Mohammed VI a reçu le 16 décembre le secrétaire du Conseil de sécurité de Russie à Casablanca. Il en a profité pour inviter Poutine au Maroc.
Alors que le roi avait rencontré Vladimir Poutine à Moscou en mars 2016, c’est au tour du secrétaire du Conseil de sécurité de Russie d’effectuer une visite de travail au Maroc. Mohammed VI a reçu Nikolaï Patrouchev dans le cadre du partenariat stratégique renforcé.
A cette occasion, le roi a réitéré sa « détermination à travailler » avec le président russe afin de « renforcer et approfondir la coopération stratégique » dans l’ensemble des domaines, notamment de la sécurité.
Au cours de cette rencontre, Mohammed VI a aussi adressé une invitation au président Vladimir Poutine pour effectuer une visite d’Etat au Maroc.
La Russie est un partenaire important pour le Maroc. A l’occasion de la visite royale en Russie, Vladimir Poutine avait apporté le 15 mars son soutien à Mohammed VI sur le dossier du Sahara, au moment où le royaume était confronté à de fortes tensions avec l’ONU. Au niveau économique, Miriem Bensalah, patronne de la CGEM, avait affiché au mois de septembre dernier son ambition de porter les échanges entre les deux pays à dix milliards de dollars.
Telquel
Alors que le roi avait rencontré Vladimir Poutine à Moscou en mars 2016, c’est au tour du secrétaire du Conseil de sécurité de Russie d’effectuer une visite de travail au Maroc. Mohammed VI a reçu Nikolaï Patrouchev dans le cadre du partenariat stratégique renforcé.
A cette occasion, le roi a réitéré sa « détermination à travailler » avec le président russe afin de « renforcer et approfondir la coopération stratégique » dans l’ensemble des domaines, notamment de la sécurité.
Au cours de cette rencontre, Mohammed VI a aussi adressé une invitation au président Vladimir Poutine pour effectuer une visite d’Etat au Maroc.
La Russie est un partenaire important pour le Maroc. A l’occasion de la visite royale en Russie, Vladimir Poutine avait apporté le 15 mars son soutien à Mohammed VI sur le dossier du Sahara, au moment où le royaume était confronté à de fortes tensions avec l’ONU. Au niveau économique, Miriem Bensalah, patronne de la CGEM, avait affiché au mois de septembre dernier son ambition de porter les échanges entre les deux pays à dix milliards de dollars.
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