Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Plus de 70 000 sans papiers algériens risquent l'expulsion d'Allemagne, de Belgique...

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Plus de 70 000 sans papiers algériens risquent l'expulsion d'Allemagne, de Belgique...

    L'Europe fait pression sur l'Algérie pour accueillir ses ressortissants qui ne sont pas en règle sur le continent

    Dans un communiqué rendu public samedi, la Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (Laddh) révèle que l'Allemagne a fait pression sur Abdelmalek Sellal pour qu'il accepter l'expulsion des sans papiers algériens.

    Lors de sa visite en Allemagne, en janvier 2016, Abdelmalek Sellal "a subi des pressions" d'Angela Merkel, la chancelière allemande, pour accepter l'expulsion de plus de 2 300 Algériens sans papiers, arrêtés en Allemagne, souligne la Laddh. Pas seulement, les autorités belges entendent aussi se "débarrasser" de 35 000 Algériens sans papiers.

    Le premier ministre belge a fait une visite à Alger le 7 décembre dernier. Contrairement aux discours officiels, il n'était pas venu pour parler économie, puisque les échanges entre les deux pays sont insignifiants, mais bien pour organiser l'expulsion de sans papiers algériens. La Radio télévision belge (RTBF) a révélé, à l'occasion de cette visite, que les discussions avec les autorités algériennes avaient pour sujet "la réadmission des ressortissants algériens qui ne sont pas en règle de séjour sur le territoire belge".

    Quant à la France, la Laddh révèle que des sources proches des milieux de défense des droits de l'homme, lui ont confié que plus de 30 000 ressortissants algériens sans papiers pourraient être renvoyés vers l'Algérie. Le ministère des Affaires étrangères français a ouvert "un canal de négociations" avec l'Algérie pour traiter la question des résidents sans papiers en vue de leur expulsion la plus rapide vers leur pays d'origine, ajoute la Laddh. L'Italie et l'Espagne essayent, elles aussi, de procéder à l'expulsion des milliers sans papiers algériens qui résident dans ces deux pays.

    Globalement ce sont plus de 5000 ressortissants algériens sans papiers qui sont expulsés chaque année vers l'Algérie, affirme la Laddh.

    Ces dizaines de milliers d'expulsions pourraient constituer une véritablee pierre dans la chaussure du gouvernement qui peine déjà à maintenir les équilibres un peu partout.

    Les réfugiés légaux en Algérie

    Selon les chiffres communiqués par la Laddh, il y a 165 000 réfugiés sahraouis en Algérie. Environ 4040 Palestiniens vivent dans le pays. Quant aux Libyens, ils seraient plus de 40 000, selon la Laddh, depuis la guerre qui ravage leur pays. Ce sont là les chiffres officiels communiqués à la Ligue. Les Syriens, eux, ils ne seraient plus que 12000 en 2016.

    Les sans papiers

    Il y aurait quelque 250000 Marocains sans papiers qui travaillent en Algérie, révèle la Laddh. Et 23000 autres issus d'autres pays d'Afrique.

    La rédaction
    LEMATIN
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    J'espère que notre fakakir ne poussera pas le bouchon jusqu'à invoquer les droits de la personne, la dignité, la patati la patata, lui qui vient de tout fouler de ses pieds en expulsant des milliers de subsahariens comme du bétail.

    kama toudinou toudane.

    mais fakakir, il s'en fout, bien sûr.

    Commentaire


    • #3
      250000 Marocains sans papiers qui travaillent en Algérie
      Beaucoup trop de Marocains chez nous , mais ils ne sont pas visibles , du tout , comment font-ils pour devenir invisibles ?

      Commentaire


      • #4
        Beaucoup trop de Marocains chez nous , mais ils ne sont pas visibles , du tout , comment font-ils pour devenir invisibles ?
        Ils sont invisibles parce qu'ils ont très peur d'etre attrapé , ils ont très peur tout autant du régime algérien que du makhzen .Voila ou en est la fameuse union du maghreb .Un fiasco qui dure depuis plus d'un demi-siècle .

        Commentaire


        • #5
          Beaucoup trop de Marocains chez nous , mais ils ne sont pas visibles , du tout , comment font-ils pour devenir invisibles ?
          invisible mais ils ont tout de même réussi le miracle de les compter...

          des chiffres khorti...

          Commentaire


          • #6
            On s'en fout des chiffres puisqu'ils sont en deçà de la réalité, le gens de l'ouestqui connaissent mieux la situation parlent de 500000 marocains en situation irrégulière et qui vivent le plus normalement du monde en Algérie. ILS sont discrets peut être mais ça ne veut pas dire qu'ils vivent cachés , c'est inconcevable dans la société algérienne où tout se sait.
            On peut parler de complicité des algériens et de ses autorités car grand nombre de marocains sont des artisans et travaillent dans le bâtiment où la main d'oeuvre qualifiée manque et donc le travail au noir est toléré et même protégé.

            Commentaire


            • #7
              a vous lire,on a peine a croire que le travail est une activité honnête.
              par contre les expulsés du sahel sont accusés de ne pas avoir trouvé du travail.

              Commentaire


              • #8
                El Maroc la moitié de la population est en exil !!

                Commentaire


                • #9
                  L'article n'est pas très clair :

                  Un pays n'a pas besoin de l'assentiment d'un autre pour y expulser ses ressortissants.

                  La seule question qui demeure en suspend est relative à la nationalité d'une personne lorsque cette dernière refuse de la décliner ou qu'il y a une suspicion de fausse déclaration à ce propos; par exemple : un Algérien se déclare Américain et demande à être expulsé aux USA ou déclare qu'il est Syrien et qu'il ne peut pas être expulsé en Syrie (chose impossible car ce pays est en guerre et que l'Allemagne est signataire d'un certain nombre de traités). Dernier cas de figure, qui ne marche que dans certains pays : le mec reconnaît sa nationalité mais fait croire qu'il y encourt la peine de mort.

                  Et même dans ces cas, ce n'est pas à l'Algérie de faire son enquête mais à l'Allemagne de faire une enquête puis de demander à l'Algérie (si il le soupçonne d'être Algérien) si la personne en question est ressortissante algérienne ou pas.

                  Si c'est le cas, la personne est expulsée vers l'Algérie avec ou sans l'accord de l'Algérie.

                  La procédure est parfois simple (un type dont les Allemands connaissent l'identité) et parfois complexe (le mec dit qu'il est d'un pays en guerre et on ne retrouve aucun papier sur lui et aucun document et que les Allemands n'arrivent pas du tout à le relier à sa véritable identité): dans ce cas, les Allemands ne peuvent pas imposer à un pays de reconnaître un ressortissant qui n'est pas le sien (sinon les Européens se contenteraient de parquer tous les immigrés "arabe" vers un pays).

                  Quant à l'Algérie, elle n'a absolument aucune raison de ne pas reconnaître qu'une personne est Algérienne quand elle l'est.

                  Est-ce que les Allemands veulent récupérer tous les immigrés (Syriens...etc.) qui les intéressent parce qu'ils sont qualifiés et qu'ils vont travailler pour payer les retraites de la population allemande vieillissante et expulser les autres vers des pays arabes tiers ? Est-ce que l'article est juste mal informé, mal rédigé ou les deux ? Aucune idée mais en l'état l'article est obscur et dénote seulement d'un manque de rigueur éditoriale.


                  Dernière modification par Dandy, 18 décembre 2016, 18h08.

                  Commentaire


                  • #10
                    La seule question qui demeure en suspend est relative à la nationalité d'une personne lorsque cette dernière refuse de la décliner
                    La plupart à Genève sont Algériens mais se prétendent Irakiens, Palestiniens ou Libyens

                    GENÈVE ET SES VOYOUS SANS PAYS
                    Dans le canton, près de 400 Maghrébins sans papiers sont régulièrement arrêtés par la police. Et ils ne sont pas refoulable

                    L’agression de la femme de 79?ans à son domicile de Chêne-Bourg dimanche soir, dans le canton de Genève, a suscité la colère dans toute la Suisse romande. La victime, retrouvée ligotée dans sa baignoire, de l’ouate dans la bouche, les deux yeux au beurre noir et portant des traces de coups sur tout le corps, se trouve toujours à l’Hôpital cantonal. L’arrestation des deux agresseurs – des ressortissants d’Afrique du Nord selon le Ministère public genevois – a braqué les projecteurs sur un noyau de près de 400?personnes qui empoisonnent la vie des Genevois, commettant des délits allant du vol de sac à main à l’agression et au brigandage en passant par le deal. Le phénomène n’est pas nouveau à Genève, pays de cocagne pour les malfrats. Mais il est en augmentation. Face à ces délinquants sans papiers, que faire? Réponses.

                    Qui sont ces délinquants? Leur moyenne d’âge se situe entre 20 et 35?ans. Les deux individus de 22 et 25?ans interpellés quelques heures après l’agression de Chêne-Bourg sont bien connus des services de police avec, à leur actif, plus de 20 inscriptions au casier judiciaire depuis 2005. Parmi ce noyau de 380?personnes recensées par la police comme les auteurs de la criminalité de rue, certains se prétendent Algériens mais sont probablement Marocains. «C’est courant. Cette population qui, lorsqu’elle est arrêtée est bien entendu dépourvue de papiers d’identité, ne donne pas souvent sa véritable nationalité, constate Jean Sanchez, chef de la police adjoint. La plupart sont Algériens mais se prétendent Irakiens, Palestiniens ou Libyens. Ils ne sont donc pas expulsables parce ces pays sont en guerre. Ils peuvent aussi être d’autres nationalités et se dire Algériens car les accords de réadmission avec ce pays ne sont pas respectés.» Cette population criminogène vit dans des squats, des abris de protection civile, parfois des petites pensions.

                    Leurs forfaits? Cela va du vol à la tire au cambriolage, en passant par le vol à l’arraché, le trafic de haschisch et les brigandages. Une première vague est arrivée dans les années 1990. En 2006, la police genevoise a recensé de nouveaux arrivants, plus violents, certains sous l’emprise de médicaments, de drogue et/ou d’alcool. «Ces personnes rigolent des peines qui leur sont infligées, ajoute Jean Sanchez. Ils n’hésitent pas à menacer les policiers qui les arrêtent, de même que leurs victimes.»

                    Que peut faire la police? Et la justice? Les arrêter évidemment, quand ils commettent un délit. Problème: lorsqu’ils ont purgé leur peine, ils sont «remis à la rue», faute de pouvoir être refoulés dans leur pays. L’introduction des jours-amendes et du nouveau Code de procédure pénale en janvier 2011 n’a rien arrangé puisque, sur des délits mineurs, ils ne sont pas mis en détention immédiate, quand bien même la procédure se poursuit. «On a désarmé la justice depuis 2007, notamment en supprimant les expulsions judiciaires prononcées par les autorités pénales», constate le procureur général, Daniel Zappelli.

                    Que peut faire Genève? Déjà appliquer la loi sur les mesures de contrainte votées en 2005 par la Suisse, mais qui ne sont pas appliquées dans la Cité de Calvin (ndlr: Genève avait voté contre la loi). Le canton ne s’est jusqu’ici pas donné les moyens de construire des places de détention administrative en suffisance.

                    Que peut faire Berne? Et la Suisse? Revoir le nouveau Code pénal et, du coup, ordonner des peines qui ne font plus «sourire les malfrats», pour reprendre les termes d’un policier. Ensuite, réactiver les démarches pour faire appliquer les accords de réadmission, notamment avec l’Algérie.

                    Le Printemps arabe a-t-il eu une influence? Depuis environ un an, on recense à Genève une cinquantaine de Tunisiens délinquants. Mais attention à ne pas faire d’amalgames! Hasni Abidi, directeur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen, remarque que le phénomène n’est pas nouveau. «Les raisons de la délinquance sont à chercher ailleurs, dans la crise économique, le manque de débouchés. Ces délinquants ne sont pas des réfugiés politiques mais économiques!» Hafid Ouardiri, directeur de la Fondation L’Entre-Connaissance, se montre pour sa part dégoûté: «Ces personnes qui ont attaqué la dame âgée sont des barbares. Ce que je déplore, c’est la récupération qui en est faite en Suisse par certains partis politiques. Le comportement de ces jeunes voyous rejaillit de fait sur notre communauté qui est bien intégrée et, cela, je le déplore.»
                    Journal Le Matin Suisse
                    Dernière modification par mohoo, 18 décembre 2016, 18h10.

                    Commentaire


                    • #11
                      une compagne qui risque d'être trés difficile, même Sellal ne pourrait rien changer, même s'il le voulait: les asylants se font enregistrer en tant que tels avec une fausse identité, faux noms, fausse provenance..tout faux, les consulats ne peuvent rien faire face á cette situation, donc seuls les jeunes qui en ont marre et qui declarent enfin leur véritables identités peuvent être refouler vers leurs pays d'origine!

                      Commentaire


                      • #12
                        Envoyé par Dandy
                        Un pays n'a pas besoin de l'assentiment d'un autre pour y expulser ses ressortissants.
                        Si !

                        Si l'Allemagne veut expulser un algérien (ou un marocain ou un sénégalais...) dont l'identité a été parfaitement établie et si son pays d'origine ne donne pas son assentiment (ça arrive !), comment fera l'Allemagne pour le renvoyer chez lui ? Elle le parachute dans le ciel de son pays ?

                        C'est pour cela qu'il y a entre les états européens et certains états africains (pas tous) des accords dans ce sens. En l'absence d'accords, pas moyen de renvoyer les migrants illégaux. Ces accords sont souvent accompagnés d'aides financières.

                        Commentaire


                        • #13
                          Incroyable, quelques milliers de clandestins marocaibs deviennent par une propagande malhonnete d'une pseudo association des droits de l'homme 250 000 voir 500 000.
                          Et ils ont réussi la prouesse de passer inaperçu dans l'un des pays les plus fermés dans le monde.

                          Commentaire


                          • #14
                            Plus de 70 000 sans papiers algériens risquent l'expulsion d'Allemagne, de Belgique...
                            Plus de 70 000 sans papiers algériens en europe ! et ceci en temps de paix !
                            Le gouvernement fait comme si de rien n'était .Des centaines de milliers d'algériens qui quittent leur pays pour vivre sans papier à l'étranger .Le problème est volontairement ignoré et mis de coté par le gouvernement et ses supports .Une carte détenue par les pays européens pour faire pression sur l'Algérie .

                            Commentaire


                            • #15
                              lallemagne est souveraine comme les pays européens elle a le droit de virer de son territoire des gens qui y sont illegalement

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X