La reine britannique, le roi du Maroc et la Corée du nord et d'autres pays se font plaisir de vénérer leurs Rois ou présidents. El commandante a refusé qu'il devienne un culte.
Il n’y aura à Cuba ni statues à l’effigie de Fidel Castro, ni rues ou institutions portant son nom du père de la révolution cubaine. Une loi, approuvée à l’unanimité ce mardi par le Parlement de l’île, interdit, en effet, l’usage du nom de Fidel « pour baptiser des institutions, places, parcs, avenues, rues ou autres sites publics, ainsi que pour tout type de décoration, reconnaissance ou titre honorifique ».
Proposée par le Conseil d’Etat présidé par Raul Castro, la loi se conforme ainsi aux dernières volontés de Fidel Castro, décédé le 25 novembre à 90 ans. Ainsi, la figure du Comandante ne devra pas non plus servir « pour ériger des monuments, bustes, statues, monnaies commémoratives ou autres formes similaires d’hommage ». Enfin, le nom de Fidel Castro, chantre du communisme, ne pourra pas être utilisé « à des fins commerciales ou publicitaires ».
Un artiste pourra s’inspirer de la figure de Fidel pour créer une œuvre
Quelques exceptions sont toutefois prévues dans la loi, comme l’usage du nom de Fidel Castro pour baptiser une institution qui serait exclusivement dédiée à l’étude de « son inestimable trajectoire dans l’histoire » de Cuba, ont précisé des médias cubains qui n’ont pas précisé les sanctions encourues pour quiconque ne respecterait pas cette nouvelle norme.
A noter qu’un artiste pourra s’inspirer de la figure de Fidel pour créer une œuvre et dans les actes publics, centres de travail et d’études et institutions militaires cubaines, son image pourra être représentée, comme c’est déjà le cas actuellement.
Il n’y aura à Cuba ni statues à l’effigie de Fidel Castro, ni rues ou institutions portant son nom du père de la révolution cubaine. Une loi, approuvée à l’unanimité ce mardi par le Parlement de l’île, interdit, en effet, l’usage du nom de Fidel « pour baptiser des institutions, places, parcs, avenues, rues ou autres sites publics, ainsi que pour tout type de décoration, reconnaissance ou titre honorifique ».
Proposée par le Conseil d’Etat présidé par Raul Castro, la loi se conforme ainsi aux dernières volontés de Fidel Castro, décédé le 25 novembre à 90 ans. Ainsi, la figure du Comandante ne devra pas non plus servir « pour ériger des monuments, bustes, statues, monnaies commémoratives ou autres formes similaires d’hommage ». Enfin, le nom de Fidel Castro, chantre du communisme, ne pourra pas être utilisé « à des fins commerciales ou publicitaires ».
Un artiste pourra s’inspirer de la figure de Fidel pour créer une œuvre
Quelques exceptions sont toutefois prévues dans la loi, comme l’usage du nom de Fidel Castro pour baptiser une institution qui serait exclusivement dédiée à l’étude de « son inestimable trajectoire dans l’histoire » de Cuba, ont précisé des médias cubains qui n’ont pas précisé les sanctions encourues pour quiconque ne respecterait pas cette nouvelle norme.
A noter qu’un artiste pourra s’inspirer de la figure de Fidel pour créer une œuvre et dans les actes publics, centres de travail et d’études et institutions militaires cubaines, son image pourra être représentée, comme c’est déjà le cas actuellement.
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