A l'évidence, l'affaire du complément alimentaire RHB, plus connu sous le nom de «Rahmat Rabbi» que lui a donné son concepteur, n'a pas fini de faire l'actualité et susciter des réactions des diabétiques à travers les régions du pays.
Vendredi dernier, vers 16 heures, ces derniers, une quarantaine environ venus de plusieurs wilayas du pays, surtout de l'Ouest, comme Oran, Tiaret, Sidi Bel-Abbès.., se sont retrouvés au centre de Constantine pour manifester en faveur du rétablissement et la vente libre de ce qu'ils ont appelé «le médicament RHB», affirmant que celui-ci est «très efficace» pour les diabétiques qui «s'y sont retrouvés avec», assurant même que «ceux qui l'ont utilisé ont vu leur santé s'améliorer».
Ils ont considéré alors que les pouvoirs publics devraient analyser le produit dans des laboratoires étrangers, «plus sûrs et plus compétents», d'après eux, avant de se prononcer sur son interdiction.
Les manifestants qui s'étaient rassemblés sur la place du Premier Novembre en face des bâtiments du théâtre régional et de la grande poste de Constantine, ont révélé qu'ils se sont connus sur les réseaux sociaux et ils ont convenu de se rencontrer à Constantine, dans la ville où a été conçu le «RHB» pour «réclamer ce qui est de leur droit». C'est en tout cas ce qu'ils ont déclaré aux journalistes de la presse écrite et des chaînes de télévision privées qui les interrogeaient.
Par la suite, les manifestants ont proclamé leur intention de poursuivre l'action dans d'autres régions du pays et ils ont annoncé : «Aujourd'hui, à partir de Constantine, nous proclamons la naissance d'une association de diabétiques qui réunira tous les malades d'Algérie pour défendre leurs intérêts et servir d'interface avec les pouvoirs publics». Interrogés, quelques-uns ont réclamé leur droit au traitement avec toute sorte de médicament qui leur convienne. «Cela fait maintenant plus de 6 années que je poursuis un traitement contre le diabète. Et c'est seulement lorsque j'ai commencé à prendre le RHB que je me sens très bien», n'a pas hésité à déclarer une manifestante.
source: lequotidien-oran
Vendredi dernier, vers 16 heures, ces derniers, une quarantaine environ venus de plusieurs wilayas du pays, surtout de l'Ouest, comme Oran, Tiaret, Sidi Bel-Abbès.., se sont retrouvés au centre de Constantine pour manifester en faveur du rétablissement et la vente libre de ce qu'ils ont appelé «le médicament RHB», affirmant que celui-ci est «très efficace» pour les diabétiques qui «s'y sont retrouvés avec», assurant même que «ceux qui l'ont utilisé ont vu leur santé s'améliorer».
Ils ont considéré alors que les pouvoirs publics devraient analyser le produit dans des laboratoires étrangers, «plus sûrs et plus compétents», d'après eux, avant de se prononcer sur son interdiction.
Les manifestants qui s'étaient rassemblés sur la place du Premier Novembre en face des bâtiments du théâtre régional et de la grande poste de Constantine, ont révélé qu'ils se sont connus sur les réseaux sociaux et ils ont convenu de se rencontrer à Constantine, dans la ville où a été conçu le «RHB» pour «réclamer ce qui est de leur droit». C'est en tout cas ce qu'ils ont déclaré aux journalistes de la presse écrite et des chaînes de télévision privées qui les interrogeaient.
Par la suite, les manifestants ont proclamé leur intention de poursuivre l'action dans d'autres régions du pays et ils ont annoncé : «Aujourd'hui, à partir de Constantine, nous proclamons la naissance d'une association de diabétiques qui réunira tous les malades d'Algérie pour défendre leurs intérêts et servir d'interface avec les pouvoirs publics». Interrogés, quelques-uns ont réclamé leur droit au traitement avec toute sorte de médicament qui leur convienne. «Cela fait maintenant plus de 6 années que je poursuis un traitement contre le diabète. Et c'est seulement lorsque j'ai commencé à prendre le RHB que je me sens très bien», n'a pas hésité à déclarer une manifestante.
source: lequotidien-oran
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