NEW YORK — Une proche conseillère du président américain Donald Trump a évoqué un «massacre» survenu en 2011 au Kentucky pour justifier la décision controversée du gouvernement d’interdire temporairement l’accès au pays aux ressortissants de sept pays majoritairement musulmans.
Lors d’une entrevue accordée au réseau MSNBC et diffusée jeudi, Kellyanne Conway défend la mesure en rappelant que l’ancien président Barack Obama en avait adopté une similaire en 2011 à l’intention des réfugiés irakiens.
Le président Obama a banni les réfugiés irakiens pendant six mois, a-t-elle affirmé, après que deux d’entre eux se soient radicalisés aux États-Unis et aient orchestré le «massacre» de Bowling Green.
Personne n’a jamais entendu parler de cette affaire, a ajouté Mme Conway, parce que la presse a choisi de la passer sous silence.
Kellyanne Conway est maintenant la risée des internautes sur les réseaux sociaux.
Même si l’outrance de ce bidonnage n’a rien de drôle, bon nombre d’internautes n’ont pas pu s’empêcher d’en rire, à coup de faux témoignages absurdes («J’étais étudiant à la Bowling Green State University quand le massacre de Bowling Green n’a pas eu lieu. Je ne serai jamais capable de ne pas oublier ce que je n’ai pas vu ce jour là», lit-on sur Twitter) ou de publications imagées, telle cette peinture de l’anglais Beryl Cook, présentée comme une «représentation particulièrement émouvante» du massacre de Bowling Green.
La presse canadienne
Lors d’une entrevue accordée au réseau MSNBC et diffusée jeudi, Kellyanne Conway défend la mesure en rappelant que l’ancien président Barack Obama en avait adopté une similaire en 2011 à l’intention des réfugiés irakiens.
Le président Obama a banni les réfugiés irakiens pendant six mois, a-t-elle affirmé, après que deux d’entre eux se soient radicalisés aux États-Unis et aient orchestré le «massacre» de Bowling Green.
Personne n’a jamais entendu parler de cette affaire, a ajouté Mme Conway, parce que la presse a choisi de la passer sous silence.
Kellyanne Conway est maintenant la risée des internautes sur les réseaux sociaux.
Même si l’outrance de ce bidonnage n’a rien de drôle, bon nombre d’internautes n’ont pas pu s’empêcher d’en rire, à coup de faux témoignages absurdes («J’étais étudiant à la Bowling Green State University quand le massacre de Bowling Green n’a pas eu lieu. Je ne serai jamais capable de ne pas oublier ce que je n’ai pas vu ce jour là», lit-on sur Twitter) ou de publications imagées, telle cette peinture de l’anglais Beryl Cook, présentée comme une «représentation particulièrement émouvante» du massacre de Bowling Green.
La presse canadienne
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