oujemaa Achahboune est le deuxième avocat, après Abdelaziz Nouayidi, à se retirer de la défense des personnes poursuivies dans le cadre de l'affaire Gdim Izik. Il se plaint de la "politisation" du procès par certains avocats de la défense.
Des rebondissements dans le procès en civil des 24 prévenus dans l'affaire des soulèvements populaires de Gdim Izik. Après l’avocat et acteur associatif Abdelaziz Nouayidi, c’est au tour de Boujemaa Achahboune, autre avocat de la défense, de jeter l’éponge. Contacté par Telquel.ma, Achahboune déplore que des avocats étrangers aient choisi de "politiser l’affaire". "Quand j’exerce mon métier d’avocat, je dois m’en tenir aux lois qui encadrent ce métier au Maroc. Or, je constate que certains avocats sont sortis de ce cadre. Ça a été donc la goutte d’eau", regrette l’avocat. Il fait allusion à la stratégie adoptée par certains de ses confrères sur ce dossier qui protestent contre la tenue du procès conformément aux juridictions de ce qu'ils qualifient de "pays occupant".
De son côté, Abdelaziz Nouayidi s’était retiré de la défense de l’un des 24 accusés de cette affaire le 24 janvier. Le procureur général du roi à la cour d’appel de Rabat avait déclaré à la presse que la décision de Nouayidi faisait suite à un différend avec un autre avocat français de son client, Naama El Asfari. Les griefs de l'avocat concernaient également l’approche utilisée par les autres avocats de la défense.
TEL QUEL
Des rebondissements dans le procès en civil des 24 prévenus dans l'affaire des soulèvements populaires de Gdim Izik. Après l’avocat et acteur associatif Abdelaziz Nouayidi, c’est au tour de Boujemaa Achahboune, autre avocat de la défense, de jeter l’éponge. Contacté par Telquel.ma, Achahboune déplore que des avocats étrangers aient choisi de "politiser l’affaire". "Quand j’exerce mon métier d’avocat, je dois m’en tenir aux lois qui encadrent ce métier au Maroc. Or, je constate que certains avocats sont sortis de ce cadre. Ça a été donc la goutte d’eau", regrette l’avocat. Il fait allusion à la stratégie adoptée par certains de ses confrères sur ce dossier qui protestent contre la tenue du procès conformément aux juridictions de ce qu'ils qualifient de "pays occupant".
De son côté, Abdelaziz Nouayidi s’était retiré de la défense de l’un des 24 accusés de cette affaire le 24 janvier. Le procureur général du roi à la cour d’appel de Rabat avait déclaré à la presse que la décision de Nouayidi faisait suite à un différend avec un autre avocat français de son client, Naama El Asfari. Les griefs de l'avocat concernaient également l’approche utilisée par les autres avocats de la défense.
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