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Au Maroc, l'investissement, l’une des principales composantes de la demande, devrait connaître un dynamisme accru en 2017. Selon le Centre marocain de conjoncture (CMC), cité par la MAP, il devrait connaitre une progression en valeurs nominales de 4,8%.
Pour le centre, cette évolution est due à une "reprise prévisible des flux de capitaux étrangers doublée de la tendance au redressement de l’investissement privé et de certains programmes d’équipements publics".
Le scénario prévisionnel fait également ressortir un dynamisme des autres composantes de la demande, note le CMC. La consommation des ménages, elle, montrerait plus de vigueur en enregistrant un accroissement en valeurs courantes de 2,8%.
Une hausse de la consommation
Cette progression se traduirait par une hausse de la consommation réelle de 2%, "compte tenu d’une évolution des prix qui demeure encore modérée", précise la même source.
Pour ce qui est des échanges extérieurs tels que projetés dans cette simulation, ils devraient contribuer positivement à la croissance, à travers des flux d’importations qui poursuivraient, selon toute probabilité, leur évolution tendancielle, fait savoir le CMC.
Selon le centre, le taux d’accroissement de cet agrégat en valeurs courantes escompté pour l’année 2017 serait de l’ordre de 4,1 %.
Avec un taux de progression, en valeurs nominales, pouvant atteindre 6,2% environ au terme de l’année 2017, les exportations connaîtraient un léger redressement à la faveur de la reprise de l’activité économique dans les principaux pays partenaires du Maroc.
Par ailleurs, les prix à la consommation devraient, sous l’effet d’un redressement significatif de la demande et du renchérissement sensible des produits importés, connaître un accroissement plus soutenu que l’exercice précédent.
Huffpost
Pour le centre, cette évolution est due à une "reprise prévisible des flux de capitaux étrangers doublée de la tendance au redressement de l’investissement privé et de certains programmes d’équipements publics".
Le scénario prévisionnel fait également ressortir un dynamisme des autres composantes de la demande, note le CMC. La consommation des ménages, elle, montrerait plus de vigueur en enregistrant un accroissement en valeurs courantes de 2,8%.
Une hausse de la consommation
Cette progression se traduirait par une hausse de la consommation réelle de 2%, "compte tenu d’une évolution des prix qui demeure encore modérée", précise la même source.
Pour ce qui est des échanges extérieurs tels que projetés dans cette simulation, ils devraient contribuer positivement à la croissance, à travers des flux d’importations qui poursuivraient, selon toute probabilité, leur évolution tendancielle, fait savoir le CMC.
Selon le centre, le taux d’accroissement de cet agrégat en valeurs courantes escompté pour l’année 2017 serait de l’ordre de 4,1 %.
Avec un taux de progression, en valeurs nominales, pouvant atteindre 6,2% environ au terme de l’année 2017, les exportations connaîtraient un léger redressement à la faveur de la reprise de l’activité économique dans les principaux pays partenaires du Maroc.
Par ailleurs, les prix à la consommation devraient, sous l’effet d’un redressement significatif de la demande et du renchérissement sensible des produits importés, connaître un accroissement plus soutenu que l’exercice précédent.
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