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Élections législatives en Algérie

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  • Élections législatives en Algérie

    La révision des listes électorales est prévue entre
    le 8 et 22 février
    Élections législative ce sera le 4 mai prochain


    le 02-02-2017 13:30

    Les prochaines élections législatives se dérouleront le 4 mai prochain. C'est la décision prise par la présidence dans un communiqué repris par l'APS. "Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a convoqué jeudi le corps électoral pour l'élection des membres de l'Assemblée populaire nationale (APN), le jeudi 4 mai 2017" est-il indiqué. La même source précise que "conformément aux dispositions de l'article 91-6 de la Constitution et des dispositions pertinentes de la loi organique n° 10-16 portant régime électoral, Son Excellence M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République, a signé, ce jour (jeudi), un décret portant convocation du corps électoral pour l'élection des membres de l'Assemblée populaire nationale, le jeudi 4 mai 2017". Ce même décret a fixé la période du 8 au 22 février 2017 pour la révision exceptionnelle des listes électorales, précise le communiqué.
    Rédaction Numérique de "Liberté"/APS

  • #2
    Abstention électorale la grande hantise

    Elle préoccupe aussi bien le gouvernement que la classe politique
    Abstention électorale la grande hantise

    Par Mehdi Mehenni
    le 04-02-2017 10:00

    Pour la classe politique, l’abstention donne plus de possibilités de fraude pour l’administration qui a le contrôle exclusif du fichier électoral.

    Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a convoqué le corps électoral pour le 4 mai prochain. Les partis politiques ont, dans leur majorité, décidé de s’inscrire pour la compétition. Mais cela ne rassérène pas le gouvernement à qui il reste un grand défi à relever : ramener le taux d’abstention électorale à un seuil acceptable lors du prochain scrutin législatif. En clair, mobiliser au maximum pour lutter contre le spectre de l’abstention, un phénomène traditionnellement avéré en Algérie, particulièrement lorsqu’il s’agit d’élire une Assemblée populaire nationale. Une institution de la République qui continue de manquer de crédibilité, voire de légitimité et pour laquelle, donc, les citoyens ne voient pas d’utilité. Ce qui les démobilise, bien évidemment.À cela s’ajoutent, accuse l’opposition, les pratiques peu orthodoxes du pouvoir qui a pris la fâcheuse habitude de définir et répartir les quotas de strapontins sur les clientèles. Le renouvellement de la pratique est appréhendé, malgré le nouveau dispositif réglementaire et la multiplication par le gouvernement des gages pour un scrutin transparent. Le secrétaire général du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, Hocine Mazouz, a sillonné le pays avec pour mission d’influer positivement sur l’attitude électorale du citoyen qui n’affiche pas forcément des dispositions à aller glisser le bulletin dans l’urne quand arrivera le jour du vote. Le haut cadre du ministère de l’Intérieur était jeudi à Oran pour présider un colloque régional sur la préparation des prochaines échéances électorales, notamment législatives.
    Il a tenté de rassurer qu’“à compter de cette année, le travail des services des élections des APC deviendra quotidien et sera encadré et équipé, ceci afin d’assurer la pleine transparence des élections”. Avant lui, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, avait affirmé que “les prochaines élections seront d'un plus haut niveau”, et que “la nouvelle Constitution sera le principal garant de la transparence et de la régularité des élections, grâce aux lois qu'elle renferme, ainsi que la Haute instance indépendante de surveillance des élections (Hiise), qui sera indépendante à 100%”. Une instance déjà installée et opérationnelle. Mais le discours suffira-t-il, à lui seul, à évacuer le spectre de la fraude et, partant, faire reculer l’abstention ? Pas si sûr. La promesse n’est pas appréciée comme une garantie de transparence. Elle est toujours sujette à caution. L’opposition doute de la sincérité du gouvernement. La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, pour ne citer qu’elle, affirmait, il y a à peine une semaine, que “les conditions d’un scrutin libre et transparent n’étaient pas encore réunies”. Des partis comme le RCD, le FFS et les islamistes ne sont pas en reste. Ils partagent la même appréhension.Ce qui n’est pas pour convaincre pour une mobilisation électorale. À plus forte raison lorsque l’élection porte sur le renouvellement de la composante de la Chambre basse du Parlement. Surtout aussi que la législature actuelle s’est achevée sur un goût désagréable. Elle s’est terminé sur la validation à la fois de la loi de finances 2017—une loi très contraignante pour la majorité des citoyens—et de la loi sur la retraite. Un baisser de rideau qui n’est pas pour booster la participation au scrutin.
    Liberte-algerie

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    • #3
      a t on encore du temps pour faire la carte du vote ?

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      • #4
        La carte du vote

        Bonsoir , welcome tu seras le bienvenue! ils n'en demandent pas moins que ça.

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        • #5
          oh, je croyais que la procédure était plus bureaucratique que ça

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          • #6
            La procédure était plus bureaucratique

            Oh ,"la procédure était plus bureaucratique que ça" quand ça concerne nous
            vue que c'est pour bien plafonner le taux ?

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            • #7
              Électeurs-la naissance et l’affiliation seront dans le fichier

              Le SG du ministère de l’intérieur à Oran
              Électeurs/la naissance et l’affiliation seront dans le fichier

              Publié le le 04-02-2017

              “Dorénavant, le numéro de l’acte de naissance et l’affiliation de chaque électeur seront portés sur le fichier électoral qui compte 23 millions d’inscrits, et son actualisation se fera quotidiennement et non à la veille de chaque scrutin”, a précisé d’emblée le SG du ministère de l’Intérieur, Hocine Mazouz, lors d’une journée d’étude sur la préparation des prochaines élections devant les cadres administratifs de 8 wilayas de l’Ouest (Oran, Mostaganem, Relizane, Tiaret, Tissemsilt, Chlef, Béchar et Adrar). Ce qui constituerait, dans son optique, un gage supplémentaire de transparence pour les prochaines législatives alors que les partis politiques, notamment ceux de l’opposition, réclament l’accès à l’intégralité du fichier électoral. Plus de transparence, de neutralité et d’impartialité, a-t-il fait savoir. De la liste électorale aux sites réservés à la campagne électorale et de l’affichage jusqu’à la mise en place de tous les moyens humains et matériels pour le bon déroulement des opérations, a assuré l’orateur avant de donner la parole à son équipe pour expliquer à l’assistance les procédures techniques de l’opération. “La formation de l’encadrement est impérative”, insiste un inspecteur général. Avec l’installation de la Haute instance indépendante de surveillance des élections, et le déroulement de l’opération à l’intérieur des centres de vote, l’administration n’assure que la logistique.D’autre part, le nombre des électeurs ne dépassera plus les 500 inscrits par bureau de vote et les relogés voteront dans leurs cités. Cependant, et malgré les efforts consentis avec l’introduction de l’outil informatique, beaucoup de choses restent à améliorer. “Notre faiblesse est de n’avoir jamais réalisé des bilans avec toutes les défaillances et les insuffisances après chaque scrutin”, regrette le SG du ministère de l’Intérieur qui promet de rattraper le temps perdu. Cependant, des chiffres avancés méritent des clarifications. “64 millions d’actes de naissance et 17 millions d’actes de décès sont répertoriés sur le fichier national. Et si le nombre de la population est de 40 millions d’habitants, entre les naissances et les décès, il y a un écart qu’il faut clarifier”, confie un cadre communal présent.
              NOUREDDINE BENABBOU
              Liberte-algerie





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              • #8
                Il a tenté de rassurer qu’“à compter de cette année, le travail des services des élections des APC deviendra quotidien et sera encadré et équipé, ceci afin d’assurer la pleine transparence des élections”. Avant lui, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, avait affirmé que “les prochaines élections seront d'un plus haut niveau”, et que “la nouvelle Constitution sera le principal garant de la transparence et de la régularité des élections, grâce aux lois qu'elle renferme, ainsi que la Haute instance indépendante de surveillance des élections (Hiise), qui sera indépendante à 100%”.
                Pour l'élection des députés de l'étranger, il semble que les problèmes commencent dès le choix des dossiers. On apprend que le député sortant Bouras est le superviseur qui décide des dossiers des candidats acceptés ou refusés. Il est évident que les dossiers qui compromettront son élection seront écartés. Il serait donc bien de l'écarter de la sélection des dossiers pour montrer que la transparence est réelle et que les directives de DAO sur le plan anti chkara sont appliqués. Si le FLN veut reprendre sa place historique, il doit être exemplaire et respecter les promesses faites. Sinon il ne faudra pas s'étonner d'une abstention et du déclin du FLN.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  c'est vrai ça?!!!!!
                  oeilfermé

                  Bedoui à Ould Abbes: il n'y a que Boutef qui connaît la date des législatives ! (Vidéo)



                  Ould Abbès essuie les premières critiques de sa sortie impromptue annonçant la date des élections législatives.


                  Qu'est-ce qui a donc poussé Ould Abbès à se prononcer sur la date des prochaines élections ? Dans une déclaration, il a soutenu il y a quatre jours que "les élections législatives auront lieu le 4 ou le 11 mai prochain", ajoutant sans doute par prudence : "Mais rien n'est encore officiel". Ouf ! Alors si ce n'est pas officiel pourquoi s'être empressé de l'annoncer ? serait-on tenté de dire. Cependant cette réserve ne lui a pas épargné une réponse cinglante du ministre de l'Intérieur qui a, sans nul doute, senti Ould Abbès fouler ses prérogatives. "La décision pour la date de l'élection revient au président de la république", répond Noureddine Bedoui en réponse à Djamel Ould Abbès.
                  Le ministre assure que tout sera fait pour la réussite de ces élections. "Nous sommes prêts pour affronter cette échéance", promet Noureddine Bedoui. Hormis l'installation d'une haute autorité de surveillance des élections, on ignore tout pour l'heure sur l'organisation pratique de ces législatives.
                  La rédaction

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                  • #10
                    >>>Et si le nombre de la population est de 40 millions d’habitants, entre les naissances et les décès, il y a un écart qu’il faut clarifier”, confie un cadre communal présent.

                    Il n'y a rien à clarifier, il y a 7 millions d'algériens entre la vie et la mort

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                    • #11

                      Vidéo pas prise en charge, dommage

                      En résumé, une dame explique que les algériens de France en ont marre d'avoir des députés qui ne sont jamais là pour leur communauté. Etre député consiste à défendre les algériens chaque fois qu'ils sont insultés ou attaqués mais nos députés ont brillé par leur absence et leur mutisme. Il est temps que ça change puisque certains en sont déjà à leur deuxième mandat sans que jamais ils ne répondent aux demandes des citoyens. C'est valable pour tous les partis. "Que la communauté en France soit considérée, on a demandé des gens pour aller voir les malades ou les sans papiers, personne n'est jamais là". Il existe même un député qui prétendait être de la famille du président Bouteflika et recevoir ses ordres de la présidence mais grâce à un militant de son parti, nous apprenons que depuis des années ce député mentait à tout le monde.
                      Dernière modification par zwina, 07 février 2017, 20h44.
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                      • #12
                        La communauté algérienne en france

                        Bonsoir ; tu crois que La communauté algérienne en france est seule de l'abscence de nos soi-disant representants ? On vit le même problème .Je crois qu'un boycott massive aux élections pourra amener un changement sinon ce systéme s'éterniser

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                        • #13
                          Voilà pourquoi les chaînes privées sont interdites de couvrir les législatives

                          Voilà pourquoi les chaînes privées sont interdites
                          de couvrir les législatives

                          Mercredi 08 Fevrier 2017

                          La sortie médiatique du ministre de la Communication, Hamid Grine, à Béjaïa sur la couverture des prochaines législatives et locales, a été reçue par certaines chaînes comme une douche froide. Le ministre a notamment déclaré que ce ne sont pas toutes les chaînes privées qui seront autorisées à couvrir les prochaines élections avant d'ajouter: «Nous sommes dans la légalité et on ne va pas donner (des autorisations) à des chaînes de droit étranger». Autrement dit des chaînes comme Beur TV, KBC, El Bilad TV, El Adjwa TV ou encore Numidia News, qui couvrent quotidiennement les activités des ministres et des responsables durant toute l'année, sont interdites de couverture. Ce sont d'ailleurs ces mêmes chaînes qui sont interdites de couverture des élections législatives qui étaient à la conférence de Abdelwahab Derbal, le président de la Haute Instance indépendante de surveillance des élections. La période de couverture des élections législatives est la période propice à toute chaîne de droit étranger d'obtenir une autorisation pour faire des reportages et des interviews. Visiblement, le gouvernement n'aime pas le bricolage et les non-dits. Depuis leur lancement, seules quatre chaînes télévisées se sont illustrées par un soi-disant professionnalisme; c'est le cas de la chaîne Ennahar TV, Echourouk TV, Dzaïr TV et Dzaïr News, et à un degré moindre El Djazaïria TV. Le reste des chaînes de télévision n'a pas adopté une vision claire et définie d'une télévision moderne. Le plus étonnant dans cette affaire, ce sont les deux chaînes d'infos KBC et Numidia News. Cette dernière, qui est la propriété du groupe Tahkout, n'a pas encore trouvé sa «qibla». Malgré un recrutement massif de journalistes, de rédacteurs en chef et de techniciens issus de la télévision publique, la chaîne n'a pas encore pris son envol. Elle est même plus faible que quand elle était dirigée par le défunt Samy Riad. Le patron Tahkout qui a obtenu monts et merveilles de la part du gouvernement, n'a pas obtenu le fameux sésame de l'autorisation de chaîne algérienne émettant à partir du territoire national. Même cas de figure pour KBC qui, malgré la disponibilité de studios (situés au niveau de l'imprimerie d'El Khabar), le groupe n'a pas réussi à se rapprocher des deux grandes chaînes d'infos: Ennahar TV et Echourouk News. La stratégie rédactionnelle mise en place par la chaîne, compte plus sur les émissions de débats parfois stériles que sur un journal télévisé très élaboré. Même constat pour la chaîne El Bilad dont on a l'impression qu'elle fonctionne comme une fabrique de vidéos pour le compte de son profil Facebook qui a atteint six millions de fans. Les chaînes privées n'ont pas encore établi une stratégie claire de l'information.
                          L'Expressiondz

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                          • #14
                            بوتفليقة قبايلي ونص

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                            • #15
                              Azul zadhand

                              Bonsoir ; tu crois que La communauté algérienne en france est seule de l'abscence de nos soi-disant representants ? On vit le même problème .Je crois qu'un boycott massive aux élections pourra amener un changement sinon ce systéme s'éterniser
                              La communauté algérienne de France affronte de graves problèmes dont le FN et ses sbires qui sont les héritiers des colons et ex OAS. Ils ont donc besoin de représentants qui agissent efficacement pour contrer les attaques des nostalgiques de l'Algérie française si on ne veut pas que les ratonnades et les arrestations arbitraires reprennent comme au temps de la guerre d'Algérie. C'est une erreur de boycotter les élections législatives, les députés sont le relais entre le gouvernement et les citoyens, ceux qui n'assument pas leurs fonctions doivent être sanctionnés dans les urnes si on veut un changement pour l'Algérie. Le risque de triche ou de bourrage d'urnes existe mais ce n'est pas en boycottant les législatives qu'on parviendra à changer ces pratiques.
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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