Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Al-qaida appelle à nouveau à récupérer sebta et melilia

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Al-qaida appelle à nouveau à récupérer sebta et melilia

    Le chef de l’organisation terroriste Al-Qaida, Ayman Al-Zawahiri, a lancé un nouvel appel au «jihad» pour récupérer les présides marocains de Sebta et Melilia des mains des Espagnols, affirme samedi le quotidien «La Razon».

    Al-Zawahiri est apparu dans un nouvel enregistrement vidéo de 15 minutes où il compare la situation de Sebta et Melilia avec celle d’autres territoires occupés par «les infidèles», comme la Palestine, les territoires musulmans de la Fédération russe, le Cachemire indien ou encore le Turkestan (ouest de la Chine), précise le quotidien.

    Il s’agit de la sixième fois où le chef d’Al-Qaida lance des «menaces contre les villes autonomes de Sebta et Melilia», note le journal, relevant que, selon des experts, Al-Zawahiri veut faire croire qu’il dispose de la force suffisante pour frapper n’importe où dans le monde.

    «La Razon» relève également qu’Al-Qaida se trouve en compétition avec l’autre organisation terroriste Daesh, qui a attiré ces dernières années de nombreux jihadistes aux dépens d’Al-Qaida et qui, elle aussi, a lancé à plusieurs fois des appels au jihad pour «libérer Sebta et Melilia, mais aussi pour récupérer l’ancien Al-Andalus».

    Le journal souligne toutefois qu’Al-Qaida semble être «plus opérationnelle» que Daesh dans cette région en raison de l’implantation depuis plusieurs années en Afrique du Nord de sa branche «Al-Qaida au Maghreb islamique» (AQMI).

    le360

  • #2
    Nos frères Marocains ont essayé de récupérer une petite ile de rien du tout et ça a soldé par une énorme humiliation, donc ...

    Commentaire


    • #3
      In cha Allah ces villes seront reconquises bi idni lLah
      Mais certainement pas par les méthodes d'Al Qaïda
      Ma nnan-ay-d matta teliḍ? Assen-iniɣ
      Amezwaru nečč d-ineslem din d-amaziɣ din d-adzayri

      Commentaire


      • #4
        Il y a le fait que les habitants ne veulent pas devenir de vulgaires sujets marocains et que les espagnols veulent trier et diminuer cette population.
        Et puis c'est au clown M6 de déclarer la récupération des enclaves et non au terroriste en chef d'Al Qaida.

        Il y a 10 ans Al Qaida menaçait, donc rendez-vous en 2027 !!!!

        Ceuta l'espagnole, dans la mire des islamistes

        CE N'EST pas tout à fait l'Espagne ni non plus le Maroc. Comme Melilla, l'autre enclave espagnole sur la côte marocaine, Ceuta est à cheval entre la culture islamique et chrétienne. Territoire lilliputien de 17 kilomètres carrés, la ville espagnole est revendiquée par Rabat de longue date. Aujourd'hui la revendication est montée d'un cran. Le numéro deux d'al-Qaida, Ayman Al-Zawahiri, considère Ceuta comme l'un des « territoires occupés », à récupérer au même titre que Jérusalem ou Al - Andalous (l'Andalousie).
        À Madrid, on prend très au sérieux cette menace de la nébuleuse d'Oussama Ben Laden. Mais à Ceuta, les autorités locales cherchent plutôt à la minimiser. Elles vantent la cohabitation entre les deux cultures et personne n'ose affirmer haut et fort qu'à Ceuta, on parle de « cristianos » et « moros » (chrétiens et maures) pour différencier la population. Enfin, tout le monde banalise l'opération policière « Duna » du 12 décembre, dans le quartier musulman « Principe ». Un coup de filet orchestré par 300 policiers venus de la péninsule et au cours duquel 11 islamistes présumés ont été arrêtés (quatre ont été remis, depuis, en liberté).
        Lors des saisies, les forces de l'ordre ont retrouvé du matériel de propagande signé al-Qaida, une grande quantité d'argent et des faux papiers. « Ces arrestations sont une farce, elles sont uniquement de la gesticulation de la part des forces de l'ordre », lance Yamila, une Espagnole musulmane, membre de l'association du quartier El Principe.
        Comme la plupart des 15 000 habitants de cette modeste zone, Yamila a été choquée par l'opération policière : « Avant, on nous reprochait de ne pas être assez patriotique avec l'État espagnol, aujourd'hui on nous suspecte d'adhérer aux thèses islamistes », s'insurge-t-elle. Et d'ajouter : « À force de nous stigmatiser, certains vont finir par croire qu'ils sont de véritables islamistes. » Ici, dans ce dédale de rues, récemment asphaltées à l'occasion des municipales du 28 mai, remportées haut la main par les conservateurs du Parti populaire, la culture musulmane domine. On compte une trentaine de mosquées, des teterias (salon de thé) et la grande majorité des femmes portent le voile.
        Seuls deux « chrétiens » y vivent encore : le facteur à la retraite et le frère franciscain Diego Diez, dont la principale mission est de servir 700 repas quotidien aux plus démunis du quartier. Ancien bidonville, peuplé par des Marocains engagés dans les troupes franquistes en 19 36, le quartier est devenu une médina colorée, composée de 4 000 logements construits anarchiquement par les descendants des combattants.

        L'argent de la drogue

        « Ici, vous faites tout vous même. Il n'y a aucune aide de l'État. Si vous avez de l'argent, vous avez l'eau courante, sinon, vous restez avec votre toit ondulé », ironise Mohamed, 21 ans. Sur cinq mètres, le contraste est frappant entre les belle maisons, recouvertes d'« azulejos » (faïence) et les cabanes décrépies, à flanc de colline.
        Longtemps, l'argent de la drogue a permis de mettre sur pied les plus belles demeures. « Il y a encore une petite dizaine d'années, vous pouviez gagner 1 800 euros en une nuit en traversant le détroit de Gibraltar avec une cargaison de haschisch », commente un habitant du quartier. « Aujourd'hui, c'est trop dangereux et les Marocains le font pour à peine 400 euros », dit-il. Le renforcement des contrôles, avec la mise en place de détecteurs électroniques pour repérer les « pateras » (barques) chargées d'immigrés, rend désormais plus difficile la traversée du détroit.
        Du coup, la pauvreté a gagné du terrain. Ceuta détient le taux de chômage le plus élevé d'Espagne, soit 35 % de la population, dont la grande majorité est de confession musulmane. L'échec scolaire (seulement 4 étudiants musulmans sur 1 000 poursuivent des études) et la marginalité ne font qu'empirer. Autant d'ingrédients qui prédisposent ce quartier a être une poudrière, selon des membres de l'association locale.

        « Citoyens de seconde zone »

        « Regardez, comme on vit. Les bennes à ordures ne viennent pas et il n'y a pas d'éclairage public alors que l'on paye aussi nos impôts locaux ! Si la mèche islamiste s'enflamme, il ne faudra pas s'étonner », fait remarquer un habitant, qui souhaite conserver son anonymat. « Nous sommes considérés comme des citoyens de seconde zone alors que nous avons la carte d'identité espagnole », commente Mohamed du parti Union démocratique de Ceuta (UCD). Crée en 2003, ce parti constitué d'Espagnols musulmans et rattaché à la Gauche unie, peut se targuer d'avoir obtenu aux dernières élections quatre députés, soit le double des socialistes du PSOE.
        Le député Mohamed Mustafa se défend d'appartenir à un parti fait pour les musulmans et s'insurge contre ceux qui essayent de les assimiler aux courants islamistes : « Nous sommes les seuls à nous préoccuper des inégalités sociales à Ceuta et il se trouve que le collectif le plus touché est celui des Espagnols de confession musulmane. » Les Espagnols musulmans représentent désormais près de 38 % de la population locale, un nombre qui ne cesse d'augmenter même si leur représentation dans les institutions locales est encore modeste. Les adhérents de l'UCD militent pour que le quartier El Principe, perché sur sa colline, soit desservi par deux lignes d'autobus, pour que les enfants puissent jouer dans des squares comme ceux du centre ville et pour que le trafic de la frontière ne les affecte plus...
        En contrebas se situe la porte d'entrée de l'Union européenne en Afrique, le poste frontière d'El Tarajal. Il est ouvert 24 heures sur 24 et des milliers de Marocains y défilent chaque jour. En avril, la Garde civile a sollicité des renforts de Madrid. « Malgré la sécurité, cette frontière est totalement perméable. On ne peut pas fouiller sous chaque djellaba et vider toutes les voitures chargées de marchandises », commente avec lassitude un policier posté à la frontière. Une centaine de personnes tentent de forcer le passage, le dos courbé sous leurs paquets.

        Le Figaro, 2007
        Dernière modification par okba30, 07 janvier 2017, 16h57.
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

        Commentaire


        • #5
          C'est qui va s'occuper de cette "" récupération""?
          En voila encore un qui va élever le niveau sur FA!....
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

          Commentaire


          • #6
            Ce n'est pas à l'ordre du jour.
            L'ordre du jour c'est Adis Abeba, après l'écrasement du bourdon.

            Commentaire


            • #7
              Vous imaginez un peut c'est quoi le Maroc sans l'Espagne est la route Espagnole !! un désastre le Maroc le sait donc il se tait.

              Commentaire


              • #8
                In cha Allah ces villes seront reconquises bi idni lLah
                Mais certainement pas par les méthodes d'Al Qaïda
                Al Qaida, le souhaite aussi par bi idni Ilah, pourquoi se démarquer de ses méthodes?
                F.E.A.R, has two meanings:Forget everything and runorFace everything and Rise.....Voilà !

                Commentaire


                • #9
                  On peut dire que ça va mal pour le royaume, serré à l'étouffement par les espagnols, l'Algérie et les sahraouis. C'est la strangulation ma parole.
                  What about le pipeline nigérian, ce projet pharaonique qui apparemment doit passer par l'orbite pour atterrir à Casablanca ? la route de Guerguerate ? et El Ghali qui se balade sur l'Atlantique ?
                  Tiens, pourquoi ne pas lancer un appel SOS à El Qaida !
                  وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                  Commentaire


                  • #10
                    C'est quoi le Maroc sans l'Espagne?
                    Sans les pays du Golf?
                    Sans la France?
                    Sans l'argent des MRE ?
                    Sans le cannabis ?
                    Sans les drogués algériens ?
                    Sans la prostitution ?
                    Sans la pluie ?
                    Sans agriculture ?
                    Sans tourisme ?
                    Sans le phosphate ?
                    Il est bizarre ce pays quand il lui suffisait juste de creuser et pomper le gaz et le pétrole.

                    Commentaire

                    Chargement...
                    X