Tweet
Troubadours de la politique, histrions ressassant des formules générales, procédant par larges comparaisons pour effacer toute spécificité dans l’histoire des sociétés, des «experts» croient déceler chez les autres leurs propres crimes que la mémoire collective ne peut leur pardonner.
Il est d’ailleurs significatif de relever la simultanéité de ces sorties médiatiques contre notre pays qui se présentent comme sans lien apparent entre elles, et qui pourtant relèvent d’un scénario mettant en action un même sicaire que l’on voudrait annonciateur de troubles et de violence. La mise à jour périodique du «Travel Warning» destiné aux citoyens américains appelés à voyager en Algérie, qui dresse une situation sécuritaire aussi anxiogène que fausse, ensuite les prédictions du directeur exécutif du centre Madariaga-Collège d’Europe et directeur général honoraire à la Commission européenne, Pierre Defraigne, qui croit voir dans le marc du café un parallèle entre la Syrie et l'Algérie, et, maintenant, cette opération médiatique pour creuser un fossé entre les Algériens et des sociétés de pays voisins et africains, au moment où des tentatives d’infiltration au sein de l’Union africaine visent a étouffer l’aspiration d’un peuple à son émancipation. L’Algérie, qui a été la Mecque des révolutionnaires, le refuge et le soutien des damnés de la terre des quatre continents dans un monde bipolaire, qui a inscrit dans le grand livre de la Coexistence pacifique des chapitres dédiés à la paix et au dénouement, sans effusion de sang, des crises, qui a effacé les dettes de nombreux pays africains, ouvert des ponts aériens pour porter secours, apporter des vivres et des médicaments, mettre son potentiel sanitaire et médical au service de populations et d’États frappés par des catastrophes naturelles, qui offre chaque année à des milliers d’Africains une formation dans nos universités, avec des bourses, logement en cité universitaire, restau U et transport, peut-elle agir comme le laissent entendre certains médias et analystes de pays voisins ou lointains ? On parle de racisme en Algérie ! Contrairement à l’Europe, si rapide à sortir de ses catacombes les parchemins sur la Déclaration universelle des droits de l’homme, qu’elle a reniée à ses frontières verrouillées par Frontex, bafouillée sur ses terres par un discours xénophobe banalisé, en Algérie, aucun parti d’extrême droite n’a droit de cité, ne siège au Parlement ou participe au gouvernement. Notre armée ne foule pas des terres étrangères, n’est coupable d’aucune exaction contre des populations sans défense et ne participe à aucune rapine ou spoliation de terres ou de ressources naturelles d’un pays. L’Algérie, par sa position géographique, a été naturellement un pays de transit pour les peuples d’Afrique subsaharienne en route vers l’Europe. Mais ces dernières années, notre pays est devenu une terre de destination et d’établissement pour ces populations, pour une raison fort simple : la quiétude, le sentiment de sécurité, l’hospitalité et le dynamisme de ses projets synonymes de travail, contrairement à une Europe repliée sur elle-même, agressive et égoïste, avec des perspectives quasi nulles d’insertion par le travail. Cette fixation durable sur notre sol s’est malheureusement accompagnée par des activités et des comportements de quelques individus coupables de faits délictuels. Une situation qui a contraint les pouvoirs publics à prendre en dernier recours des mesures pour stopper «les atteintes récurrentes» à l'ordre public commises dans plusieurs régions du pays et, notamment, à Alger où des «dépassements graves» ont été enregistrés, «en particulier des actes de vandalisme et des agressions physiques inacceptables, et injustifiées contre des bénévoles du Croissant-Rouge algérien». Une opération ponctuelle menée dans le respect des droits humains et «conformément aux engagements internationaux de l’Algérie».
EL MOUDJAHID
Il est d’ailleurs significatif de relever la simultanéité de ces sorties médiatiques contre notre pays qui se présentent comme sans lien apparent entre elles, et qui pourtant relèvent d’un scénario mettant en action un même sicaire que l’on voudrait annonciateur de troubles et de violence. La mise à jour périodique du «Travel Warning» destiné aux citoyens américains appelés à voyager en Algérie, qui dresse une situation sécuritaire aussi anxiogène que fausse, ensuite les prédictions du directeur exécutif du centre Madariaga-Collège d’Europe et directeur général honoraire à la Commission européenne, Pierre Defraigne, qui croit voir dans le marc du café un parallèle entre la Syrie et l'Algérie, et, maintenant, cette opération médiatique pour creuser un fossé entre les Algériens et des sociétés de pays voisins et africains, au moment où des tentatives d’infiltration au sein de l’Union africaine visent a étouffer l’aspiration d’un peuple à son émancipation. L’Algérie, qui a été la Mecque des révolutionnaires, le refuge et le soutien des damnés de la terre des quatre continents dans un monde bipolaire, qui a inscrit dans le grand livre de la Coexistence pacifique des chapitres dédiés à la paix et au dénouement, sans effusion de sang, des crises, qui a effacé les dettes de nombreux pays africains, ouvert des ponts aériens pour porter secours, apporter des vivres et des médicaments, mettre son potentiel sanitaire et médical au service de populations et d’États frappés par des catastrophes naturelles, qui offre chaque année à des milliers d’Africains une formation dans nos universités, avec des bourses, logement en cité universitaire, restau U et transport, peut-elle agir comme le laissent entendre certains médias et analystes de pays voisins ou lointains ? On parle de racisme en Algérie ! Contrairement à l’Europe, si rapide à sortir de ses catacombes les parchemins sur la Déclaration universelle des droits de l’homme, qu’elle a reniée à ses frontières verrouillées par Frontex, bafouillée sur ses terres par un discours xénophobe banalisé, en Algérie, aucun parti d’extrême droite n’a droit de cité, ne siège au Parlement ou participe au gouvernement. Notre armée ne foule pas des terres étrangères, n’est coupable d’aucune exaction contre des populations sans défense et ne participe à aucune rapine ou spoliation de terres ou de ressources naturelles d’un pays. L’Algérie, par sa position géographique, a été naturellement un pays de transit pour les peuples d’Afrique subsaharienne en route vers l’Europe. Mais ces dernières années, notre pays est devenu une terre de destination et d’établissement pour ces populations, pour une raison fort simple : la quiétude, le sentiment de sécurité, l’hospitalité et le dynamisme de ses projets synonymes de travail, contrairement à une Europe repliée sur elle-même, agressive et égoïste, avec des perspectives quasi nulles d’insertion par le travail. Cette fixation durable sur notre sol s’est malheureusement accompagnée par des activités et des comportements de quelques individus coupables de faits délictuels. Une situation qui a contraint les pouvoirs publics à prendre en dernier recours des mesures pour stopper «les atteintes récurrentes» à l'ordre public commises dans plusieurs régions du pays et, notamment, à Alger où des «dépassements graves» ont été enregistrés, «en particulier des actes de vandalisme et des agressions physiques inacceptables, et injustifiées contre des bénévoles du Croissant-Rouge algérien». Une opération ponctuelle menée dans le respect des droits humains et «conformément aux engagements internationaux de l’Algérie».
EL MOUDJAHID