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jeudi 22 décembre 2016 | Par Zahra Rahmouni
La Banque centrale marocaine a revu le taux de croissance de l’économie à la baisse pour l’année 2016 et a maintenu son taux directeur inchangé à 2,25%.
Dans un communiqué, disponible sur son site internet, et faisant suite à une réunion tenue mardi 20 décembre, la Bank Al-Maghrib annonce qu’elle a « révisé sa prévision de la croissance pour 2016 à la baisse de 1,4% à 1,2% ». Elle précise néanmoins que celle-ci devrait repartir à la hausse dès l’année prochaine avec un taux de « 4,2% en 2017 » et « 3,7% en 2018, soutenue par des conditions monétaires accommodantes et une hausse des revenus, notamment agricoles ».
L‘inflation devrait s’établir à 1,6% en 2016 puis à 1% en 2017, a indiqué le conseil de la Bank Al-Maghrib. Quant au déficit budgétaire, il a été ajusté à 3,5% du PIB au lieu de 3,8%.
Selon les estimations de la Banque centrale marocaine, ce déficit devrait passer à 3,1% du PIB en 2017 puis 2,8% du PIB e 2018.
Au Maroc, le troisième trimestre 2016 a par ailleurs été marqué par une baisse du taux de chômage qui s’établit à 9,6% (contre 10,1% à la même période en 2015). Cette tendance ne concerne néanmoins pas les jeunes citadins de 15 à 24 ans chez qui le taux de chômage augmente légèrement pour atteindre 40,8%.
TSA
La Banque centrale marocaine a revu le taux de croissance de l’économie à la baisse pour l’année 2016 et a maintenu son taux directeur inchangé à 2,25%.
Dans un communiqué, disponible sur son site internet, et faisant suite à une réunion tenue mardi 20 décembre, la Bank Al-Maghrib annonce qu’elle a « révisé sa prévision de la croissance pour 2016 à la baisse de 1,4% à 1,2% ». Elle précise néanmoins que celle-ci devrait repartir à la hausse dès l’année prochaine avec un taux de « 4,2% en 2017 » et « 3,7% en 2018, soutenue par des conditions monétaires accommodantes et une hausse des revenus, notamment agricoles ».
L‘inflation devrait s’établir à 1,6% en 2016 puis à 1% en 2017, a indiqué le conseil de la Bank Al-Maghrib. Quant au déficit budgétaire, il a été ajusté à 3,5% du PIB au lieu de 3,8%.
Selon les estimations de la Banque centrale marocaine, ce déficit devrait passer à 3,1% du PIB en 2017 puis 2,8% du PIB e 2018.
Au Maroc, le troisième trimestre 2016 a par ailleurs été marqué par une baisse du taux de chômage qui s’établit à 9,6% (contre 10,1% à la même période en 2015). Cette tendance ne concerne néanmoins pas les jeunes citadins de 15 à 24 ans chez qui le taux de chômage augmente légèrement pour atteindre 40,8%.
TSA
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