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Education : Bâtir une école de qualité

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  • Education : Bâtir une école de qualité

    La ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghebrit, a appelé, à Mostaganem, les chefs des établissements scolaires et les inspecteurs à s’adapter avec les mutations que connaît le secteur afin de bâtir une école de qualité répondant aux aspirations de la société.

    Au cours d'une rencontre avec le corps de l’éducation nationale, organisée en marge de sa visite de travail dans la wilaya de Mostaganem, la ministre a annoncé qu’une référence en matière de formation est actuellement en cours d’élaboration pour toucher tous les corps de l’éducation nationale, y compris les directeurs des établissements et les inspecteurs. «Ces corps seront accompagnés pour améliorer l’exercice de leur fonction et de leur rendement», a-t-elle souligné. Mme Benghebrit a, par ailleurs, mis l'accent sur l’intérêt qu’elle porte à l’amélioration des conditions pédagogiques et socioprofessionnelles des fonctionnaires du secteur. Elle a appelé les directeurs des établissements scolaires «à œuvrer pour garantir un climat de travail serein à même de permettre aux élèves d’étudier dans de bonnes conditions matérielles».

    La ministre a également plaidé pour «une école dynamique et créative» et sur l'échange d’expériences pour en tirer profit. Elle a également préconisé des jumelages entre les établissements scolaires afin de permettre aux élèves brillants d’accompagner leurs camarades éprouvant des difficultés dans leur scolarité. Mme Benghebrit a appelé à la mise en place d’espaces de discussion et d’échange avec les différents partenaires sociaux susceptibles de permettre de contribuer aux campagnes de sensibilisation et d’amélioration des conditions de scolarité des élèves.

    «Ce type de dialogue est à même de créer un climat de sérénité et de confiance au sein des établissements, cellules de base du système éducatif national», a-t-elle estimé. Par ailleurs, la ministre a invité les directeurs des établissements scolaires à faire preuve d’initiatives positives en invitant des écrivains, des hommes de culture, en projetant des films et documentaires historiques, pour permettre aux élèves d’acquérir des connaissances par le biais de moyens attractifs et dynamiques. S’adressant aux inspecteurs, Mme Benghebrit les a invités, «en cette période charnière» de l’année scolaire, à analyser les résultats des élèves et l’exercice des enseignants durant le trimestre écoulé, à assurer le suivi des instructions données pour le reste de l’année scolaire en cours et celui des nouveaux enseignants recrutés. Elle a assuré, par ailleurs, que son secteur compte récupérer tous les instituts technologiques à l’échelle nationale. Au cours de cette visite, la ministre a procédé, lors de sa visite dans la wilaya, à l’inauguration du CEM Amour- Djelloul, à Hassi Mamèche, comme elle a pris part à une partie des festivités marquant la célébration de Yennayer, le Nouvel An amazigh.

    Mme Benghebrit a également procédé à la pose de la première pierre du centre pour enfants autistes au chef-lieu de wilaya. Enfin, la ministre a présidé une réunion à huis clos avec les partenaires sociaux locaux de son secteur, et visité l’atelier dédié au théâtre pour enfants, organisé à Mostaganem, dans le cadre du Festival du théâtre arabe qui se tient depuis le 10 janvier dernier, simultanément à Oran et Mostaganem.
    El Moudjahid
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    Je commence à apprécier cette femme qui a mis plusieurs pieds dans la fourmilière de tabous algériens.

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    • #3
      une référence en matière de formation est actuellement en cours d’élaboration pour toucher tous les corps de l’éducation nationale, y compris les directeurs des établissements et les inspecteurs. «Ces corps seront accompagnés pour améliorer l’exercice de leur fonction et de leur rendement»
      Azul zwina, et tous mes meilleurs voeux !

      Mme Benghabrit a non seulement touché du doigt, le vrai mal de l'éducation nationale en algérie, mais elle oeuvre aussi, et petit à petit à ramener tout ce beau monde à relever son niveau en terme de gestion/rentabilité, de responsabilité, de pédagogie et surtout de rentrer eux-même dans ce cercle vertueux de l'amélioration continue.

      il faut aussi un très long chemin à faire pour changer les mentalités, et redonner envie et espoir à tous ceux qui veulent relever le niveau de l'enseignement, et ceux qui ont l'esprit de l'initiative. Ce qui encouragera nécessairement les autres à les suivre, et donner le meilleur d'eux même.

      et ils sont vraiment nombreux dans le corps enseignant. il suffit de leur faire confiance, et leur donner plus de considération.
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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      • #4
        Une école algérienne de qualité est vraiment possible au primaire, au moyen, un peu moins au secondaire. Je pense que cette femme va réussir.
        Ce sont les universités qui vont poser de gros problèmes à cause des moyens limités et surtout dans les secteurs technologiques.

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        • #5
          Azul Pomaria

          Azul zwina, et tous mes meilleurs voeux !

          Mme Benghabrit a non seulement touché du doigt, le vrai mal de l'éducation nationale en algérie, mais elle oeuvre aussi, et petit à petit à ramener tout ce beau monde à relever son niveau en terme de gestion/rentabilité, de responsabilité, de pédagogie et surtout de rentrer eux-même dans ce cercle vertueux de l'amélioration continue.
          Meilleures voeux !

          Beau challenge pour Nouria Benghabrit qui fait des propositions plus qu'intéressantes et judicieuses pour améliorer l'éducation nationale. Elle a bien cerné les problèmes et les solutions proposées devraient permettre aux professeurs d'améliorer leurs compétences et leur enseignement. Ca ne peut être qu'un bienfait pour éviter que la jeunesse soit obligée d'aller étudier à l'étranger.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Ca reste des paroles. De belles paroles mais des paroles. Une école de qualité dont le produit s'arrache de par le monde, nous l'avons déjà eu... c'était avant l'arabrutisation et l'école fondamentale... Mais ce n'est pas avec une telle école qu' on garde le pouvoir pendant 50 ans!oeilfermé
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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            • #7
              Beau challenge pour Nouria Benghabrit qui fait des propositions plus qu'intéressantes et judicieuses pour améliorer l'éducation nationale.
              D’où la cascade d'embuches et de chausse-trapes , qui sont actionnés sans cesse afin de la désarçonner ! ...

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              • #8
                Infinite

                Elle fait peur aux arabistes, aux plus conservateurs, aux fondamentalistes.
                Je pense que leurs peurs ne sont pas fondées car la dame n'a aucune idéologie, c'est une pure scientifique technocrate.

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                • #9
                  c'est une peur scientifique technocrate.
                  Je crois que tu voulais dire : pure .

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                  • #10
                    ca a été corrigé

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                    • #11
                      On a qu'à suivre ce qui se faisait dans les années 1960/1970 en matière de qualité de l'enseignement , je peut vous assurer qu'à cette époque le niveau était très relevé et il n'avait rien à envier au niveau français , par conséquent Mme Benghebrit peut consulter les archives des programmes de cette époque et elle n'aura qu' à faire appliquer
                      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                      (Paul Eluard)

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                      • #12
                        On a qu'à suivre ce qui se faisait dans les années 1960/1970 en matière de qualité de l'enseignement , je peut vous assurer qu'à cette époque le niveau était très relevé
                        dans ces années là il y avait peut être un centième du nombre d'écoles de maintenant, une dizaines de lycées pour toute l'Algérie, 3 ou 4 universités.

                        fichtrement plus facile à gérer la qualité

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                        • #13
                          dans ces années là il y avait peut être un centième du nombre d'écoles de maintenant, une dizaines de lycées pour toute l'Algérie, 3 ou 4 universités.
                          La discipline des élèves n'est pas liée à la qualité , quand on a un programme de qualité à enseigner c'est ça le principal, reste la discipline à laquelle il faut trouver la bonne clé car il est vrai que l'éducation des enfants des années 1960/1970 était bonne en générale mais malheureusement aujourd'hui on dirait qu'il y a démission des parents et même des enseignants , par conséquent il faut booster ce volet éducationnel et le rendre compatible avec cette qualité dont je parle
                          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                          (Paul Eluard)

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                          • #14
                            ce que je voulais te dire, c'est de ne pas invoquer les années 60/70 pour traiter le système actuel
                            C'est comme si tu demande à un père qui a cent enfants de les éduquer comme celui qui en a un seul.
                            Les choses ont complètement changé...

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                            • #15
                              crois-moi j'avais des copains de classe de l'époque et chez eux ils avaient en moyenne 5 ou 6 frères et soeurs , par conséquent même à l'époque la famille nombreuse existait
                              Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                              (Paul Eluard)

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