Je parie que cette information n'était pas encore parvenue à vos oreilles, ou du moins pas comme elle aurait du l'être. Cette année, le "Prix du journaliste de l'année" de l'ONG française Reporters sans frontières a été remporté par Hadi Abdullah, opposant d'Assad mais aussi...grand partisan du djihad et du groupe terroriste al nosra. Comment ? Les médias ne vous avait pas parlé de ce "petit détail" ?
Le Syrien Hadi Abdullah désigné « journaliste de l’année » par Reporters sans frontières.Ce journaliste indépendant âgé de 29 ans a remporté le prix RSF, un an après une de ses consœurs syriennes.
Le Syrien Hadi Abdullah désigné « journaliste de l’année » par Reporters sans frontières.Ce journaliste indépendant âgé de 29 ans a remporté le prix RSF, un an après une de ses consœurs syriennes.
Le journal Le Monde et Libération, qui régurgite la même soupe, nous annoncent fièrement qu'Abdullah "n'hésite pas à s'aventurer dans des zones dangereuses...ou plus aucun journaliste occidental ne se risque - pour filmer et interroger des acteurs de la société civile". Nous allons vite comprendre pourquoi...et surtout voir qui sont ces "acteurs de la société civile"
Voici Hadi Abdullah en compagnie du djihadiste Abdullah al-Mohaisany, command d'al-nosra
Celui là aussi est un cas. Il est l'une des sources souvent rapportée par les médias occidentaux dans le conflit syrien et lui aussi a remporté un prix cette année, certes moins prestigieux mais quand même. Il s'agit du prix Bayeux-Calvado qui récompense les correspondants de guerres.
Or on constate que notre "journaliste de l'année" semble vraiment proche de ce commandant de nosra mais pas uniquement. En fait, si Hadi Abdullah peut aller là ou "aucun journaliste occidental ne se risque", c'est parce qu'il est des leurs à 100%. Et les "acteurs de la société civile" qu'il film et interroge s'avèrent être tous des djihadistes qui militent pour l’instauration d'un califat islamique en Syrie.
Notre grand journaliste de l'année 2016, dont les médias vantent les mérites s'avère être ni plus ni moins qu'un soutient de la propagande terroriste d'al nosra.
Notre grand journaliste de l'année 2016, dont les médias vantent les mérites s'avère être ni plus ni moins qu'un soutient de la propagande terroriste d'al nosra.
Celui là aussi est un cas. Il est l'une des sources souvent rapportée par les médias occidentaux dans le conflit syrien et lui aussi a remporté un prix cette année, certes moins prestigieux mais quand même. Il s'agit du prix Bayeux-Calvado qui récompense les correspondants de guerres.
Source: Echellejacov
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