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Ahmed Ouyahia crie haut et fort son soutien au président Bouteflika et au gouvernement Sellal. Un point sur lequel il a tenu spécialement à insister lors de son discours prononcé ce jeudi 15 décembre à l’ouverture de la réunion du conseil national du RND à Zeralda.
« Le RND avait soutenu le Président, il le soutient aujourd’hui et il le soutiendra », a-t-il affirmé. Ouyahia qualifie le Président « de moudjahid et de sauveur qui a su initier plusieurs mesures notamment celle ayant trait à l’interdiction de recourir à l’endettement extérieur protégeant ainsi la souveraineté et l’indépendance de décisions des institutions du pays », a ajouté le secrétaire général du RND.
Ahmed Ouyahia réaffirme de la même manière son appui au premier ministre Abdelmalek Sellal. « Nous soutenons le gouvernement, nous soutenons le gouvernement, nous soutenons le gouvernement », a-t-il lancé à l’assistance. Avant d’exprimer sa totale adhésion à toutes les mesures contenues dans la Loi de finances 2017.
Retour à l’endettement extérieur
Le secrétaire général du RND, qui n’a jamais caché ses appréhensions, voire son refus d’un retour à l’endettement extérieur et qui a fait de ce choix l’une des réalisations majeures du président Bouteflika, a avoué aujourd’hui que cette décision sera révisée dans les prochains jours. « L’interdiction est toujours en vigueur, mais il y aura peut-être des exceptions dans les prochains jours ». Quelles exceptions ? Ouyahia n’en dira rien.
Il se contente simplement de rappeler l’expérience « dure et néfaste de l’Algérie avec les institutions monétaires internationales durant les années 1990 ». « Le recours à l’endettement nous ramènera des années en arrière », reconnait-il.
L’ancien chef du gouvernement défend également le droit de l’Algérie de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger son économie. Il appuie le recours aux licences d’importation qui ont amené, selon lui, les grandes firmes automobiles « à faire la queue pour investir en Algérie ».
L’occasion pour lui de tacler l’opposition à qui il demande de présenter des alternatives au lieu « de recourir à l’insulte et à la manipulation ».
Par Achira Mammeri
TSA
« Le RND avait soutenu le Président, il le soutient aujourd’hui et il le soutiendra », a-t-il affirmé. Ouyahia qualifie le Président « de moudjahid et de sauveur qui a su initier plusieurs mesures notamment celle ayant trait à l’interdiction de recourir à l’endettement extérieur protégeant ainsi la souveraineté et l’indépendance de décisions des institutions du pays », a ajouté le secrétaire général du RND.
Ahmed Ouyahia réaffirme de la même manière son appui au premier ministre Abdelmalek Sellal. « Nous soutenons le gouvernement, nous soutenons le gouvernement, nous soutenons le gouvernement », a-t-il lancé à l’assistance. Avant d’exprimer sa totale adhésion à toutes les mesures contenues dans la Loi de finances 2017.
Retour à l’endettement extérieur
Le secrétaire général du RND, qui n’a jamais caché ses appréhensions, voire son refus d’un retour à l’endettement extérieur et qui a fait de ce choix l’une des réalisations majeures du président Bouteflika, a avoué aujourd’hui que cette décision sera révisée dans les prochains jours. « L’interdiction est toujours en vigueur, mais il y aura peut-être des exceptions dans les prochains jours ». Quelles exceptions ? Ouyahia n’en dira rien.
Il se contente simplement de rappeler l’expérience « dure et néfaste de l’Algérie avec les institutions monétaires internationales durant les années 1990 ». « Le recours à l’endettement nous ramènera des années en arrière », reconnait-il.
L’ancien chef du gouvernement défend également le droit de l’Algérie de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger son économie. Il appuie le recours aux licences d’importation qui ont amené, selon lui, les grandes firmes automobiles « à faire la queue pour investir en Algérie ».
L’occasion pour lui de tacler l’opposition à qui il demande de présenter des alternatives au lieu « de recourir à l’insulte et à la manipulation ».
Par Achira Mammeri
TSA
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