Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Sahara Occidental occupé: comprendre l'investissement idéologique à la cause du peuple sahraroui.

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Sahara Occidental occupé: comprendre l'investissement idéologique à la cause du peuple sahraroui.

    A la base, il y a certes une base déique consistant à défendre le petit contre le fort (super puissance).

    Il s'agit là d'une voie relevant, au premier degré, d'un sacerdoce ecclésiastique. En d'autres occasions, il s'avère que ce même réflexe s'est aussi opéré, notamment lors du soutien au peuple palestinien contre l'imposture israélienne (le Goliath).

    Défendre la cause du plus faible contre le monstre colonisateur, ceci traduit intrinsèquement un militantisme sincère qu'il s'agisse de la colonisation immonde de la Palestine et tout autant donc du Sahara Occidental.

    In fine: rappelons-nous des "121 signataires" (tous des intellectuels) pour l'abandon par la France de ses territoires algériens.

  • #2
    Et en complément afin de démonter que tant Israël (avec Marwan Bargouthi condamné à 4 reprises à la prison à perpétuité- battant le "record" de Medhi Ben Barka que la justice marocaine n'avait condamné qu'à 3 reprises à perpétuité), il ne fait qu'aucun qu'il s'agisse de mêmes dictatures.

    Sinon, en premier lieu, le Maroc n'avait-il pas traduit en Cour martiale des résistants sahraouis alors qu'il s'agit intrinsèquement d'opposant contre la colonisation de leur pays d'une force occupante?

    Autrement dit, pourquoi ce qui serait valable aux Palestiniens châtiés par Israël ne le serait-il pas tout autant valable pour les opposants sahraouis?

    - Le 16 février 2013, à l’issue d’un procès inéquitable, entaché de nombreuses irrégularités, le tribunal militaire de Rabat imputait aux accusés de Gdeim Izik la mort de onze membres des forces de sécurité impliquées dans le démantèlement du camp.

    Sans preuves matérielles, ni témoignages établissant leur culpabilité, sur la base d’aveux extorqués sous la torture, ces vingt-quatre civils étaient jugés coupables de « constitution d’une bande criminelle, violences contre les forces de l’ordre ayant entraîné la mort avec l’intention de la donner ».

    Verdict : des peines allant de vingt ans de prison à la perpétuité pour neuf d’entre eux. Deux des accusés ont été libérés après deux ans d’incarcération et un troisième a été remis en liberté pour des raisons de santé. Un vingt-cinquième Sahraoui a été condamné par contumace à la perpétuité. Ils sont donc vingt et un, toujours en détention.

    Depuis plus de six ans, ces « prisonniers politiques », comme ils se définissent, ne cessent de clamer leur innocence, dénonçant, au fil des grèves de la faim et des protestations collectives, les humiliations, les tortures et les traitements inhumains, les pressions psychologiques, les procès-verbaux falsifiés.

    Des allégations prises très au sérieux par le Comité des Nations unies contre la torture, qui a rendu, le 12 décembre, une décision sévère pour le Maroc, jugé coupable de violations de la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.


    Source: L'Humanté.fr
    Dernière modification par rago, 30 décembre 2016, 22h03.

    Commentaire


    • #3
      Dans le conflit sahraoui, il faut admettre que le Maroc (comme Israël) a pu imposer l'état d'urgence sur son bourbier sahraoui.

      Ce qui est valable aux prisonniers politiques palestiniens ne sauraient être dénié à leurs homologues sahraouis...par aune!:22:

      - Toute référence à l’occupation expose son auteur à des poursuites.

      L’affaire de Gdeim Izik n’en finit plus d’embarrasser les autorités marocaines, soucieuses de l’image d’élève modèle qu’elles cherchent à cultiver sur la scène internationale.

      En témoigne l’arrêt rendu le 27 juillet dernier, à la suite du pourvoi des vingt-quatre détenus sahraouis, par la Cour de cassation.

      Celle-ci renvoyait alors l’affaire devant une juridiction pénale de droit commun, la cour d’appel de Rabat, en vertu d’une réforme du Code de justice militaire adoptée un an plus tôt. Les civils ne peuvent plus être jugés par des tribunaux militaires, stipule cette réforme, directement liée aux critiques et protestations contre le traitement des accusés de Gdeim Izik.

      Victoire du droit ? Non, répondent les intéressés, qui revendiquent dans une lettre ouverte rendue publique ces jours-ci le droit d’être jugé à Laâyoune, en territoire occupé, conformément au droit international humanitaire.

      « Le Sahara occidental est considéré par les Nations unies comme un territoire non autonome tel que défini à l’article 73 de la charte des Nations unies. Il est (…) occupé par le royaume du Maroc (…). Cette occupation est illégale, le Maroc n’étant pas reconnu par les Nations unies comme la puissance administrante. (…) En tant que personnes protégées – comme défini à l’article 4 de la quatrième convention de Genève –, nous demandons au Maroc, puissance occupante de fait, de respecter les engagements qu’il a souscrits en ratifiant les conventions de Genève et ainsi de nous transférer et juger dans le territoire occupé », écrivent les détenus.

      Source: L'Humanité.fr
      Dernière modification par rago, 30 décembre 2016, 20h41.

      Commentaire


      • #4
        Autrement dit de et de manière succincte effectivement; qui dans ce forum récuserait l'occupation israélienne des terres palestiniennes et tolérerait celle du Maroc des terres sahraouis?

        A moins et sous réserve d'être psychopathe bien entendu!

        Commentaire


        • #5
          Rago répond à Rago
          Coucher du soleil à Agadir

          Commentaire


          • #6
            @keazy: Il s'agit de prolégomènes d'un sujet et si d'aucun ne s'y oppose, c'est d'autant alors quelles (prolégomènes) ne souffrent d'aucune lacune.

            Certes...certes; il s'agit ici d'un préambule plaidé par un juriste et pourtant, si irrécusable dans l'approche de la vérité authentique.oeilfermé
            Dernière modification par rago, 31 décembre 2016, 15h20.

            Commentaire


            • #7
              Rago répond à Rago
              Non Rago éduque certains en politique
              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

              Commentaire


              • #8
                la vérité authentique
                Préserver la vérité est un devoir de la liberté authentique, cette vérité qui permet à la liberté d'être effectuée dans la justice.
                Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

                Commentaire


                • #9
                  @El hour1: Il ne s'agit que de plaider la vérité. Rien davantage. Et, qui plus est, que chacun est autonome d'apporter ses thèses quant au sujet en toute bonne civilité s'il en est.

                  Ce faisant, je maintiens que tous les militants à la cause sahraouie le sont aussi envers celle de la Palestine. Sinon, ils ne seraient que des partisans arbitraires d'une cause et non à la réciprocité de l'autre de fait qu'elles sont absolument identiques.

                  Commentaire


                  • #10
                    Dans le conscient humain, il s'avère qu'il s'agisse d'un réflexe naturel de toujours défendre le petit contre le puissant.

                    Ainsi au reste, la cause indépendantiste algérienne s'est acquise par suite d'une prise de conscience de l'inégalité du "combat".

                    L'intellectuel Yves (pas sûr du prénom) Schwartz, avait avouer regretter son engagement pour l'indépendance algérienne selon Jean Sévilla dans son livre intitulé " Le terrorisme intellectuel".

                    C'est-à-dire défendre- philosophiquement- une juste cause (comme celles sahraouie ou palestinienne) ne doit pour autant satisfaire nos atteintes une fois qu'elles (justes causes) aient été acquises. Seuls leurs peuples sont possesseurs de l'avenir de leur affranchissement.

                    "Défendre toujours le plus faible, on n'en sera jamais déçu".

                    Commentaire


                    • #11
                      @mounir 1109 " je suis vraiment fiere"

                      Faut-il en déduire que vous êtes une femme?

                      Commentaire


                      • #12
                        Et il s'agit de comprendre la forfaiture marocaine à l'ONU en réclamation de l'indépendance kabyle, alors que la dictature chérifienne occupe un territoire qui ne lui appartient à l'instar d'Israël! Les deux fantoches nations font la paire ( A la demande de Jacky Kadoch, président de la communauté juive de Marrakech, le roi Mohammed VI a donné instructions pour rebaptiser de leur nom d’origine les ruelles et places du quartier Essalam ex-Hay El Mellah, et ce pour préserver la mémoire historique de ces lieux, indique un communiqué du ministère de l’Intérieur relayé par l’agence MAP.(Source le desk).

                        - Le n°2 de la représentation du Royaume Marocain à New York a réclamé le droit du peuple kabyle à l’autodétermination, à l’occasion de la célébration du 70ème anniversaire de la création des Nations Unies. La délégation marocaine a choisi cette date hautement symbolique pour porter haut la revendication du peuple kabyle à l’ONU en présence des médias et représentants diplomatiques du monde entier. Et c’est la réaction du représentant permanent adjoint, Abderrazzak Laassel, qui a créé la surprise. En réponse à des propos d’un officiel du voisin de l’Est sur le différent territorial du Sahara occidental, le diplomate marocain a soulevé le dossier kabyle.

                        Le n°2 de la représentation du Maroc a expliqué que « l’un des plus anciens peuples de l’Afrique continue d’être privé de son droit à l’autodétermination », soulignant qu’il est « regrettable que les aspirations légitimes du peuple kabyle soient toujours bafouées au 21ème siècle. Ses droits humains sont violés au quotidien, ses représentants légitimes sont persécutés et ses leaders sont pourchassés, y compris quand ils sont en exil ». Poursuivant son plaidoyer, Abderrazzak Laassel a rappelé que le peuple kabyle est « fort de huit millions de personnes » et « vieux de 9 mille ans » et a droit à l’ « autonomie » et à « la reconnaissance de son identité culturelle et linguistique », conformément aux chapitres 1, 2, 3 et 4 de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (adoptée le 13 septembre 2007 par l’Assemblée générale)-.


                        Source: site Tamurt.

                        Commentaire


                        • #13
                          mounir1109

                          Si c 'est pas une maladie alors je ne sais pas quoi , le gars réponds a lui même .
                          le soleil de Tindouf lui a bousillé les neurones

                          allah ijib chifae
                          "Le style...... c'est l'homme": King Hassan II

                          Commentaire


                          • #14
                            @copyrox: " le soleil de Tindouf lui a bousillé les neurones "

                            Vous faites d'une autre nostalgie en l'espèce et preuve:

                            - Hassan II : « Tindouf faisait partie du royaume »

                            « Le drame du Maroc, c'est de n'avoir pas eu affaire à un seul colonisateur, mais à deux : les Espagnols et les Français. »

                            Source: Jeune Afrique

                            Commentaire


                            • #15
                              ta9achouf se voit sur le niveau des nouveaux propagandistes dz...

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X