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Et ceci à juste titre au demeurant. Sinon, comment considérez la médisance marocaine évertuez à juger l'Union africaine en tant qu'hérésie "tam-tam" et plus tard, mendier à son adhésion par désespoir? Défaut de Nif?
Ce d'autant que que les pseudos intellectuels marocains mentent quant à la reddition marocaine d'adhérer, par échec, à ladite organisation africaine.
Notamment en l'occurrence: Siéger avec n’est pas reconnaître : " Dans ce cas de figure, ce ne sont pas les exemples qui manquent. A l’ONU, des pays siègent ensemble comme l’Iran et Israël, sauf que Téhéran n’a jamais reconnu l’Etat hébreu."
Or, à la vérité, seuls l'Algérie et le Yémen n'ont jamais reconnu l'Etat d'Israël.
D'où le mensongegrossier de ces pseudo-intellectuels chérifiens:
-Des relations étroites au temps du shah
Le 29 novembre 1948, l'Iran du shah, comme tous les autres Etats musulmans, a voté contre la résolution 181 de l'assemblée générale de l'ONU portant partage de la Palestine, et donc création de l'Etat d'Israël.
L'année suivante toutefois, le shah reconnaît l'Etat hébreu, car il partage deux craintes avec Israël au Moyen-Orient: la poussée soviétique, et la montée en puissance du panarabisme.
De son côté, Israël développe la théorie et la pratique des « alliances de la périphérie », consistant à avoir de bonnes relations avec les Etats non arabes de la région (la Turquie et l'Iran). Les relations diplomatiques sont suspendues par le premier ministre Mossadegh en 1951, mais rétablies après 1953. Même si la politique de l'Etat hébreu fait l'objet de critiques verbales lors de certaines crises (en particulier lors de la guerre des Six jours en 1967), l'Iran entretient des relations importantes avec Israël.
Jérusalem fournit une aide technique et militaire à Téhéran. La police politique du shah, la Savak, a ainsi bénéficié des compétences des services israéliens.
Des coopérants militaires aident les Iraniens à mettre en oeuvre certaines armes américaines. En 1977, Iraniens et Israéliens envisagent un programme commun de missile ballistique de courte portée (Projet Flower)."
Ce d'autant que que les pseudos intellectuels marocains mentent quant à la reddition marocaine d'adhérer, par échec, à ladite organisation africaine.
Notamment en l'occurrence: Siéger avec n’est pas reconnaître : " Dans ce cas de figure, ce ne sont pas les exemples qui manquent. A l’ONU, des pays siègent ensemble comme l’Iran et Israël, sauf que Téhéran n’a jamais reconnu l’Etat hébreu."
Or, à la vérité, seuls l'Algérie et le Yémen n'ont jamais reconnu l'Etat d'Israël.
D'où le mensongegrossier de ces pseudo-intellectuels chérifiens:
-Des relations étroites au temps du shah
Le 29 novembre 1948, l'Iran du shah, comme tous les autres Etats musulmans, a voté contre la résolution 181 de l'assemblée générale de l'ONU portant partage de la Palestine, et donc création de l'Etat d'Israël.
L'année suivante toutefois, le shah reconnaît l'Etat hébreu, car il partage deux craintes avec Israël au Moyen-Orient: la poussée soviétique, et la montée en puissance du panarabisme.
De son côté, Israël développe la théorie et la pratique des « alliances de la périphérie », consistant à avoir de bonnes relations avec les Etats non arabes de la région (la Turquie et l'Iran). Les relations diplomatiques sont suspendues par le premier ministre Mossadegh en 1951, mais rétablies après 1953. Même si la politique de l'Etat hébreu fait l'objet de critiques verbales lors de certaines crises (en particulier lors de la guerre des Six jours en 1967), l'Iran entretient des relations importantes avec Israël.
Jérusalem fournit une aide technique et militaire à Téhéran. La police politique du shah, la Savak, a ainsi bénéficié des compétences des services israéliens.
Des coopérants militaires aident les Iraniens à mettre en oeuvre certaines armes américaines. En 1977, Iraniens et Israéliens envisagent un programme commun de missile ballistique de courte portée (Projet Flower)."
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