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Par Tewfik Abdelbari | Actualité
Lors de son intervention à la télévision nationale, ce mercredi 28 décembre, le premier ministre, Abdelmalek Sellal, a passé en revue les chiffres et indicateurs macroéconomiques de l’Algérie. TSA a compilé pour vous les principales données relevées par Sellal.
Taux de croissance du PIB en hausse
Le Produit intérieur brut (PIB) de l’Algérie s’est établi, en 2016, à 17.494 milliards de dinars, selon le Premier ministre. Ce chiffre devrait passer à 19.390 milliards en 2017 avant d’atteindre 21.000 milliards en 2018, indique Sellal.
Ainsi, le gouvernement table sur une prévision de croissance de l’économie algérienne de l’ordre 3,9% en 2017. Pour l’année en cours, le taux de croissance du PIB a atteint 3,5%, poursuit le Sellal.
Inflation maîtrisée
L’inflation globale en Algérie reste modérée, à en croire les chiffres officiels annoncés par Abdelmalek Sellal : autour des 4% sur l’ensemble de l’année 2016.
Recettes pétrolières : amélioration en perspective
Les rentrées budgétaires tirées de l’exportation du pétrole sont en chute libre depuis 2014, avec un baril passé de 110 dollars en moyenne, à seulement 43 dollars en 2016. Durant l’année en cours, le gouvernement a comptabilisé 27,5 milliards de dollars de recettes pétrolières.
Celles-ci devraient néanmoins connaître une amélioration dès l’année prochaine, avec une prévision de 35 milliards, selon le Premier ministre. Par la suite, elles devraient atteindre un niveau de 45 milliards de dollars en 2018, indique Sellal. Au passage, le Premier ministre salue les travailleurs de la Sonatrach, « à la hauteur » durant la crise, qui permettent de maintenir et d’améliorer la production.
Dette extérieure insignifiante
Elle est estimée à 3 milliards de dollars. La dette extérieure ne représente ainsi qu’environ 1,8% du PIB : un niveau « insignifiant », selon le Abdelmalek Sellal. Par ailleurs, il indique que l’emprunt obligataire, ayant récolté un montant de 520 milliards de dinars, a permis d’éviter le recours à l’endettement externe.
Financement de l’économie en augmentation
Les crédits bancaires à l’économie sont en hausse sensible en 2016. Sans donner de chiffre, le Premier ministre donne tout de même un taux de croissance de 25% durant l’année. Les financements de l’économie devraient croître dans les mêmes proportions en 2017, selon Sellal.
| LIRE AUSSI : Les réserves de change termineront l’année à 114 milliards de dollars
Lors de son intervention à la télévision nationale, ce mercredi 28 décembre, le premier ministre, Abdelmalek Sellal, a passé en revue les chiffres et indicateurs macroéconomiques de l’Algérie. TSA a compilé pour vous les principales données relevées par Sellal.
Taux de croissance du PIB en hausse
Le Produit intérieur brut (PIB) de l’Algérie s’est établi, en 2016, à 17.494 milliards de dinars, selon le Premier ministre. Ce chiffre devrait passer à 19.390 milliards en 2017 avant d’atteindre 21.000 milliards en 2018, indique Sellal.
Ainsi, le gouvernement table sur une prévision de croissance de l’économie algérienne de l’ordre 3,9% en 2017. Pour l’année en cours, le taux de croissance du PIB a atteint 3,5%, poursuit le Sellal.
Inflation maîtrisée
L’inflation globale en Algérie reste modérée, à en croire les chiffres officiels annoncés par Abdelmalek Sellal : autour des 4% sur l’ensemble de l’année 2016.
Recettes pétrolières : amélioration en perspective
Les rentrées budgétaires tirées de l’exportation du pétrole sont en chute libre depuis 2014, avec un baril passé de 110 dollars en moyenne, à seulement 43 dollars en 2016. Durant l’année en cours, le gouvernement a comptabilisé 27,5 milliards de dollars de recettes pétrolières.
Celles-ci devraient néanmoins connaître une amélioration dès l’année prochaine, avec une prévision de 35 milliards, selon le Premier ministre. Par la suite, elles devraient atteindre un niveau de 45 milliards de dollars en 2018, indique Sellal. Au passage, le Premier ministre salue les travailleurs de la Sonatrach, « à la hauteur » durant la crise, qui permettent de maintenir et d’améliorer la production.
Dette extérieure insignifiante
Elle est estimée à 3 milliards de dollars. La dette extérieure ne représente ainsi qu’environ 1,8% du PIB : un niveau « insignifiant », selon le Abdelmalek Sellal. Par ailleurs, il indique que l’emprunt obligataire, ayant récolté un montant de 520 milliards de dinars, a permis d’éviter le recours à l’endettement externe.
Financement de l’économie en augmentation
Les crédits bancaires à l’économie sont en hausse sensible en 2016. Sans donner de chiffre, le Premier ministre donne tout de même un taux de croissance de 25% durant l’année. Les financements de l’économie devraient croître dans les mêmes proportions en 2017, selon Sellal.
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