3,53 millions bpj, par rapport aux niveaux d’octobre ». Ceci aurait été décidé le 8 décembre dernier.
Le terminal de Bassorah représente environ 85% des exportations pétrolières de l’Irak.
Il faut rappeler, qu’avant l’accord de limitation de la production, le ministre irakien du pétrole Djabar Ali al Louaïbi, avait exhorté les compagnies pétrolières exerçant dans le pays, à produire plus pour « maximiser les revenus ». Il a, par la suite, exprimé la volonté de son pays de se voir exempté de tout gel de la production.
Si le pays ne réduit pas sa production, cela aurait un impact dramatique sur les prix, fait observer un analyste des marchés financiers qui craint que les prix n’atteignent plus le palier des 60$, le niveau à partir duquel tant les producteurs que les Etats sont censés pouvoir faire des profits.
L’Irak est l’un des plus grands producteurs de la zone OPEP et extrait actuellement 4,56 millions de barils par jour.
D’ailleurs, selon des observateurs présents lors de la rencontre de l’OPEP où a été conclu l’accord de limitation de la production, la délégation irakienne aurait «difficilement » accepté de participer à la réduction de la production.
D’après des précisions rapportées par le quotidien algérien TSA Algérie, « la compagnie pétrolière nationale irakienne envisagerait d’augmenter la production du puits de pétrole de Bassorah, d’environ 7%, pour atteindre 3,53 millions bpj, par rapport aux niveaux d’octobre ». Ceci aurait été décidé le 8 décembre dernier.
Le terminal de Bassorah représente environ 85% des exportations pétrolières de l’Irak.
Il faut rappeler, qu’avant l’accord de limitation de la production, le ministre irakien du pétrole Djabar Ali al Louaïbi, avait exhorté les compagnies pétrolières exerçant dans le pays, à produire plus pour « maximiser les revenus ». Il a, par la suite, exprimé la volonté de son pays de se voir exempté de tout gel de la production.
Si le pays ne réduit pas sa production, cela aurait un impact dramatique sur les prix, fait observer un analyste des marchés financiers qui craint que les prix n’atteignent plus le palier des 60$, le niveau à partir duquel tant les producteurs que les Etats sont censés pouvoir faire des profits.
L’Irak est l’un des plus grands producteurs de la zone OPEP et extrait actuellement 4,56 millions de barils par jour.