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Hausse des prix et multiplication des contrôles : les commerçants en colère, se préparent à la grève

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  • Hausse des prix et multiplication des contrôles : les commerçants en colère, se préparent à la grève

    Les commerçants sont en colère et se préparent à une grève d’une semaine à partir du 2 janvier. La hausse des prix et la multiplication des contrôles des services du ministère du Commerce sont à l’origine de ce mécontentement. Dimanche, une réunion houleuse a eu lieu au siège de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA). Des commerçants ont dénoncé la « hogra » et « les charges exorbitantes ». Ils comptent entamer une grève générale à partir du 2 janvier.

    « Rien ne va plus. Les prix des produits importés ont augmenté. La TVA a augmenté. Nous subissons des pressions. Cette grève est légitime », affirme Salim. gérant d’un magasin de produits laitiers au centre d’Alger.

    « Je suis de très près l’appel à la grève sur les réseaux sociaux. Le service de contrôle m’a dressé une amende de 20.000 dinars récemment à cause de l’absence de l’adresse du fabricant sur la boîte d’un produit local. Ce n’est pas la première fois que je reçois ce genre de pénalisations », affirme Dahmane, gérant d’un bureau tabac.

    Mohammed, gérant d’un magasin d’alimentation générale, compte changer carrément d’activité. « Je vais changer d’activité. Je ne gagne plus ma vie décemment. Les produits importés ont augmenté. Au lieu de pénaliser les importateurs ou de trouver des solutions, ce sont les commerçants qui sont traité de spéculateurs », dénonce-t-il.
    « Avec la hausse des prix, nous n’arrivons plus à vendre nos produits. Au prix de 450 DA le kilo, la banane par exemple est devenu un luxe pour beaucoup de familles. J’adhère totalement à l’appel à la grève », explique un commerçant de Bejaia.

    Pour exprimer leur mécontentement, les commerçants ont lancé via les réseaux sociaux un appel à la grève du 2 au 7 janvier.

    Face aux plaintes des commerçants, l’UGCAA tente de désamorcer la crise. « Nous avons réuni des représentants des 48 wilayas afin d’écouter leurs problèmes et de faire en sorte de leur trouver des solutions », explique son secrétaire général Saleh Souilah qui dit avoir demandé à ses représentants de « s’abstenir de faire grèves au moins jusqu’au 2 janvier ». Il assure que le ministre du Commerce est prêt à « répondre à tous leurs besoins ».

    Les commerçants de Tizi Ouzou et de Bouira ont observé, il y a quelques jours, une grève générale pour exprimer leur colère contre les services de contrôle qui « exagèrent dans la pénalisation et la verbalisation, les procédures contraignantes et arbitraires des différents services des impôts. »

    Les grossistes de la région ont dénoncé également « le non-respect des lois et de la réglementation en vigueur de la part de la Casnos de Tizi Ouzou ». Ils ont protesté contre les « charges exorbitantes que subissent les commerçants et artisans ».
    TSA

  • #2
    Encore cette histoire de la banane

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    • #3
      Reste à savoir si ces bananes ont vraiment augmenté chez les pays producteurs ou bien cette augmentation a été décidée par les importateurs Algériens .
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #4
        Reste à savoir si ces bananes ont vraiment augmenté chez les pays producteurs ou bien cette augmentation a été décidée par les importateurs Algériens .
        Augmentation de la TVA, la baisse de la valeur du dinar...

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        • #5
          NordSud

          Encore cette histoire de la banane
          Il fut un temps ou en Algérie , si quelqu'un trouve une peau de banane parterre , toute la ville saura et fera son enquête pour essayer de trouver ce veinard qui a osé manger ce fruit interdit . la banane a une longue et riche histoire en Algérie , c'est presque un fruit sacré

          Commentaire


          • #6
            Il fut un temps ou en Algérie , si quelqu'un trouve une peau de banane parterre , toute la ville saura et fera son enquête pour essayer de trouver ce veinard qui a osé manger ce fruit interdit . la banane a une longue et riche histoire en Algérie , c'est presque un fruit sacré
            Ce n'était pas le cas dans les années 1960.

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            • #7
              Ce n'était pas le cas dans les années 1960.
              Tu dois -être né bien avant , pas moi , les gens en ces temps n'étaient pas exigeants et se contentaient du peu

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              • #8
                Les prix , les taxes en France ont bien augmentés mais pourquoi c'est moins visible qu'ailleurs , le ministre de la finance algérien a bien des leçons à prendre

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                • #9
                  Tu dois -être né bien avant , pas moi , les gens en ces temps n'étaient pas exigeants et se contentaient du peu
                  Les bananes ne coûtaient pas chers dans les années 1960.

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                  • #10
                    Les prix , les taxes en France ont bien augmentés mais pourquoi c'est moins visible qu'ailleurs , le ministre de la finance algérien a bien des leçons à prendre
                    Le Dinar n'est pas une devise , pour importer on doit utiliser des devises , les devises proviennent du petrole , le petrole ne vaut plus grand chose , donc , peu de devises dans les caisses , automatiquement les prix grimpent !

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                    • #11
                      Les bananes ne coûtaient pas chers dans les années 1960.
                      Peut etre que la banane n'était disponible que dans les grandes villes , juste apres l'indépendance , petit , je ne me rappelle pas en avoir vu !

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                      • #12
                        FA aujourd'hui c'est banana splash tellement ça split

                        Perso, j'ai un grand respect pour ce fruit car dans les années 70, j'habitais à télémly, et quand j'allais chercher le pain, il y avait des gens dans la rue qui vendaient des bananes sur un carton retourné.

                        Pour moi, c'était impossible d'en acheter car ...... y en avait l'arjon que pour el khobz; avec sanoudj quand c'était la fête !!

                        Quelle tristesse de constater que dans mon propre chez moi aujourd'hui, on utilise ces mêmes bananes et autres précieux fruits plus comme un ornement décoratif que comme un aliment.

                        Et dire que certains diraient qu'ils ont fait du chemin !!!
                        Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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                        • #13
                          FA aujourd'hui c'est banana splash tellement ça split

                          Scootie

                          allez tu as tendu la perche, juste pour toi,

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                          • #14
                            Peut etre que la banane n'était disponible que dans les grandes villes , juste apres l'indépendance , petit , je ne me rappelle pas en avoir vu !
                            J'habitais à Alger, les bananes ont disparu avec la révolution agraire.

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                            • #15
                              ILS FONT GREVE POUR LA HAUSSE DES PRIX
                              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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