6Medias, publié le mercredi 08 février 2017 à 20h21
Alors que les Etats-Unis soupçonnent fortement la Russie d'avoir joué un rôle important dans l'élection de Donald Trump, c'est au tour des services de renseignements français de craindre pour la sécurité de l'élection présidentielle.
La DGSE serait en effet en alerte maximale, c'est le Canard enchaîné qui le révèle cette semaine. "Le niveau d'alerte est tel qu'un prochain conseil de défense à l'Elysée est programmé à ce sujet", rapporte l'hebdomadaire.
En octobre dernier, tous les partis avaient été convoqués afin de participer à un séminaire de sensibilisation à la question de la sécurité numérique. Tous les partis étaient présents, sauf le Front national souligne le Canard enchaîné.
Une absence qui met la puce à l'oreille, d'autant que les services de renseignements craignent que la Russie mène une cyberattaque en faveur du parti de Marine Le Pen, afin de l'aider à accéder à la présidence. La DGSE considère qu'il est possible que les services secrets russes soient en train de préparer une campagne qui inonde les réseaux sociaux de messages en faveur du FN. En outre, les services russes pourraient également révéler des données confidentielles sur les autres candidats. Le premier candidat ciblé par ces publications pourrait être Emmanuel Macron, qui semble être déjà dans le viseur de Wikileaks.
Alors que les Etats-Unis soupçonnent fortement la Russie d'avoir joué un rôle important dans l'élection de Donald Trump, c'est au tour des services de renseignements français de craindre pour la sécurité de l'élection présidentielle.
La DGSE serait en effet en alerte maximale, c'est le Canard enchaîné qui le révèle cette semaine. "Le niveau d'alerte est tel qu'un prochain conseil de défense à l'Elysée est programmé à ce sujet", rapporte l'hebdomadaire.
En octobre dernier, tous les partis avaient été convoqués afin de participer à un séminaire de sensibilisation à la question de la sécurité numérique. Tous les partis étaient présents, sauf le Front national souligne le Canard enchaîné.
Une absence qui met la puce à l'oreille, d'autant que les services de renseignements craignent que la Russie mène une cyberattaque en faveur du parti de Marine Le Pen, afin de l'aider à accéder à la présidence. La DGSE considère qu'il est possible que les services secrets russes soient en train de préparer une campagne qui inonde les réseaux sociaux de messages en faveur du FN. En outre, les services russes pourraient également révéler des données confidentielles sur les autres candidats. Le premier candidat ciblé par ces publications pourrait être Emmanuel Macron, qui semble être déjà dans le viseur de Wikileaks.
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