Pour les profanes, il faut savoir que véritablement ce conflit prend sa source en 1958 lorsque l'armée royaliste marocaine s'était rangée du côté de l'Espagne et de la France afin d'anéantir la rébellion de l'armée marocaine de libération (à ne pas confondre avec les FAR) lors de la sinistre opération nommée: Ecouvillon/ Ouragan.
-Ecouvillon a certainement été à l’origine du problème. En 1958, Le Maroc avait une armée ‘officielle’, structurée comme les armées modernes et encadrée à l’européenne (les FAR) et une guérilla bien équipée, très mobile et en constante coordination avec sa consœur algérienne. Il s’agit de l’Armée de Libération Marocaine, qui opérait au nord du Maroc depuis 1955, et qui s’est infiltrée petit à petit au Sud, après la signature des accords de La Celle Saint-Cloud.
Ceux qui sont passés par le système marocain se rappellent peut être (ou pas…) les cartes géographiques ou le Maroc recouvre peu à peu son indépendance et son autorité sur des territoires donnés. Au sud de Sidi Ifni, les français et les espagnols étaient encore présents, et l’ALM opérait souvent des incursions en profondeur pour détruire des installations militaires franco-espagnoles. Cette armée avait des chefs comme Fqih Basri, M. Bensaïd Aït Idder, A. Yousoufi, résistants qui entendaient prolonger la lutte armée pour libérer tout le Maghreb.
-Ecouvillon a certainement été à l’origine du problème. En 1958, Le Maroc avait une armée ‘officielle’, structurée comme les armées modernes et encadrée à l’européenne (les FAR) et une guérilla bien équipée, très mobile et en constante coordination avec sa consœur algérienne. Il s’agit de l’Armée de Libération Marocaine, qui opérait au nord du Maroc depuis 1955, et qui s’est infiltrée petit à petit au Sud, après la signature des accords de La Celle Saint-Cloud.
Ceux qui sont passés par le système marocain se rappellent peut être (ou pas…) les cartes géographiques ou le Maroc recouvre peu à peu son indépendance et son autorité sur des territoires donnés. Au sud de Sidi Ifni, les français et les espagnols étaient encore présents, et l’ALM opérait souvent des incursions en profondeur pour détruire des installations militaires franco-espagnoles. Cette armée avait des chefs comme Fqih Basri, M. Bensaïd Aït Idder, A. Yousoufi, résistants qui entendaient prolonger la lutte armée pour libérer tout le Maghreb.
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