La science qui prétend qu’il n’existe pas de liens entre les vaccins et l’autisme est fausse. Alors que cette pseudo-science continue de prospérer, les taux d’autisme n’arrêtent pas de croître. Les fabricants de vaccins sont protégés de tout risque de poursuite alors que des vies entières sont dévastées… et la fausse science continue de soutenir ce régime*!
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Par Jagannath Chatterjee, 28 avril 2013
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C’est une épidémie mondiale d’autisme qui a véritablement explosé*! C’est en mars 2013 que les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) ont déclaré que l’autisme affecte aujourd’hui 1 enfant sur 50 aux Etats-Unis. Le taux de croissance de l’autisme est terrifiant si on le compare au taux de 1970 dans le Wisconsin où, à l’époque, on relevait 1 cas d’autisme sur 14.857. Un cas d’autisme est actuellement diagnostiqué toutes les 20 minutes, ce qui en fait l’épidémie présentant la plus forte croissance de l’histoire. Comparativement à pareille croissance, celles du SIDA, du cancer et du diabète réunies semblent quasi dérisoires.
L’autisme est un handicap complexe qui se manifeste par des lésions cérébrales, des lésions intestinales, des troubles du sommeil, des allergies alimentaires, de l’épilepsie, des dysfonctions immunitaires, des modèles de comportement auto-destructeurs, des problèmes de communication et d’absence de réactions.
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Les premiers écrits sur l’autisme datent de 1943 quand le Dr Leo Kanner a décrit les cas de 11 enfants atteints de troubles qui n’avaient jamais été observés.
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La grande majorité des cas porte le nom d’autisme régressif, ce qui signifie que les enfants semblent petit à petit glisser dans cet état après un stade de développement normal. C’est cette forme d’autisme (appelée "autisme régressif")*qui est devenue épidémique.
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Les médecins et les experts médicaux déroutés par les graves dommages physiques qu’ils voyaient chez ces enfants autistes pensaient qu’ils étaient probablement provoqués par des toxines parce que ces enfants étaient peut-être plus sensibles et n’avaient pas la possibilité d’évacuer ces toxines. Selon eux, les troubles comportementaux de ces enfants devaient être le reflet d’intenses souffrances qui leur faisaient perdre leur aptitude à communiquer, à exprimer leur douleur extrême. Quand ces médecins parlaient d’autisme, ils s’en référaient à une maladie*affectant la totalité du corps.
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Selon le CDC, l’origine de cette maladie est un mystère. L’Agence multiplie cependant ses efforts et a recours à des études discréditées pour prétendre que l’autisme n’est pas provoqué par les vaccins. Elle soutient également que ces troubles qu’elle qualifie de troubles du comportement auraient une origine génétique.
En examinant ces hypothèses, il est prudent de garder à l’esprit que la mission du CDC est de s’assurer que tous les enfants suivent le calendrier vaccinal. Le CDC se trouve donc dans une situation de conflits d’intérêts quand il évoque quoi que ce soit au sujet des vaccins. Le fait même de reconnaître que les vaccins pourraient être dangereux va à l’encontre de sa mission.
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Ce sont les parents qui ont d’abord donné l’alarme quand ils ont remarqué que leurs enfants réagissaient violemment après un ou plusieurs vaccins et que peu à peu, ils glissaient dans un autre monde, changeant de personnalité, présentant des comportement étranges qu’ils n’avaient jamais connus auparavant. Ne pas remarquer ces changements était pratiquement impossible*; les parents avaient souvent des vidéos pour démontrer que leurs enfants étaient en parfaite santé, jouaient et étaient heureux avant qu’ils ne reçoivent les vaccins. Le débat a commencé quand les chercheurs ont* comparé la maladie avec les symptômes* de l’empoisonnement au mercure. Un composé mercuriel* appelé Thimérosal est utilisé dans les vaccins en tant que conservateur
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Par Jagannath Chatterjee, 28 avril 2013
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C’est une épidémie mondiale d’autisme qui a véritablement explosé*! C’est en mars 2013 que les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) ont déclaré que l’autisme affecte aujourd’hui 1 enfant sur 50 aux Etats-Unis. Le taux de croissance de l’autisme est terrifiant si on le compare au taux de 1970 dans le Wisconsin où, à l’époque, on relevait 1 cas d’autisme sur 14.857. Un cas d’autisme est actuellement diagnostiqué toutes les 20 minutes, ce qui en fait l’épidémie présentant la plus forte croissance de l’histoire. Comparativement à pareille croissance, celles du SIDA, du cancer et du diabète réunies semblent quasi dérisoires.
L’autisme est un handicap complexe qui se manifeste par des lésions cérébrales, des lésions intestinales, des troubles du sommeil, des allergies alimentaires, de l’épilepsie, des dysfonctions immunitaires, des modèles de comportement auto-destructeurs, des problèmes de communication et d’absence de réactions.
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Les premiers écrits sur l’autisme datent de 1943 quand le Dr Leo Kanner a décrit les cas de 11 enfants atteints de troubles qui n’avaient jamais été observés.
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La grande majorité des cas porte le nom d’autisme régressif, ce qui signifie que les enfants semblent petit à petit glisser dans cet état après un stade de développement normal. C’est cette forme d’autisme (appelée "autisme régressif")*qui est devenue épidémique.
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Les médecins et les experts médicaux déroutés par les graves dommages physiques qu’ils voyaient chez ces enfants autistes pensaient qu’ils étaient probablement provoqués par des toxines parce que ces enfants étaient peut-être plus sensibles et n’avaient pas la possibilité d’évacuer ces toxines. Selon eux, les troubles comportementaux de ces enfants devaient être le reflet d’intenses souffrances qui leur faisaient perdre leur aptitude à communiquer, à exprimer leur douleur extrême. Quand ces médecins parlaient d’autisme, ils s’en référaient à une maladie*affectant la totalité du corps.
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Selon le CDC, l’origine de cette maladie est un mystère. L’Agence multiplie cependant ses efforts et a recours à des études discréditées pour prétendre que l’autisme n’est pas provoqué par les vaccins. Elle soutient également que ces troubles qu’elle qualifie de troubles du comportement auraient une origine génétique.
En examinant ces hypothèses, il est prudent de garder à l’esprit que la mission du CDC est de s’assurer que tous les enfants suivent le calendrier vaccinal. Le CDC se trouve donc dans une situation de conflits d’intérêts quand il évoque quoi que ce soit au sujet des vaccins. Le fait même de reconnaître que les vaccins pourraient être dangereux va à l’encontre de sa mission.
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Ce sont les parents qui ont d’abord donné l’alarme quand ils ont remarqué que leurs enfants réagissaient violemment après un ou plusieurs vaccins et que peu à peu, ils glissaient dans un autre monde, changeant de personnalité, présentant des comportement étranges qu’ils n’avaient jamais connus auparavant. Ne pas remarquer ces changements était pratiquement impossible*; les parents avaient souvent des vidéos pour démontrer que leurs enfants étaient en parfaite santé, jouaient et étaient heureux avant qu’ils ne reçoivent les vaccins. Le débat a commencé quand les chercheurs ont* comparé la maladie avec les symptômes* de l’empoisonnement au mercure. Un composé mercuriel* appelé Thimérosal est utilisé dans les vaccins en tant que conservateur
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