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Le Conseil national des cadres pédagogiques a franchi une nouvelle étape, ce dimanche à Casablanca. Ayant appelé à une manifestation puis à une marche vers Rabat, par l’autoroute, les activistes de ce mouvement se sont opposés à un cordon de sécurité impressionnant, qui les a empêchés d’exécuter leur plan.
En réponse à l’interdiction qui leur a été signifiée, ils se sont contentés d’un rassemblement au niveau du carrefour de Marjane sur le boulevard Mohammed VI. C’était l’occasion pour eux de lancer des slogans qui ont surpris même au sein de leurs rangs. En effet, l’un des leaders de ce mouvement a menacé l’Etat marocain de recourir à une « demande d’asile humanitaire collectif à l’Algérie » si le gouvernement n’accède pas à leurs revendications. Pire, un autre activiste a menacé d’organiser une immolation collective par le feu.
A rappeler que le « programme de 10.000 cadres », a été initié par le gouvernement pour combler le manque d’instituteurs dans les établissements publics. Mais, après une formation de plusieurs mois, le gouvernement a renié ses engagements de recrutement direct, proposant des contrats aux candidats.
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En réponse à l’interdiction qui leur a été signifiée, ils se sont contentés d’un rassemblement au niveau du carrefour de Marjane sur le boulevard Mohammed VI. C’était l’occasion pour eux de lancer des slogans qui ont surpris même au sein de leurs rangs. En effet, l’un des leaders de ce mouvement a menacé l’Etat marocain de recourir à une « demande d’asile humanitaire collectif à l’Algérie » si le gouvernement n’accède pas à leurs revendications. Pire, un autre activiste a menacé d’organiser une immolation collective par le feu.
A rappeler que le « programme de 10.000 cadres », a été initié par le gouvernement pour combler le manque d’instituteurs dans les établissements publics. Mais, après une formation de plusieurs mois, le gouvernement a renié ses engagements de recrutement direct, proposant des contrats aux candidats.
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