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Medhi Ben Barka: l'os marocain?

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  • Medhi Ben Barka: l'os marocain?

    Est-ce un hasard si le Maroc est sujet à d'affaires qui n'arrange guère son image de dictature "douce"?

    Après le procès des guérilléros sahraouis à Salé, l'expulsion d'un étudiant malien par le Maroc, revoilà réactualiser l'affaire du siècle: l'assassinat du plus intelligent marocain de tous les temps!

    Ps. je profite de l'occasion afin d'informer que mon ami Bachir Ben Barka et son avocat viennent d'être mis en examen par un Tribunal français pour de prétendues calomnies.

    -En juin 2007, la CIA déclassifiait un dossier sur ses opérations menées durant les années 50 et 60. Un trésor pour les chercheurs baptisé «Les Bijoux de la famille». Ces documents dévoilaient des projets d’assassinat de Fidel Castro ou de l’autre grand leader africain, Patrice Lumumba, très bref Premier ministre de la République démocratique du Congo (juin-septembre 1960).

    En revanche, sur l’assassinat de Mehdi Ben Barka, pas la moindre information n’a été révélée au grand public. Pourtant, les Américains suivaient de très près les activités de l’opposant de Hassan II et organisateur de la Conférence tricontinentale.

    Source: site marocain yab......
    Dernière modification par rago, 26 janvier 2017, 18h31.

  • #2
    Le Belfortain Bachir Ben Barka attaqué en justice par l'un des présumés responsables de l'enlèvement de son père.

    Depuis 50 ans, la famille Ben Barka se bat pour connaître les circonstances exactes de la disparition du célèbre leader politique marocain Mehdi Ben Barka. Bachir Ben Barka, le fils de l'opposant politique et d'autres personnalités ont appris leur mise en examen suite à une plainte pour diffamation.

    Ces poursuites judiciaires sur le sol français sont entreprises par Miloud Tounzi alors qu'il n'a rien entrepris de la sorte au Maroc. Cet ancien agent marocain est l'un des personnages clé de la disparition de Mehdi Ben Barka, connu sous le nom de Chtouki. Cette double identité a été établie selon "l'instruction judiciaire ouverte à Paris, lors de son auditition par l'Instance Equité et Réconciliation à Rabat en 2005" et pourtant, cet homme a déposé plainte début 2016 pour "diffamation publique" estimant que cette identification à Chtouki "porte atteinte à son honneur et à sa considération".

    L'avocat de la famille M° Maurice Buttin, l'avant-dernier juge d'instruction en charge du dossier Patrick Ramaël et des journalistes ont été également visés par cette plainte et cette procédure automatique de mise en examen. Déjà, en 2014, Tounzi avait attaqué en justice Maître Buttier pour "violation du secret de l’instruction". L'avocat a été relaxé en appel.

    Le Belfortain Bachir Ben Barka continue à se battre pour connaître la vérité sur la disparition de son père. Le 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, en déplacement à Paris, est interpellé par deux policiers français et disparaît. On n’a jamais retrouvé son corps. Cette plainte ne décourage pas la famille de l'opposant :

    "Aujourd’hui, au lieu de contribuer à faire connaître la vérité, Miloud Tounzi (et ceux qui le soutiennent) préfère porter plainte. En usant de tels procédés d’intimidation, ils pensent, décourager la famille Ben Barka et son avocat, ainsi que tous ceux qui aspirent à la vérité et à la justice, de poursuivre le travail
    acharné, entamé il y a plus de 50 ans, pour connaître les circonstances exactes de la disparation du leader marocain.


    Notre indignation devant cette provocation scandaleuse est à la mesure de la responsabilité que portent principalement les autorités françaises et marocaines qui continuent d’entraver l’action de la justice, notamment en maintenant le secret de la défense (France) ou en n’exécutant pas les Commissions rogatoires internationales (Maroc), protégeant ainsi ce plaignant criminel et ses associés, et leur garantissant l’impunité." précise un communiqué publié le 20 janvier 2017.



    Source: franceinfo
    Dernière modification par rago, 26 janvier 2017, 18h56.

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    • #3
      Etonnemment, la presse marocaine n'alloue aucun article à la "pérennité" de l'affaire de Ben Barka.

      Ceci démontre que l'Etat marocain vit sous état de siège et qu'il est interdit de faire cas d'affaires encombrantes.

      Commentaire


      • #4
        Code PHP:
        Etonnemmentla presse marocaine n'alloue aucun article à la "pérennité" de l'affaire de Ben Barka
        @ rago

        Ce n'est pas lui le seul et l'unique Marocain qui a soutenu ceux qui égorgé 10 mokhazni en plein sommeil dans leurs tentes dans les environs de FIGUIG ?????

        Et parmi les grands "HARKIs" qui ont électrifié le climat entre RABAT et ALGER ???? !!!!!!!

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        • #5
          AGHBAL: " Et parmi les grands "HARKIs" qui ont électrifié le climat entre RABAT et ALGER ???? !!!!!!!"

          Il est à craindre que vous confondiez le Maroc et la Tunisie. En effet, la ligne Morice s'était érigée à la frontières algéro-tunisienne et non au Maroc puisque celui-ci était complice de la France (cf. à l'affaire de l'avion de Ben Bella)..

          - C’est d’abord à la frontière marocaine que fut expérimentée le premier barrage, sous l’autorité du général Pédron, commandant le corps d’armée d’Oran. Dès le mois de juin 1956, un simple réseau de barbelés fut construit entre la frontière et la route nationale n° 7, dans le secteur côtier tenu par la demi-brigade de fusiliers marins (DBFM) près de Nemours.

          Le ministre de la Défense nationale du gouvernement Bourgès-Maunoury, André Morice, décida le 26 juin 1957 de généraliser cette expérience de façon à réaliser en quelques mois le bouclage des deux frontières. A l’Ouest, la « ligne Pédron » s’éloignait de la frontière marocaine sur les hauts plateaux arides couverts d’une steppe d’alfa, pour aller protéger la route et la voie ferrée reliant Oran à Colomb-Béchar dans leur traversée de l’Atlas saharien.

          A l’Est, où tout était à faire, la « ligne Morice » suivait et protégeait également la route et la voie ferrée de Bône à Souk-Ahras et Tébessa, ce qui permit sa réalisation en trois mois. Les espaces qui s’étendaient entre les barrages et les frontières furent transformés en « zones interdites », dont les habitants étaient regroupés autour des postes militaires ou évacués. Les étendues plates et désertiques des confins sahariens à l’Est, et des hauts plateaux à l’Ouest, étaient d’abord surveillés par des batteries de canons à tirs automatique déclenché par radar, avant la construction du réseau électrifié.

          Etant donné la gravité particulière de la menace que l’ALN de Tunisie faisait peser sur le barrage de l’Est, il était prévu de le doubler par un barrage de l’avant plus proche de la frontière tunisienne. Celui-ci fut d’abord construit de Souk-Ahras à Tébessa, de façon à protéger les centres miniers de l’Ouenza et du Kouif, d’octobre 1958 à mars 1959, puis de Souk-Ahras à la mer, de mars à octobre 1959. Ce barrage de l’avant fut appelé « ligne Challe », du nom du nouveau commandant en chef, successeur du général Salan. Il fit plus que doubler la difficulté du passage de la Tunisie vers l’Algérie.

          En effet, le barrage était un ensemble d’obstacles redoutable d’abord par sa largeur : de 100 mètres à plusieurs kilomètres suivant les endroits. On y trouvait au centre, souvent une route et une voie ferrée, et toujours une piste de surveillance utilisée par les véhicules blindés des patrouilles faisant « la herse ». Et des deux côtés (vers l’extérieur et vers l’intérieur) une haie renforcée non minée, puis un réseau intérieur de barbelés miné, une piste technique longeant la clôture électrifiée, puis encore un réseau extérieur miné, et enfin un grillage destiné à tenir les animaux à l’écart.

          Cet obstacle n’était pourtant pas absolument infranchissable : on pouvait faire sauter les réseaux de barbelés et les mines au moyen de tubes remplis d’explosifs appelés bangalores, et sectionner la clôture électrifiée avec des pinces coupantes à poignées isolantes. - .

          Source: Guy Perville

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          • #6
            Code PHP:
            Et parmi les grands "HARKIs" qui ont électrifié le climat entre RABAT et ALGER ???? !!!!!!!
            @ rago

            DE QUOI TU PARLES Là ???? !!!!!

            J'ai parlé d'un certain climat électrifié par les problèmes des uns et "l'afhamates" des autres et surtout ses déclarations durant son exile en Algérie concernant son pays et son peuple

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            • #7
              @AGHBAL: " J'ai parlé d'un certain climat électrifié par les problèmes des uns et "l'afhamates" des autres et surtout ses déclarations durant son exile en Algérie concernant son pays et son peuple"

              Mais à qui faites-vous allusion? A Bouteflika?

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              • #8
                Code HTML:
                Mais à qui faites-vous allusion? A Bouteflika?
                @ rago

                A YAHDIK ALLAH A SI rago

                On parle de Mehdi et non de Abdel Aziz, c'est bien ton sujet de discussion ?????

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                • #9
                  AGHBAL

                  tu es le seul Marocain qui lui fait l'honneur de lui répondre. même ses propres compatriotes le zappe.
                  "Le style...... c'est l'homme": King Hassan II

                  Commentaire


                  • #10
                    rago ragottes.
                    Souvenez vous quand certains parlaient du mur de sable comme quoi c'est le premier mur.
                    J'en ai parlé de cette ligne Morice, les barbelés et les mines, construit en grande partie par des ouvriers Harkis.
                    rago le reposte

                    Commentaire


                    • #11
                      @AGHBAL: " On parle de Mehdi et non de Abdel Aziz, c'est bien ton sujet de discussion ?????"

                      Alors spécifiez à qui vous faites allusion! Medhi Ben Barka n'a jamais été exilé en Algérie (contrairement à Bouteflika). En Allemagne et en Suisse plus certainement.


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                      • #12
                        Plus grave est le drame du peuple marocain face au plus illustre et intelligent de leur compatriote Medhi Ben Barka.

                        Quel autre révolutionnaire du Maghreb a fait d'un splendide film de Yves Boisset ( L'Attentat) et qui à Paris est dédié un square?

                        Medhi Ben Barka est la gloire de l'Afrique du Nord si ce n'est encore bien davantage à l'instar de Nelson Mandela.

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                        • #13
                          @rago
                          Tu connais rien à l'histoire des leaders politiques marocaine, tu avances des mensonges comme étant "Ami" du fils de BenBarka !!!!
                          Je te corrige, Mehdi BenBarka a quitté le Maroc en Juillet 1963, son exil entre Alger et Le Caire, il a résidé à Alger pendant 4 mois (non continus). D'ailleurs c'est à Alger ou il a rencontré Le Che. et aussi à Le Caire ou sa famille l'a rejoint après (dont son fils dont tu parles). en Juillet 1964.
                          Il voyageait surtout avec un passeport égyptien, et à quelques reprises avec un pass algérien.
                          Un Ex gauchiste qui sait bien l'histoire de son pays.
                          Rappelles toi tu avançais aussi des débilité sur Abraham Serfaty (tu ne maitrisais que dalle) , et maintenant tu t'ériges comme un "expert" des opposants marocains
                          Dernière modification par fido1, 27 janvier 2017, 18h56.

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                          • #14
                            @fido1

                            Vous perdez votre temps. Il se fiche de vos réponses. Tout ce qu'il cherche c'est vous faire tourner en rond. Et ça marche. :22:

                            Commentaire


                            • #15
                              @fido1: " Tu connais rien à l'histoire des leaders politiques marocaine, tu avances des mensonges comme étant "Ami" du fils de BenBarka !!!!"

                              Mais pourquoi mentirais-je à propos de mon ami Bachir Ben Barka? Je peux même (tout en respectant sa vie privée) informer quiconque que Bachir fut employé en tant ingénieur auprès de la firme américaine Johson& Johson en Suisse car il était déjà employé par la même firme en Allemagne (où son oncle, rattaché à la mission économique germano-marocaine) l'avait élevé à Francfort).

                              Actuellement, il réside à Belfort (France).

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