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Elle n'est pas ma subordonnée mais elle est ma collaboratrice

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  • Elle n'est pas ma subordonnée mais elle est ma collaboratrice

    Hello,

    J'ai entendu François Fion commenter un extrait du reportage du magazine Sept à Huit (Je crois) dans lequel sa femme a été interviewée et où elle a affirmé qu'elle n'était pas l'assistante de son mari député et qu'elle ne travaillait pas pour son mari. Lui affirme que la phrase a été sortie de son contexte et qu'elle n'était pas son assistante car elle n'était pas sa subordonnée mais sa collaboratrice...
    Comme disent les jeunes chez nous, "habess li rassi".

    Et vous, pensez-vous que cette phrase est sensée?

  • #2
    Pénélope est sa collaboratrice si son François de mari le dit. Par contre, elle est sa subordonnée, notamment au sens du droit français, qu'il le dise ou ne le dise pas ou l'admette ou ne l'admette pas. En effet Pénélope exécute des travaux commandés par François et en contrepartie ce dernier lui verse un salaire. Il y a bien un lien de subordination même s'il peut être sensiblement atténué et masqué par leur relation de mari et femme.
    Dernière modification par Slimane53, 06 février 2017, 21h25.

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    • #3
      C'est un mythomane qui prend les gens pour des cons.

      Le gars s'enfonce dans le mensonge, sans aucune honte c'est lamentable.

      Il ose affirmer en conf de presse que la journaliste qui a fait l'interview de Penelope était choquée du reportage alors que c'est pas vrai elle dément sur son compte twitter...Mais quel crevure!

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      • #4
        Slimane et Wendy,

        Vous me rassurez...A un moment, j'ai eu un doute et j'ai rouvert mes cours de droit.

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        • #5
          pensez-vous que cette phrase est sensée?
          D'après ce que j'ai compris, mais je peux me tromper, Fillon voulait dire que Pénélope n'était pas sa subordonnée politique, ce n'était pas une "vice-députée" en quelque sorte, d'autant que la concernée s'est toujours défendue de revendiquer une quelconque prétention politique. Mais du point de vue juridique, il est clair qu'elle était sa subordonnée, comme le stipule le contrat de travail du collaborateur parlementaire. Je pense qu'il voulait apporter cette nuance entre une collaboratrice "technique" et une subordonnée "politique".

          Maintenant, est-ce qu'il a utilisé les bons mots, les bonnes formules ? Moi je dis qu'il n'en est pas à une imprécision près.
          Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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          • #6
            Si ça se trouve ,el makhlouka n'etait au courant de rien du tout , comme l'ont stipulé certains journalistes.
            plus tu pédales moins fort , moins tu vas plus vite !

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            • #7
              Comme disent les jeunes chez nous, "habess li rassi".

              Et vous, pensez-vous que cette phrase est sensée?
              Comme on dit chez nous "Lakdab I3nani"
              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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              • #8
                En arabe, Farid Fillon aurait dit:

                Bénéloppe takhdem (kehddama)3endi
                Bénéloppe takhdem (kheddama) ma3aya
                Bénéloppe t3awen fiya beddarahem?

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                • #9
                  Me suis trompé

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                  • #10
                    Boubibtis
                    En arabe, Farid Fillon aurait dit:

                    Bénéloppe takhdem (kehddama)3endi
                    Bénéloppe takhdem (kheddama) ma3aya
                    Bénéloppe t3awen fiya beddarahem?
                    hahaha...

                    le vrai Farid aurait dit : wach bénélope tekhdem aand nanak ?
                    Formaté Algérien

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