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L’ambassadeur d’Algérie en Égypte et son délégué permanent auprès de la Ligue arabe, Nadhir El Arbaoui a indiqué mardi que « l’Algérie a sans cesse mis en garde contre les incidences graves des options militaires sur la paix et la sécurité régionales et internationales».
Lors de son intervention en marge de la 4e réunion ministérielle arabo-européenne tenue au Caire, l’ambassadeur d’Algérie en Égypte a rappelé que « l'Algérie a toujours appelé à faire prévaloir le dialogue global et la réconciliation nationale loin de toute ingérence étrangère dans les affaires internes de ces pays frères à même d'aboutir à des solutions politiques pacifiques et consensuelles».
Revenant sur la situation qui règne dans la région actuellement marquée par l’escalade de violence et les conflits armés, le diplomate algérien a fait savoir que « des menaces multiples et complexes guettent les pays arabes frères qui sont le théâtre de conflits et d'interventions étrangères et font face aux menaces des groupes terroristes».
A ce sujet, El Arbaoui a cité la crise libyenne en mettant l’accent sur « la nécessité d'appuyer le dialogue national dans ce pays frère sous l’égide des Nations unies», réitérant ainsi « l'attachement de l'Algérie au dialogue global et à la réconciliation nationale entre toutes les parties libyennes à l'exception des groupes terroristes».
Revenant sur le phénomène du terrorisme et du crime organisé transnational, l’orateur a insisté sur la nécessité de « criminaliser toutes ses sources de financement y compris la paiement des rançons».
A ce propos, il a affirmé que l’Algérie -qui a affronté seule le terroriste durant une décennie- avait mis en garde contre les risques du phénomène de la criminalité et adopté, sous la direction du président de la République Abdelaziz Bouteflika, une stratégie globale aux dimensions politique, économique et sociale pour éradiquer ce fléau transnational et lutter contre l'extrémisme».
Par ailleurs, El Arbaoui n’a pas omis de soulever la question palestinienne qui, à ses yeux, « vient en tête des défis de l'heure à la lumière des agressions systématiques de l'occupant israélien contre le peuple palestinien, de sa politique de colonisation et de son déni du processus de paix et des Chartes internationales».
A cet effet, il a tenu à appeler « la communauté internationale et en particulier le Conseil de sécurité à assumer ses responsabilités et amener le colon israélien à respecter la légalité internationale, à mettre fin à la colonisation des territoires palestiniens et à garantir le droit du peuple palestinien à l'établissement d'un Etat indépendant avec El Qods pour capitale».
S’agissant de l’émigration, El Arbaoui a estimé qu’ «elle figure parmi les défis que doivent relever les deux ensembles, arabe et européen, dans le cadre de leur coopération».
«Partant de la responsabilité commune, il convient dans le cadre du dialogue stratégique avec la partie européenne de traiter cette question selon une vision consensuelle et globale loin de toute approche sécuritaire unilatérale ou de toute politique restrictive qui limiterait la liberté de circulation des individus», a soutenu le délégué permanent de l’Algérie auprès de la Ligue des Etats arabes.
Et le chef de la mission diplomatique algérienne au Caire de poursuivre: «Il convient aussi de préserver les droits et la dignité des migrants à la faveur d'une coopération entre les deux ensembles +fondée sur la prise de conscience de notre destin commun et nos responsabilités collectives dans la construction de l'avenir de nos générations futures dans le cadre du rapprochement, de l'entente et de la solidarité+».
echorouk
Lors de son intervention en marge de la 4e réunion ministérielle arabo-européenne tenue au Caire, l’ambassadeur d’Algérie en Égypte a rappelé que « l'Algérie a toujours appelé à faire prévaloir le dialogue global et la réconciliation nationale loin de toute ingérence étrangère dans les affaires internes de ces pays frères à même d'aboutir à des solutions politiques pacifiques et consensuelles».
Revenant sur la situation qui règne dans la région actuellement marquée par l’escalade de violence et les conflits armés, le diplomate algérien a fait savoir que « des menaces multiples et complexes guettent les pays arabes frères qui sont le théâtre de conflits et d'interventions étrangères et font face aux menaces des groupes terroristes».
A ce sujet, El Arbaoui a cité la crise libyenne en mettant l’accent sur « la nécessité d'appuyer le dialogue national dans ce pays frère sous l’égide des Nations unies», réitérant ainsi « l'attachement de l'Algérie au dialogue global et à la réconciliation nationale entre toutes les parties libyennes à l'exception des groupes terroristes».
Revenant sur le phénomène du terrorisme et du crime organisé transnational, l’orateur a insisté sur la nécessité de « criminaliser toutes ses sources de financement y compris la paiement des rançons».
A ce propos, il a affirmé que l’Algérie -qui a affronté seule le terroriste durant une décennie- avait mis en garde contre les risques du phénomène de la criminalité et adopté, sous la direction du président de la République Abdelaziz Bouteflika, une stratégie globale aux dimensions politique, économique et sociale pour éradiquer ce fléau transnational et lutter contre l'extrémisme».
Par ailleurs, El Arbaoui n’a pas omis de soulever la question palestinienne qui, à ses yeux, « vient en tête des défis de l'heure à la lumière des agressions systématiques de l'occupant israélien contre le peuple palestinien, de sa politique de colonisation et de son déni du processus de paix et des Chartes internationales».
A cet effet, il a tenu à appeler « la communauté internationale et en particulier le Conseil de sécurité à assumer ses responsabilités et amener le colon israélien à respecter la légalité internationale, à mettre fin à la colonisation des territoires palestiniens et à garantir le droit du peuple palestinien à l'établissement d'un Etat indépendant avec El Qods pour capitale».
S’agissant de l’émigration, El Arbaoui a estimé qu’ «elle figure parmi les défis que doivent relever les deux ensembles, arabe et européen, dans le cadre de leur coopération».
«Partant de la responsabilité commune, il convient dans le cadre du dialogue stratégique avec la partie européenne de traiter cette question selon une vision consensuelle et globale loin de toute approche sécuritaire unilatérale ou de toute politique restrictive qui limiterait la liberté de circulation des individus», a soutenu le délégué permanent de l’Algérie auprès de la Ligue des Etats arabes.
Et le chef de la mission diplomatique algérienne au Caire de poursuivre: «Il convient aussi de préserver les droits et la dignité des migrants à la faveur d'une coopération entre les deux ensembles +fondée sur la prise de conscience de notre destin commun et nos responsabilités collectives dans la construction de l'avenir de nos générations futures dans le cadre du rapprochement, de l'entente et de la solidarité+».
echorouk
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