A preuve du contraire, le Maroc appartient toujours à la France (cf. "L'indépendance dans l'interdépendance" statut néocolonialiste) ainsi qu'à l'interdiction formelle faite au Maroc par l'Hexagone de faire la réciprocité à l'exigence aux visas aux ressortissants français alors que la France impose ce document aux Marocains.
- Le jeu d’équilibriste de la France
Du fait de la mésentente entre l’Algérie et le Maroc, la relation triangulaire se caractérise en fait par deux relations bilatérales France – Algérie d’un côté et France – Maroc de l’autre sur laquelle plane l’ombre du troisième partenaire absent.
« Lorsqu’une des deux relations se réchauffe, l’autre se refroidit presque automatiquement », note le rapport qui explique ainsi la glaciation franco-marocaine de 2012.
« In fine, les relations de la France avec les pays maghrébins se doivent de sortir de l’impasse que constitue ce balancement permanent entre le Maroc et l’Algérie à mesure des alternances politiques à Paris ou des priorités du moment », préconisent les députés.
« Au-delà du préjudice que cause cet antagonisme algéro-marocain aux intéressés eux-mêmes, la France, comme l’ensemble des pays souhaitant développer une coopération avec le Maghreb se trouve confrontée à la difficulté de devoir « choisir » entre une approche marocaine ou une approche algérienne », assurent-ils.
En somme, la France doit « assumer l’ensemble de son histoire avec ces pays (…) » et « affirmer clairement qu’elle n’est pas partie prenante, ni arbitre des différends algéro-marocain »
Source: le desk
- Le jeu d’équilibriste de la France
Du fait de la mésentente entre l’Algérie et le Maroc, la relation triangulaire se caractérise en fait par deux relations bilatérales France – Algérie d’un côté et France – Maroc de l’autre sur laquelle plane l’ombre du troisième partenaire absent.
« Lorsqu’une des deux relations se réchauffe, l’autre se refroidit presque automatiquement », note le rapport qui explique ainsi la glaciation franco-marocaine de 2012.
« In fine, les relations de la France avec les pays maghrébins se doivent de sortir de l’impasse que constitue ce balancement permanent entre le Maroc et l’Algérie à mesure des alternances politiques à Paris ou des priorités du moment », préconisent les députés.
« Au-delà du préjudice que cause cet antagonisme algéro-marocain aux intéressés eux-mêmes, la France, comme l’ensemble des pays souhaitant développer une coopération avec le Maghreb se trouve confrontée à la difficulté de devoir « choisir » entre une approche marocaine ou une approche algérienne », assurent-ils.
En somme, la France doit « assumer l’ensemble de son histoire avec ces pays (…) » et « affirmer clairement qu’elle n’est pas partie prenante, ni arbitre des différends algéro-marocain »
Source: le desk