Invention/Une Algérienne a trouvé la molécule capable d’absorber les toxines générées par les marées noires

[zek]

Elle s’appelle Djamila Youcef-Khodja. C’est une chercheuse algérienne qui travaille avec le très prestigieux Massachussetts institute of technology (MIT-USA). Et cette Algérienne, en association avec deux autres chercheurs américains, a trouvé une molécule capable d’absorber les toxines générées par les marées noires présentes dans les fonds marins. La chercheuse algérienne et son équipe viennent d’être primés dans le cadre Global Entrepreneurship Bootcamp, l’un des programmes de recherche les plus rigoureux dans le monde. Il récompense l’esprit d’entreprise dans le monde et ne cesse d’augmenter en taille et en sélectivité chaque année.

Diplômée de l’Ecole de Commerce de Paris (ESCP-Europe), de la Société Américaine d’Hypnose Clinique (USA), de la Société Internationale d’Hypnose (ISH), de la Fondation Milton Erickson (USA), ainsi que de l’Association de Psychologie Intégrative (USA), Djamila a été formée et supervisée par le Docteur Jeffrey Zeig, disciple et directeur de la Fondation Milton Eriskon (USA). Djamila possède également un master en sociologie et un master en management interculturel (Paris, VIII).

Grâce à la trouvaille de Djamila et de son équipe, il est, désormais, possible de nettoyer en surface les fonds marins. Cette nouvelle molécule permet de neutraliser les toxines qui détruisent la faune aquatique.

Algérie-Focus

[Pihman]

Ca c'est du travail
cest pas comme zaibet

Bon courage a la dame

[Cell]

Ehhh oui c'est ça la force des amerloques , ils aspirent les talents du monde entiers et font de leur découvertes la grandeur des usa .......


En Algérie cette brillante dame aurait eu le choix entre mettre un voile et faire une armée de mômes ..... voire les deux .

[zek]

Ehhh oui c'est ça la force des amerloques , ils aspirent les talents du monde entiers et font de leur découvertes la grandeur des usa .....

Si demain les États-Unis décident de donner une carte verte à l'intelligentsia et aux scientifiques des pays autoritaires, c'est le retour assuré de l'âge de pierre sans avoir tirer une seule balle.

[Bachi]

Diplômée de l’Ecole de Commerce de Paris (ESCP-Europe), de la Société Américaine d’Hypnose Clinique (USA), de la Société Internationale d’Hypnose (ISH), de la Fondation Milton Erickson (USA), ainsi que de l’Association de Psychologie Intégrative (USA), Djamila a été formée et supervisée par le Docteur Jeffrey Zeig, disciple et directeur de la Fondation Milton Eriskon (USA). Djamila possède également un master en sociologie et un master en management interculturel (Paris, VIII).

Commerce, psychologie, sociologie...je ne vois guère de chimie ou de biochimie là dedans.

Comment on peut trouver des molécules quand on a fait du commerce et de la psychosociologie ?

[Pomaria]

Bachi

Comment on peut trouver des molécules quand on on a fait du commerce et de la psychosociologie ?

très bonne question, en effet !

il y a quelques choses qui nous échappe et que l'article omet de dire...?!

[El_Hour1]

Djamila nous a reçu dans son cabinet à Bourges pour nous expliquer son aventure mais aussi sa vie aux Etats-Unis et notamment dans les grandes universités telle la prestigieuse Harvard.

LPB : Votre parcours ?

Djamila : Je suis franco-algérienne et j’ai étudié les sciences humaines puis bifurqué vers la finance où j’ai travaillé en banque d’affaires. Après ces années passées dans un milieu dont je ne sentais pas la grande utilité, je me suis reconvertie dans la Thérapie Brève aux USA, l’hypnose et la PNL à la Fondation Milton Erickson. Cette expérience américaine a bouleversé ma vie positivement car je me suis sentie comprise, j’ai côtoyé des gens aussi brillants que modestes qui m’ont beaucoup inspiré. L’esprit Anglo-Saxon me convenait particulièrement, le pragmatisme notamment, cette soif d’avancer et de trouver des solutions tout de suite m’ont séduit par rapport à cette approche européenne trop théorique.

LPB : Vous vous engagez dans cette nouvelle vie professionnelle.

Djamila : Oui et la question qui s’est vite posée était de savoir si je m’implantais aux USA ou je revenais en France. Aider mon prochain à aller mieux est ma volonté et les résultats sont là depuis sept ans que je pratique. Ces techniques apprises aux USA me permettent aujourd’hui de résoudre bien des cas et ce de manière très simple. Je suis allé en Algérie où j’ai formé des praticiens. Aux USA, j’ai le souvenir de cette enseignante au charisme étonnant qui nous motivait à servir la société. Son discours était prenant et emplit d’émotion, elle qui, né orpheline avait réussi à se hisser au rang de professeur. Cela modifie votre façon d’être et de penser si bien que j’ai ouvert plusieurs établissements de santé de médecine alternative en France.

LPB : Parlez nous de ce projet de recherche de molécule.

Djamila : Lorsque j’étais à Harvard, j’ai suivi un entrainement extrêmement intensif de sept jours où nous ne dormions que 2h par nuit. Encadrés par des mentors, le but était de développer la fibre entrepreneuriale en appliquant une méthode développée par Bill Aulet directeur du MIT*. Nous étions environ une soixantaine de participants sélectionnés sur 1000 candidatures. Quarante nationalités étaient représentées et nous devions, par groupe de 4/5 personnes, travailler sur un projet à présenter devant un jury. Avec mes partenaires, nous avons découvert une molécule capable de neutraliser les toxines générées par les marées noires dans les fonds marins. Notre projet a reçu le troisième prix et bien entendu, ce fut une joie immense.

LPB : Et maintenant Djamila Youcef-Khodja ?

Djamila : Vous savez, mon passage dans les universités américaines s’est effectué de façon très simple et il est difficile de ne pas croire à une intervention divine. C’est ce qui me pousse aujourd’hui à rendre aux autres ce que le destin m’a donné.

Moment intense passé auprès d’une jeune femme un peu « touche à tout » comme elle se définit mais d’une grande sensibilité et d’une volonté féroce de réussir. Sa thérapie fait bon ménage avec sa façon d’être et de redonner aux autres ce que l’on a reçu ; n’est ce pas là la vraie réponse à certains de nos maux existentiels.

Jacques feuillet

[Bachi]

Lorsque j’étais à Harvard, j’ai suivi un entrainement extrêmement intensif de sept jours où nous ne dormions que 2h par nuit. Encadrés par des mentors, le but était de développer la fibre entrepreneuriale en appliquant une méthode développée par Bill Aulet directeur du MIT*. Nous étions environ une soixantaine de participants sélectionnés sur 1000 candidatures. Quarante nationalités étaient représentées et nous devions, par groupe de 4/5 personnes, travailler sur un projet à présenter devant un jury. Avec mes partenaires, nous avons découvert une molécule capable de neutraliser les toxines générées par les marées noires dans les fonds marins. Notre projet a reçu le troisième prix et bien entendu, ce fut une joie immense.

Je m'en doutais bien, Algérie focus racontait des foutaises.

[Aloha]

.......................

[infinite1]

Quarante nationalités étaient représentées et nous devions, par groupe de 4/5 personnes, travailler sur un projet à présenter devant un jury. Avec mes partenaires, nous avons découvert une molécule capable de neutraliser les toxines générées par les marées noires dans les fonds marins. Notre projet a reçu le troisième prix et bien entendu, ce fut une joie immense.

C'est donc un travail collectif , mais bon , elle n'a pas démérité quand même ! ...

[zek]

Le Projet Manhattan qui produisit la première bombe atomique durant la Seconde Guerre mondiale fut dirigé par le major-général Leslie Richard Groves du corps des ingénieurs de l'armée des États-Unis qui est une institution de génie civil et de logistique militaire.

Et POURTANT, c'est pas un savant atomiste où un scientifique.

Dans les sociétés développés et principalement chez les Anglo-saxons, ce qui compte, c'est votre capacité à être leader, le background n'a aucune importance.

[Bachi]

Franchement, tu n'y es vraiment pas.

Lis le titre avant débiter quoi que ce soit...

et puis, c'est un truc de brainstorming d'une semaine, il ne s'agit ni de recherche ni d'invention ni de trouvaille, ni sidi zekri. Tout ca, c'est de la vraie foutaise de marketing et de vendeurs de vent.

[hakimcasa]

Le Projet Manhattan qui produisit la première bombe atomique durant la Seconde Guerre mondiale fut dirigé par le major-général Leslie Richard Groves du corps des ingénieurs de l'armée des États-Unis qui est une institution de génie civil et de logistique militaire.

Oui mais le directeur scientifique du projet Manhattan s'appelait Robert Oppenheimer, un physicien atomiste.

[Pihman]

Mince

Zaibet bis