Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Maroc:la crise persiste dans le secteur immobilier

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Maroc:la crise persiste dans le secteur immobilier

    Kiosque360. L’année 2016 aura été la cinquième année consécutive de vaches maigres pour le secteur des BTP. La commande publique est toujours là pour atténuer l’impact.

    Le BTP va de mal en pis. Le secteur clôt l’année 2016 en catastrophe après avoir subi une dégradation continue de son activité depuis 2012. C’est ce que nous révèle La Vie Eco dans son édition du 30 décembre. L’hebdomadaire économique explique que, si le secteur ne parvient toujours pas à sortir de cette mauvaise passe, c’est bien évidemment en raison de la faiblesse de la demande qui lui est adressée.

    Il reste naturellement la commande publique qui représente plus de 70% de la demande adressée au secteur. Si l’on met de côté l’actuel contexte de formation du nouveau gouvernement qui limite nécessairement la visibilité, cette manne reste prometteuse sur le papier. En effet, les budgets alloués à l’investissement public depuis 2011 se maintiennent autour de 55 milliards de dirhams et ont même augmenté de 11% en 2016, à 61,4 milliards de dirhams. A cela s’ajoutent les montants mis à la disposition des organismes d’Etat, ce qui ressort à une moyenne annuelle de plus de 170 milliards de dirhams sur les six dernières années.

    Mais les professionnels nuancent les retombées de cette manne. Le nœud du problème pour les entreprises est qu’elles doivent à tout prix stabiliser leur chiffre d’affaires, dans un marché qui se prête peu à cela, pour survivre. Il s’agit en effet de maintenir un niveau d’activité qui permette de couvrir des charges fixes.

    Mais toutes les entreprises ne tiennent pas le coup. Les professionnels rapportent ainsi une multiplication des faillites, le phénomène ayant même tendance à se banaliser dans certaines régions particulièrement sinistrées. Notons à ce titre que les entreprises de BTP pèsent fortement parmi plus de 6000 cas de défaillance dénombrés par l’Observatoire du commerce de l’assureur crédit Euler Hermes en 2016.

  • #2
    qu'ils crèvent tous ces spéculateurs voleurs, une crise à l'espagnole c'est tout ce que je leurs souhaite, comme ca il reviendront peut être à la raison..

    des prix exorbitant pour une piètre qualité.. sans parler des taux d’intérêts exercés par les banques qui ne jouent pas le jeux de la concurrence

    Commentaire


    • #3
      qu'ils crèvent tous ces spéculateurs voleurs, une crise à l'espagnole c'est tout ce que je leurs souhaite, comme ca il reviendront peut être à la raison..
      les marocains sont vaccinés ,ils preferent acheter des terrains pour construire leur maison ,au lieu d'acheter des apparts de mauvais qualité à des prix injustifiables et en plus de mauvaise qualité
      Coucher du soleil à Agadir

      Commentaire


      • #4
        je raconte un histoire à mes amis marocains..

        je cherchais un terrain dans une grande ville de l'est dz..
        après longue recherche j'ai trouvé dans un lotissement .
        le terrain d'environ 400 m² a été cédé par l'état algérien à l'occupant pour environ 700 euros.

        le mec en demandait 120000... dans l'état non décapé non terrassé non assaini..

        après moult discussions, on est tombé d'accord...

        mais il a fallu lui payer le terrain pour pouvoir lui acheter par la suite !!

        le gars met des sourates de coran au bout de toutes ses phrases...

        en algérie on a dépassé la spéculation ! on a créé de nouveaux termes.. pourtant l'état ne cesse de construire des logements !!

        Commentaire

        Chargement...
        X