« Il s'agira d'un dialogue social portant sur la protection et la sauvegarde de l'un des plus importants piliers de la solidarité intra et inter-générationnelle, Le renforcement de la concertation devra intervenir dans le cadre de l'intérêt général et de la préservation d'un bien commun à tous les Algériens », a-t-il insisté. Se disant prêt à aborder et débattre toutes les questions sociales sensibles, M. El Ghazi, réaliste, affirme que, vu la conjoncture économique actuelle, "il est actuellement impossible de résoudre certains problèmes liés au secteur du travail et de la sécurité sociale", a-t-il affirmé.
D’autre part, le ministre annoncera que le secrétaire général du ministère du Travail a été chargé de garder le contact avec les syndicats autonomes et la tutelle pour entretenir une dynamique du dialogue. « Nous avons enregistré toutes vos interventions et vos revendications et on va faire une synthèse ; une fois prête on l’adressera au gouvernement ». De leur côté, les représentants des syndicats ont salué l’initiative du ministre du Travail, favorable à l'ouverture du dialogue, exception faite du Conseil des lycées d'Algérie (CLA) qui déclare qu'il n'a jamais revendiqué le dialogue mais plutôt des négociations sur des points bien précis.
Ainsi, M. Achour Idir s'est dit «prêt à privilégier la voie du dialogue et de la concertation pour traiter tous les dossiers qui n'ont pas encore trouvé de solutions», et compte procéder par «ordre de priorité». L'Union nationale des professionnels de l'éducation et de la formation (Unpef) considère l'ouverture d'un dialogue «sincère» comme étant l'un de ses objectifs, à condition de ne pas «commencer par le point zéro». De son côté, le secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), Boualem Amoura a affirmé que les syndicats se soucient tous de l’avenir du pays : « Nous ne cherchons ni l'affrontement, ni le pourrissement.Nous voulons des solutions communes qui arrangent tout le monde », a-t-il indiqué, tout en ajoutant que l'intersyndicale continuera de défendre son « droit légitime » d'être associé aux négociations autour du projet de suppression de la retraite, sans condition d'âge.
Sarah A. Benali Cherif
D’autre part, le ministre annoncera que le secrétaire général du ministère du Travail a été chargé de garder le contact avec les syndicats autonomes et la tutelle pour entretenir une dynamique du dialogue. « Nous avons enregistré toutes vos interventions et vos revendications et on va faire une synthèse ; une fois prête on l’adressera au gouvernement ». De leur côté, les représentants des syndicats ont salué l’initiative du ministre du Travail, favorable à l'ouverture du dialogue, exception faite du Conseil des lycées d'Algérie (CLA) qui déclare qu'il n'a jamais revendiqué le dialogue mais plutôt des négociations sur des points bien précis.
Ainsi, M. Achour Idir s'est dit «prêt à privilégier la voie du dialogue et de la concertation pour traiter tous les dossiers qui n'ont pas encore trouvé de solutions», et compte procéder par «ordre de priorité». L'Union nationale des professionnels de l'éducation et de la formation (Unpef) considère l'ouverture d'un dialogue «sincère» comme étant l'un de ses objectifs, à condition de ne pas «commencer par le point zéro». De son côté, le secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), Boualem Amoura a affirmé que les syndicats se soucient tous de l’avenir du pays : « Nous ne cherchons ni l'affrontement, ni le pourrissement.Nous voulons des solutions communes qui arrangent tout le monde », a-t-il indiqué, tout en ajoutant que l'intersyndicale continuera de défendre son « droit légitime » d'être associé aux négociations autour du projet de suppression de la retraite, sans condition d'âge.
Sarah A. Benali Cherif
Commentaire