Par Faycal Benmoussa - 18 décembre 2016
L’auteur du viol de la jeune fille Sarah et dont la scène abjecte a été diffusée sur les réseaux sociaux, et son acolyte, une certaine Shahinez, seront traduits ce matin devant le procureur de la République près le tribunal de Frenda, à Tiaret.
Identifié et localisés par les services de sécurité, ces deux individus été arrêtés, hier soir, dans la région de Frenda.
Selon les premiers éléments de l’enquête judiciaire, Sarah a été victime d’un règlement de compte familial.
Sa copine a fomenté tout un scénario pour la convaincre à la suivre vers la sortie de leur douar où un délinquant notoire l’attendait.
Sur les lieux, comme le montrait la vidéo, le tortionnaire tabassait et déshabillait sa victime, alors que son acolyte filmait la scène pour la diffuser sur le Web.
Les griefs retenus à l’encontre de ces deux individus sont nombreux. Ils risquent une lourde peine pour enlèvement, séquestration, coups et blessures volontaires et diffusion de scènes de viol sur les réseaux sociaux.
Autrement dit, toutes les circonstances sont aggravantes. Quant à la victime, elle a été conduite dans les locaux des services de sécurité pour fournir le maximum de renseignements, d’une part, et pour être prise en charge par une psychologue.
L’auteur du viol de la jeune fille Sarah et dont la scène abjecte a été diffusée sur les réseaux sociaux, et son acolyte, une certaine Shahinez, seront traduits ce matin devant le procureur de la République près le tribunal de Frenda, à Tiaret.
Identifié et localisés par les services de sécurité, ces deux individus été arrêtés, hier soir, dans la région de Frenda.
Selon les premiers éléments de l’enquête judiciaire, Sarah a été victime d’un règlement de compte familial.
Sa copine a fomenté tout un scénario pour la convaincre à la suivre vers la sortie de leur douar où un délinquant notoire l’attendait.
Sur les lieux, comme le montrait la vidéo, le tortionnaire tabassait et déshabillait sa victime, alors que son acolyte filmait la scène pour la diffuser sur le Web.
Les griefs retenus à l’encontre de ces deux individus sont nombreux. Ils risquent une lourde peine pour enlèvement, séquestration, coups et blessures volontaires et diffusion de scènes de viol sur les réseaux sociaux.
Autrement dit, toutes les circonstances sont aggravantes. Quant à la victime, elle a été conduite dans les locaux des services de sécurité pour fournir le maximum de renseignements, d’une part, et pour être prise en charge par une psychologue.
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