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8e sommet de l'Union africaine

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  • 8e sommet de l'Union africaine

    Rien de noueveau !!! comme d' habitude on parle de la guerre et des conflict qui dechirent le continent sans cependant les resoudre et on se plaint de manque de moyen !!!

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    Ouverture du 8e sommet de l'Union africaine à Addis Abeba
    ETHIOPIE - 29 janvier 2007 - AFP

    Le 8e sommet des chefs d'Etat de l'Union africaine (UA) s'est ouvert lundi à Addis Abeba, où le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon doit prendre la parole dans la journée.

    La guerre au Darfour (ouest du Soudan) et en Somalie, ainsi que la question sensible de la présidence de l'UA, réclamée par le Soudan, devraient monopoliser les débats du sommet qui se tient jusqu'à mardi.

    A l'ouverture du sommet, le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Alpha Oumar Konaré, a appelé le Soudan à "arrêter les bombardements" au Darfour, région de l'ouest du Soudan en guerre civile depuis 2003.


    A propos de la Somalie, M. Konaré a prévenu que ce pays serait plongé dans le "chaos" si les troupes africaines n'y sont "pas déployées rapidement".

    "Je me réjouis que les troupes éthiopiennes aient commencé à partir de la Somalie. Mais si les troupes africaines ne sont pas mises en place rapidement, ce sera le chaos", a lancé M. Konaré dans son discours d'ouverture du sommet.

    "J'en appelle à une mobilisation des troupes africaines. Mais nous avons besoin de 8.000 soldats. Aujourd'hui, à peine 4.000" sont prêts à être déployés, a-t-il expliqué, précisant que le Nigeria, l'Ouganda, le Malawi et le Ghana avaient accepté d'envoyer des troupes en Somalie.

    "Nous avons besoin de moyens", a-t-il ajouté.

    Plus d'une trentaine de chefs d'Etat et de gouvernement africains sur un total de 53 pays-membres de l'UA sont attendus pour cette réunion bi-annuelle.

    En marge du sommet, M. Ban, qui effectue sa première tournée depuis sa prise de fonction le 1er janvier, doit rencontrer pour des discussions bilatérales le président soudanais Omar el-Béchir, toujours opposé au déploiement de Casques bleus au Darfour, en guerre civile depuis 2003.

    Le secrétaire général de l'ONU veut convaincre M. el-Béchir d'accepter le remplacement de la mission de l'UA au Darfour (Amis), sous-équipée et sous-financée, par une force ONU-UA.

    Jusqu'à présent, les autorités soudanaises ont simplement accepté que l'ONU apporte une aide technique et matérielle à l'Amis, y compris avec des conseillers au Darfour.

    M. Ban ne devrait pas "venir avec de nouvelles idées sur le sujet", a prévenu dimanche soir à Addis Abeba un proche du président soudanais, Magzoub Khalifa.

    Jeuneafrique

  • #2
    L'algerie n'a pas appelé a liberé le peuple sahraoui? ca m'etonne.mais je crois qu'elle va le faire comme d'hab.heuresement que parmis tous les pays du monde il reste en reste un qui se souci encore du droit des peuples.

    Commentaire


    • #3
      Casawi,puisque ,tu entend ouvrir un autre debat,
      pour le moment le plus important et qui urge pour les derigeants africains ,et de mettre fin à la guerre en somalie et au darfour,puis celui de de la présidence de l'UA,
      Pour la somalie ,une entente a etè faite de dèployer 8.000 militaires sur place,l'Algerie a decidèe de prendre en charge le transport des militaires et engins pour la somalie.
      Après,en attend le fameux plan marocain sur le sahara,si sa donne un ecout favorable de la part du front polisario,la on ne parle plus,si C le contraire,l"Algerie est là pour soutenir le polisario,comme la france soutien le maroc,donc si le sahara ne concerne pas l'Algerie ,elle ne concerne non plus les français.


      CM. Konaré lui a rendu hommage

      L'Algérie se chargera du transport des forces de paix à déployer en Somalie

      Mardi 30 Janvier 2007

      De notre envoyé spécial à Addis-Abeba Azzedine Chabane

      La nouvelle est tombée en début d’après-midi, le Ghana a été officiellement désigné à la présidence de l’Union africaine, dans la perspective de la tenue du prochain sommet a Accra, en juillet prochain. C’est donc le président John Agyekum Kufuor qui succède a son homologue congolais, Denis Sassou-Nguesso dont la gestion avait été quelque peu jugée insuffisante par les observateurs de la scène africaine, eu égard aux nombreux défis que connaît le continent. Le président soudanais, Omar El Bachir, a estimé, dans une courte déclaration, que cette décision consacre les efforts méritoires du président ghanéen au cours des cinq dernières années afin d’assurer les conditions de paix et de développement dont a besoin l’Afrique. Il a toutefois réitéré son exigence de voir la présidence de l’UA revenir à l’Afrique de l’Est en 2008, l’Afrique de l’Ouest ayant une fois de plus la part du lion.
      Héritière de l’OUA, fondée en 1963 et dont la Charte ne fut adoptée qu’en 1979 par les 53 membres de l’Organisation, l’UA est créée au sommet de Syrte (Libye), en 1979, et son acte constitutif a été officialisé au sommet de Lomé, en juillet 2000. Formellement, elle est née en juillet 2002, au sommet de Durban, sous la présidence sud-africaine, et ses premières institutions sont devenues opérationnelles depuis le sommet de Maputo, au Mozambique, en juillet 2003. L’objectif majeur de l’UA est de concrétiser l’intégration africaine dont le Nepad est un instrument et une démarche résolument novateurs, en ce qu’ils induisent l’adoption d’une Charte de la démocratie et le respect des critères de la bonne gouvernance. Les travaux du 8ème sommet d’Addis-Abeba, par leur dimension ardue et dense, ont démontré que l’Afrique est réellement dans la bonne voie. En effet, loin d’aboutir aux crises annoncées par certains, la question de la présidence de l’UA a été tranchée dans la sagesse et la sérénité, au cours d’une importante réunion à laquelle participaient le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le président Obasanjo, le président Mbeki, le président Konaré et d’autres chefs d’Etat, et ni le Soudan, ni le Tchad, ni toute autre partie, d’ailleurs, n’y ont trouvé à redire.
      Il est vrai que les différents intervenants en plénière, du président de la commission, Alpha Omar Konaré, au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, ont mis l’accent sur l’urgence d’une prise en charge des problèmes du Darfour, de la Somalie, de la Côte d’Ivoire et des autres situations de crise pendantes. A cet égard, le président Abdelaziz Bouteflika, selon Omar Konaré, a promis l’aide de l’Algérie pour le transport d’une force africaine d’interposition au Darfour, avec la mobilisation de douze avions militaires gros porteurs, parmi lesquels 7 HC130. Le secrétaire général a, quant à lui, plaidé fortement pour une force conjointe afro-onusienne au Darfour, d’autant qu’il s’est rendu au Zaïre et au Congo, avant de gagner Addis-Abeba. Auparavant, le président Konaré avait appelé, avec beaucoup d’émotion, à la solidarité africaine pour rassembler les 8 000 soldats indispensables à la force de l’UA. Seuls 4 000 sont pour le moment proposés par l’Ouganda, le Nigeria, le Malawi et le Ghana. A cela s’ajoute la problématique des moyens financiers et matériels pour lesquels l’UA compte sur la solidarité internationale, il est vrai symbolisée par la présence de Amr Moussa (Ligue arabe), Javier Solana et Louis Michel (UE), du président du Conseil italien, Romano Prodi, du président palestinien Mahmoud Abbas, ou du Premier ministre turc, Erdogan, pour ne citer que ces derniers. Le sommet d’Addis-Abeba est donc bien entré dans sa phase ordinaire qui a trait au débat sur les questions inscrites à l’ordre du jour, à savoir les sciences, la technologie et la recherche scientifique dans le développement, ainsi que les changements climatiques en Afrique. Les participants auront néanmoins à l’esprit le vibrant appel du président Konaré, dans son discours inaugural, pour faire du «devoir de mémoire» l’affaire «de toute l’Afrique, et non pas seulement de l’Algérie», car, a-t-il souligné, il y a un devoir de mémoire pour les pays et pour les peuples africains face au colonialisme, à l’esclavage, à l’apartheid et ce devoir doit constituer «une étape importante du nouveau partenariat» pour le développement.

      A. C
      la geurre c'est la paix,la démocratie c'est la dictature,l'ignorance c'est la liberté.

      Commentaire

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