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L’UA informe le Polisario que son siège est éjectable Les séparatistes font feu de tout bois pour faire accroire q

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    L’UA informe le Polisario que son siège est éjectable


    Les séparatistes font feu de tout bois pour faire accroire que la CJUE lui a donné raison

    Selon le site d’information mauritanien en langue arabe « Anbaa Info », la présidente du Conseil de l’UA aurait informé le Polisario que son siège est en danger, suite à la demande de la majorité des pays membres de l’Union de reconsidérer la nature de son adhésion, faisant allusion à la possibilité d’une révision de son statut pour le ramener à moins d’une représentation entière. Cette mise en garde aurait été faite par la présidente du Conseil de l’UA qui a dépêché son conseiller personnel à Tindouf pour attirer l’attention du Polisario sur les défis empêchant la prétendue RASD qui n’est pas reconnue par l’ONU d’honorer ses engagements de souveraineté. Citant des sources médiatiques, le site mauritanien indique que, le conseiller de la présidente chargé des affaires juridiques, Lazuras Makamaombi, a entamé des consultations avec la direction du Polisario en vue de sortir de cette situation avec des dégâts moindres. Les mêmes sources, ajoute le site, rapportent que Lazuras a mis le chef du Polisario devant les défis auxquels celui-ci doit faire face pour mettre en application les accords conclus avec l’UA. Il aurait même proposé son concours pour surmonter ces défis.
    Certains observateurs, souligne l’auteur de l’article, n’écartent pas l’idée que le rapprochement entre le Maroc et la Mauritanie soit un élément contribuant à l’étranglement et l’isolement du Polisario surtout après les signes d’un rapprochement solide entre les deux parties, suite à la visite du chef du gouvernement marocain et l’accueil qui lui avait été réservé par Ould Abdelaziz à Zouerate dans le nord du pays. Ce qui n’était pas pour plaire au Polisario qui, pour manifester sa colère, a fait circuler des tracts incitant les habitants originaires de cette ville à se rebeller contre les autorités mauritaniennes et à prôner le séparatisme, tout en invitant ceux qu’il a désignés comme «les autochtones de Zouerate» à revendiquer leurs droits de profiter des ressources de leur région.
    Par ailleurs, et moins d’une semaine après le verdict de la Cour de justice de l’Union européenne rejetant le recours présenté par le Polisario contre l’accord agricole de 2012, l’avocat du Front a commencé à menacer les entreprises de l’UE installées au Sahara.
    Selon le Polisario, le verdict rendu le 21 décembre par la CJUE aurait apporté de nouveaux arguments à ses thèses. Fort de la teneur de cette décision, le voilà qu'il menace, par l’entremise de son avocat Gilles Devers, de mener une guerre juridique contre les sociétés des Vingt-Sept, installées au Sahara.
    Des plaintes devraient être déposées contre ces entreprises devant la CJUE, a-t-il déclaré sur la radio espagnole Cadena Ser. L’avocat français a annoncé que son «client» prévoit de «réclamer des dommages et intérêts pour les 15 années» de présence de groupes économiques au Sahara «sans la moindre assise légale».
    Me Devers a également fait part de son intention d’adresser des courriers à ces groupes pour les inciter à respecter le verdict de la Cour européenne. Les destinataires de ces messages, selon ses propos, n’ont d’autre choix que de se plier au diktat du Polisario, et ce «en négociant avec nous ou en quittant le Sahara».
    L’avocat affirme que le mouvement séparatiste est dans une position confortable grâce au verdict du tribunal européen. «Il est exclu de considérer que l’expression «territoire du Royaume du Maroc», qui définit le champ territorial des accords d’association et de libéralisation, englobe le Sahara occidental et, partant, que ces accords sont applicables à ce territoire», comme le précise le texte de la CJUE.
    Néanmoins, dans son emballement, l’avocat a oublié de mentionner à la radio espagnole, proche de la gauche traditionnelle, la qualité en laquelle les proches de Brahim Ghali comptent mener cette campagne contre les sociétés européennes présentes au Sahara. Le verdict de la CJUE sur lequel il a construit son argumentaire est si fragile. Pour mémoire, la Cour a précisé, dans sa décision du 21 décembre, que le Polisario «n’est pas concerné par la décision par laquelle le Conseil a conclu cet accord. La Cour rejette donc le recours du Front Polisario pour défaut de qualité pour agir».
    Cette légitimité qui manque aux clients de Gilles Devers, conformément au verdict de la CJUE, rendrait caduques toutes les démarches que l’avocat français tentera d’entreprendre à cet égard.
    Ahmadou El-Katab

    Lundi 2 Janvier 2017
    leberation.ma

  • #2
    C'est encore du rêve marocain comme envers l'îlot à chèvres de Persil soi-disant "libéré" en 1956?

    - Cette position espagnole est largement partagée par la Commission européenne pour qui la présence de militaires marocains sur l’île du Persil est une «violation de l’intégrité territoriale espagnole». Bruxelles estime en effet qu’il s’agit d’une «question de souveraineté avant toute chose» et affirme que le problème a atteint «un stade délicat».

    Mais si elle a condamné l’initiative marocaine, Bruxelles s’est en revanche bien gardée de s’impliquer directement dans un différend qu’elle considère comme bilatéral. «C’est clairement un incident regrettable, a ainsi déclaré un porte-parole de la Commission européenne, mais il doit être réglé bilatéralement entre Rabat et Madrid». Le Maroc, malgré les appels de Madrid à «un retour à la normale», a affirmé qu’il ne retirerait pas ses militaires de l’île du Persil. Rabat estime, en effet, que cet îlot a été libéré en 1956, à l’occasion de la fin du protectorat espagnol sur le nord du pays.

    Source: RFI

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    • #3
      L’UA informe le Polisario que son siège est éjectable
      j'aimerais vérifier si cette info est vérifiable!oeilfermé

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      • #4
        Cet avocat verreux françaoui a senti le bon filon et essaie de tirer le max de pognon de la mafia d'Alger en multipliant les procès tout en sachant qu'ils n'auront aucun effet sur le terrain.

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        • #5
          Cet avocat verreux françaoui a senti le bon filon et essaie de tirer le max de pognon de la mafia d'Alger en multipliant les procès tout en sachant qu'ils n'auront aucun effet sur le terrain.
          ajoute le juriste foireux de fa...

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          • #6
            j'aimerais vérifier si cette info est vérifiable!
            en effet,aprés ma verification:
            jeune afrique rapporte:
            Adhésion du Maroc à l’UA : Alger bien décidé à faire échec à la volonté de Rabat d’exclure le Polisario

            À peine Rabat avait-il exprimé son souhait de réintégrer l’instance panafricaine qu’Alger déclenchait sa machine politico-diplomatique pour lui faire échec.

            Pour se convaincre de l’hostilité des autorités algériennes à un retour du Maroc au sein de l’Union africaine (UA), il suffit de lire un éditorial paru le 7 novembre dans les colonnes du quotidien El Moudjahid, répondant du tac au tac au discours prononcé la veille à Dakar par Mohammed VI à l’occasion du 41e anniversaire de la Marche verte. Porte-voix officiel du régime, El Moudjahid jugeait que ce retour allait « accentuer les divisions » entre pays africains, voyant dans la démarche du voisin de l’Ouest une « vaste campagne de propagande dont le but est de restaurer son image de marque, gravement altérée depuis son occupation du Sahara occidental ».
            Le quotidien du 20, rue de la Liberté invitait même le souverain marocain à y organiser « le plus tôt possible » un référendum d’autodétermination, faute de quoi il serait « traité, comme tous les égarés imbus de leur ego, avec mépris par tous les peuples de la terre ». On mesure, à la rudesse de la charge, combien le retour des Marocains au sein de l’organisation passe mal auprès des officiels algériens.
            Un souci de sémantique
            En juillet dernier, à peine Rabat avait-il formulé sa requête qu’Alger déclenchait sa machine politico-diplomatique pour la contrecarrer, sinon la saborder. En diplomatie, on ne dira jamais assez combien un mot peut changer le cours de l’Histoire. La contre-offensive s’est donc jouée d’abord sur un plan sémantique. Réintégration ou intégration, après trente-deux ans de politique de la chaise vide ? Pour Abdelkader Messahel, ministre algérien des Affaires maghrébines et africaines et de la Ligue arabe, il s’agit d’une « adhésion » plutôt que d’un « retour ». Mettant en avant l’article 29 de l’acte constitutif de l’UA, qui fixe les conditions d’une adhésion, Messahel précise qu’« un pays africain qui veut adhérer à l’UA ne peut pas le faire sous condition, comme le stipule l’acte constitutif de l’organisation continentale ».
            Le Maroc serait le bienvenu en tant que 55e membre de l’Union africaine, sur un pied d’égalité avec les 54 États membres actuels en droits et en devoirs, affirme le ministre algérien des Affaires étrangères
            S’il ne s’oppose pas à la réadmission du Maroc, le Premier ministre Abdelmalek Sellal n’en précise pas moins les conditions dans lesquelles celle-ci doit se faire. « Le retrait du Front Polisario de l’Union africaine est impossible », soutenait, l’été dernier, le chef de l’exécutif. Même son de cloche du côté de Ramtane Lamamra, ministre algérien des Affaires étrangères : « Le Maroc serait le bienvenu en tant que 55e membre de l’Union africaine, sur un pied d’égalité avec les 54 États membres actuels en droits et en devoirs. » Comprendre : le voisin marocain occupera la même place que le Sahara occidental, dont il revendique la souveraineté.


            Le Maroc une fois admis, les Algériens redoutent que les instances de l’UA ne deviennent de nouveaux théâtres d’affrontement entre Rabat et le Polisario. Ex-ministre de la Communication et ex-ambassadeur d’Algérie en Espagne, Abdelaziz Rahabi estime que le Maroc, s’il s’avisait de contester la présence de la RASD (République arabe sahraouie démocratique) à toutes les réunions de l’Union, lancerait un mauvais signal aux Africains. Pis : cette mise en cause des Sahraouis pourrait, selon lui, entraîner des blocages dans le fonctionnement même de l’UA. « De nombreux États africains ont déjà exprimé cette préoccupation, note Rahabi. Ils craignent que l’Union ne se transforme en un espace d’expression des divergences entre Maghrébins. »

            Lakhdar Brahimi, la voix de la raison

            À contre-courant du discours officiel, la voix de Lakhdar Brahimi passe pour être celle de la raison et de la sagesse. Au cours d’une conférence-débat, le 10 décembre, à Alger, ce diplomate au long cours a plaidé pour une remise à plat des relations entre son pays et le Maroc, passant, selon lui, par la réouverture des frontières terrestres. Ce n’est pas la première fois que ce proche d’Abdelaziz Bouteflika, que le président ne rate pas une occasion de recevoir, se montre favorable à une détente.
            Fermées depuis août 1994, au lendemain de l’attentat terroriste qui a ciblé un hôtel de Marrakech, les frontières constituent plus que jamais un motif de crispation entre les deux voisins. Mais cette barrière n’est bien sûr pas le seul contentieux qui empoisonne les relations algéro-marocaines, le Sahara occidental étant, et de loin, la grande pomme de discorde obérant toute normalisation entre les deux capitales. Du coup, Lakhdar Brahimi appelle Alger et Rabat à « laisser de côté le problème du Sahara occidental afin de construire une économie commune fondée sur les échanges ».
            Farid Alilat
            y a pas de fumée sans feu comme on dit...

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            • #7
              Pourquoi le Maroc ne retente pas un affranchissement de l'îlot à chèvres de Persil?

              La débâcle subie en 2002 par les FAR aurait-elle définitivement sceller le litige?

              Mais n'est-ce pas une honte par le Maroc d'abandonner cet îlot si essentiel?

              S'attaquer à une armée de professionnels (espagnole) est autrement plus laborieuse que s'attaquer lâchement à une guérilla (cf. opération Ecouvillon )

              -I. A l’origine, l’opération Ecouvillon/Ouragan Ecouvillon a certainement été à l’origine du problème. En 1958, Le Maroc avait une armée ‘officielle’, structurée comme les armées modernes et encadrée à l’européenne (les FAR) et une guérilla bien équipée, très mobile et en constante coordination avec sa consœur algérienne. Il s’agit de l’Armée de Libération Marocaine, qui opérait au nord du Maroc depuis 1955, et qui s’est infiltrée petit à petit au Sud, après la signature des accords de La Celle Saint-Cloud. Ceux qui sont passés par le système marocain se rappellent peut être (ou pas…) les cartes géographiques ou le Maroc recouvre peu à peu son indépendance et son autorité sur des territoires donnés. Au sud de Sidi Ifni, les français et les espagnols étaient encore présents, et l’ALM-Sud opérait souvent des incursions en profondeur pour détruire des installations militaires franco-espagnoles. Cette armée avait des chefs comme Fqih Basri, M. Bensaïd Aït Idder, A. Yousoufi, résistants qui entendaient prolonger la lutte armée pour libérer tous le Maghreb.

              Dans ce contexte, la monarchie marocaine (ainsi que ses alliés ‘objectifs’ en Europe et aux Etats-Unis) s’inquiétait de ce rival potentiel, d’autant plus que l’ALM était qualitativement et quantitativement supérieure aux FAR: certes, les officiers coloniaux marocains reversés étaient compétents, mais l’expérience unique des combattants de l’ALM, rodés aux opérations de guérilla (urbaine et classique) et de style ‘commandos’ lui donnait un avantage décisif. Cette ALM était donc un danger pour la monarchie, qui tenta par tous les moyens de l’asphyxier: en essayant de corrompre ses dirigeants (Sanhaji raconte que tout chef de l’ALM qui faisait allégeance à la monarchie avec un groupe de plus de 25 combattants était automatiquement intégré à la fonction publique, aux FAR, était éligible à un agrément de transport, etc…)
              Dernière modification par rago, 03 janvier 2017, 23h25.

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              • #8
                l'îlot à chèvres de Persil?
                l'îlot à chèvres de Persil?
                l'îlot à chèvres de Persil?

                Hal3ar alekhout 3tiw lhada me3za ymchi behalou hal3ar
                "Le style...... c'est l'homme": King Hassan II

                Commentaire


                • #9
                  Hal3ar alekhout 3tiw lhada me3za ymchi behalou hal3ar
                  https://pbs.twimg.com/profile_images.../FOmM3lr9.jpeg

                  Commentaire


                  • #10
                    Mjid

                    https://pbs.twimg.com/profile_images.../FOmM3lr9.jpeg

                    :
                    "Le style...... c'est l'homme": King Hassan II

                    Commentaire


                    • #11


                      même sans ces 18 on a les 2 tiers pour faire éjecter les terroristes et si en plus on enlève le nigeria, ethiopie, rwanda, tanzanie et les iles maurices on aura peut être les 3/4 avec nous de quoi virer la ghasd et le pays des daf de l'ua
                      Dernière modification par Osvaldo, 04 janvier 2017, 00h08.

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                      • #12
                        @Copyrox: " l'îlot à chèvres de Persil?"

                        Il vous faut succomber à la vérité! Et expliquer pourquoi les FAR avaient envahi le territoire espagnol de l'îlot à chèvres de Persil.

                        Pour un rocher ne valant aucun clou, pourquoi avoir tenté une invasion si téméraire?

                        Certes que la réaction espagnole (par son arsenal militaire), lors de ce litige, fut disproportionnée mais n'était-ce pas une manière de clouer le bec à l' expantionnisme marocain?

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                        • #13
                          a3tiwh ma3za édentée, allah yarham alwalidine
                          La haine aveugle

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                          • #14
                            Condition sine qua non : mettre fin à la colonisation.
                            Et puis il y a le veto sahraoui .
                            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                            • #15
                              @Osvaldo: " même sans ces 18 on a les 2 tiers pour faire éjecter les terroristes et si en plus on enlève le nigeria, ethiopie, rwanda, tanzanie et les iles maurices on aura peut être les 3/4 avec nous de quoi virer la ghasd et le pays des daf de l'ua"

                              "on pourra éventuellement avoir la majorité pour faire éjecter la Rasd de l'Union africaine".

                              Or, la question de l'éjection de RASD n'est pas à l'ordre du jour. La question est l'adhésion du Maroc. Et, c'est légitime que le Maroc adhère l'Union africaine mais aucun préalable.

                              Enfin, Afrique du Sud et Maroc (qui avait soutenu l'infect apartheid) consistera en climat explosif entre les deux pays qui n'ont jamais siéger ensemble à l'UA!

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