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Le nickel a battu un nouveau record historique jeudi à Londres. Le cours du métal est poussé par les inquiétudes quant à l'approvisionnement et l'amenuisement des stocks déjà faibles.
Le cours du nickel pour livraison dans trois mois a grimpé jusqu'à un nouveau record, à 38 798 dollars (48 110 francs) la tonne, sur la plate-forme électronique du London Metal Exchange (LME), premier marché à terme de métaux dans le monde.
Le métal a battu son record pour la septième séance consécutive, portant ses gains à 9,2 % depuis le 17 janvier à la clôture. Les cours du métal sont dopés par la demande très élevée et la faiblesse des stocks disponibles sur le LME, qui ont fondu de plus de 86 % en un an. Au 25 janvier, ils s'élevaient à 4950 tonnes, leur plus bas niveau depuis le 11 octobre.
Le conflit social sur le site de Sudbury (Canada) du groupe minier Xstrata, qui assure 4 % de l'offre mondiale de nickel, inquiète les investisseurs. Les salariés de Sudbury prévoient de se mettre en grève dans le cas où les négociations sur le renouvellement de leur contrat de travail échoueraient au 31 janvier.
Les analystes tablent sur une possible percée jusqu'à 40 000 dollars la tonne si les négociations se soldent par un échec. «Les prix pourraient grimper à 40 000 dollars la tonne, mais un mouvement brusque de vente semble de plus en plus probable, en particulier s'il n'y a pas de grève à Sudbury», a indiqué Robin Bhar d'UBS.
Source: SDA/ATS
Le nickel a battu un nouveau record historique jeudi à Londres. Le cours du métal est poussé par les inquiétudes quant à l'approvisionnement et l'amenuisement des stocks déjà faibles.
Le cours du nickel pour livraison dans trois mois a grimpé jusqu'à un nouveau record, à 38 798 dollars (48 110 francs) la tonne, sur la plate-forme électronique du London Metal Exchange (LME), premier marché à terme de métaux dans le monde.
Le métal a battu son record pour la septième séance consécutive, portant ses gains à 9,2 % depuis le 17 janvier à la clôture. Les cours du métal sont dopés par la demande très élevée et la faiblesse des stocks disponibles sur le LME, qui ont fondu de plus de 86 % en un an. Au 25 janvier, ils s'élevaient à 4950 tonnes, leur plus bas niveau depuis le 11 octobre.
Le conflit social sur le site de Sudbury (Canada) du groupe minier Xstrata, qui assure 4 % de l'offre mondiale de nickel, inquiète les investisseurs. Les salariés de Sudbury prévoient de se mettre en grève dans le cas où les négociations sur le renouvellement de leur contrat de travail échoueraient au 31 janvier.
Les analystes tablent sur une possible percée jusqu'à 40 000 dollars la tonne si les négociations se soldent par un échec. «Les prix pourraient grimper à 40 000 dollars la tonne, mais un mouvement brusque de vente semble de plus en plus probable, en particulier s'il n'y a pas de grève à Sudbury», a indiqué Robin Bhar d'UBS.
Source: SDA/ATS