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Nacer Boudiaf demande à la Justice de s’autosaisir après les déclarations de Ghlamallah
Par Hadjer Guenanfa
Nacer Boudiaf a adressé, ce mardi 24 janvier, une lettre au ministre de la Justice au sujet des dernières déclarations du président du Haut conseil islamique, Bouabdellah Ghlamallah sur l’assassinat en juin 1992 du président Mohamed Boudiaf. « Les dernières déclarations de M. le président du Haut Conseil Islamique ne sauraient me laisser indifférent. En effet, ses propos corroborent exactement ce que j’avais dit le 2 juillet 1992, à la Télévision nationale », écrit Nacer Boudiaf.
Le fils de Boudiaf demande au Garde des sceaux « de permettre à la Justice de s’autosaisir, soit pour rouvrir le dossier de la mascarade de ce qui est appelé « acte isolé », soit de me permettre de déposer un dossier, muni des déclarations du président du Haut conseil islamique, une institution sous l’autorité directe de la présidence de la République, pour demander la réouverture du dossier au motif de nouveaux éléments de l’affaire Boudiaf, jugée en 1994 ».
Nacer Boudiaf rappelle les lettres ouvertes adressées aux Premiers responsables de l’État de l’époque, les déclarations et les articles de presse « réfutant la théorie de « l’acte isolé » ». Pour lui, c’est une autorité nationale qui « reprend fidèlement » sa conviction concernant l’assassinat de son père.
Le fils du président Mohamed Boudiaf affirme qu’il compte déposer plainte devant la justice étrangère en l’absence d’une réponse du ministre de la justice. « Quitte à m’accuser d’être de connivence avec la » main étrangère » », lâche-t-il. « La Justice en Algérie est prononcée au « nom du Peuple » et c’est au nom du PEUPLE que je vous prie de rouvrir le dossier », conclut-il.
Par Hadjer Guenanfa
Nacer Boudiaf a adressé, ce mardi 24 janvier, une lettre au ministre de la Justice au sujet des dernières déclarations du président du Haut conseil islamique, Bouabdellah Ghlamallah sur l’assassinat en juin 1992 du président Mohamed Boudiaf. « Les dernières déclarations de M. le président du Haut Conseil Islamique ne sauraient me laisser indifférent. En effet, ses propos corroborent exactement ce que j’avais dit le 2 juillet 1992, à la Télévision nationale », écrit Nacer Boudiaf.
Le fils de Boudiaf demande au Garde des sceaux « de permettre à la Justice de s’autosaisir, soit pour rouvrir le dossier de la mascarade de ce qui est appelé « acte isolé », soit de me permettre de déposer un dossier, muni des déclarations du président du Haut conseil islamique, une institution sous l’autorité directe de la présidence de la République, pour demander la réouverture du dossier au motif de nouveaux éléments de l’affaire Boudiaf, jugée en 1994 ».
Nacer Boudiaf rappelle les lettres ouvertes adressées aux Premiers responsables de l’État de l’époque, les déclarations et les articles de presse « réfutant la théorie de « l’acte isolé » ». Pour lui, c’est une autorité nationale qui « reprend fidèlement » sa conviction concernant l’assassinat de son père.
Le fils du président Mohamed Boudiaf affirme qu’il compte déposer plainte devant la justice étrangère en l’absence d’une réponse du ministre de la justice. « Quitte à m’accuser d’être de connivence avec la » main étrangère » », lâche-t-il. « La Justice en Algérie est prononcée au « nom du Peuple » et c’est au nom du PEUPLE que je vous prie de rouvrir le dossier », conclut-il.
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