Inauguré cette semaine, le nouveau siège de son association « Bachaer Echifaa », une clinique de « ruqiya », située à Relizane, devrait être fermée dans les prochaines heures, a-t-on appris de source sûre. Le wali de Relizane a reçu des instructions pour procéder à la fermeture de l’établissement accusé d’exercice illégal de la médecine.
Cette décision intervient quelques jours après l’éclatement du scandale RHB, du nom du compliment alimentaire présenté comme un « remède miraculeux » contre le diabète. « Les autorités ont décidé de ne pas laisser passer les charlatans et les médecins officieux », explique notre source. « Nous avons un bon système de santé que nous essayons d’améliorer », ajoute-t-elle.
Nous combattrons avec une extrême rigueur les « faiseurs de miracles et les charlatans qui profitent de la fragilité et du malheur des gens. Ces pratiquent peuvent avoir des conséquences tragiques. Nous avons une médecine moderne et des praticiens compétents. Il faut leur faire confiance », a détaillé notre source.
En 2015, chefik Belahmar a été auditionné et placé en garde à vue par la police suite au décès d’une jeune étudiante originaire de Bordj Bou-Arreridj. Cette dernière avait été traitée dans le local de son association, selon Liberté.
TSA
Cette décision intervient quelques jours après l’éclatement du scandale RHB, du nom du compliment alimentaire présenté comme un « remède miraculeux » contre le diabète. « Les autorités ont décidé de ne pas laisser passer les charlatans et les médecins officieux », explique notre source. « Nous avons un bon système de santé que nous essayons d’améliorer », ajoute-t-elle.
Nous combattrons avec une extrême rigueur les « faiseurs de miracles et les charlatans qui profitent de la fragilité et du malheur des gens. Ces pratiquent peuvent avoir des conséquences tragiques. Nous avons une médecine moderne et des praticiens compétents. Il faut leur faire confiance », a détaillé notre source.
En 2015, chefik Belahmar a été auditionné et placé en garde à vue par la police suite au décès d’une jeune étudiante originaire de Bordj Bou-Arreridj. Cette dernière avait été traitée dans le local de son association, selon Liberté.
TSA
Commentaire