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États-Unis. Le doute s’empare de la Maison-Blanche

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  • États-Unis. Le doute s’empare de la Maison-Blanche

    Les deux premières semaines du mandat présidentiel de Donald Trump ont provoqué de nombreuses contestations, au point de faire douter jusque dans les couloirs de la Maison-Blanche.

    C’est un début de mandat présidentiel sous tension que décrit le New York Times, fait d’amateurisme et de divisions au sein d’une nouvelle administration qui peine à prendre la mesure du pouvoir qu’elle incarne. La réalité d’un président chancelant et d’un homme seul, qui voit ses repères bousculés depuis qu’il incarne la plus haute fonction du pays.

    “Sa femme et son jeune fils Barron sont restés à New York”, rappelle le journal, et Donald Trump “se retrouve presque toujours face à lui-même”. Lorsque le président ne s’adonne pas à ses activités médiatiques favorites, il n’est pas rare de le voir “explorer les alentours méconnus de sa nouvelle maison”, précise le New York Times.

    Tensions internes

    “Ils ne savent pas comment allumer les lumières de la salle de réunion”, se moque le quotidien américain, traduisant l’amateurisme de personnes trop vite installées à des postes de gouvernance aussi importants. Et pour cause, l’entourage de Trump est “une petite équipe composée d’une demi-douzaine de membres n’ayant aucune familiarité avec le travail de la Maison-Blanche”.

    Si les deux premières semaines de la présidence Trump ont été marquées par une succession de décrets, “la vitesse ne garantit pas toujours le succès”, rappelle le New York Times, qui souligne la forte contestation populaire et les tensions qui en découlent au sein de la nouvelle administration.

    “Un président déterminé à réaliser de grandes œuvres mais de plus en plus frustré par les efforts de sa petite équipe à contenir les réactions hostiles”, écrit le quotidien, avant de préciser :

    Les tensions au sein des équipes sont fréquentes dans les premiers jours de toute administration, mais elles ont rarement été si visibles et si prononcées aussi tôt.”
    “Cloîtré dans la Maison-Blanche, il a désormais un accès limité à ses fans et à ses supporters – une importante source de confirmation” de ses opinions et de confiance en lui, dont il est désormais privé, selon le journal new-yorkais.

    Adaptation présidentielle

    Autant d’accrocs qui conduisent à repenser la stratégie gouvernementale et à redéfinir les rôles au sein d’une administration remise en question de l’intérieur. Les rôles de principaux conseillers du président – Steve Bannon, Reince Priebus et Kellyanne Conway – vont donc subir des ajustements.

    “Tandis que le monde se penche sur les effets que Trump a sur la fonction présidentielle, lui s’adapte à l’influence que la présidence exerce sur sa personne”, pense le New York Times.

    le Courrier iteratioal

  • #2
    quoi de mieux qu'un attentat pour souder tous ca et rebondir .............
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      exact cell ! un attentat intentionnel de leurs part

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      • #4
        un attentat ne changera rien, le problème actuel est que l'équipe en place n'a pas les ressors techniques le bagage et les codes qu'il faut pour gérer cette grosse machine américaine .
        ce ne sont ni des politiciens chevronnés ni des technocrates ,mais des amateurs et idéologues qui se retrouvent par un hasard de l'histoire aux fonctions qui régissent non pas seulement leur pays ,mais la planète entière.
        Dernière modification par xenon, 09 février 2017, 12h46.
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #5
          un attentat ne changera rien, le problème actuel est que l'équipe en place n'a pas les ressors techniques le bagage et les codes qu'il faut pour gérer cette grosse machine américaine .
          ce n'est pas trump et son equipe de milliardaires et ex kkk QUI m'inquiètent MAIS CEUX QUI SERAIENT, dans les coulisses, Tentés de les utiliser pour chambouler encore une fois les équilibres mondiaux .......

          est ce qu'il y a quelque chose de pire qu'un Donald Trump , avec une partie de l'amérique qui le critique et s'oppose à lui ??? un Donald Trump avec cette meme partie de l'Amérique muselée et réduite au silence avec un solgan du genre ' vous êtes avec nous ou avec les terroristes ' ???

          ce canard boiteux a aujourd'hui besoin d'une tragédie pour se présenter comme les protecteur de son peuple , et mon petit doigt me dit qu'il vas bientôt l'avoir son évènement exceptionnel .
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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          • #6
            Effectivement ,c'est une vielle stratégie que la CIA perfectionne pour redonner du pouvoir sans contestation aux décideurs ,un attentat terroriste fera bien l'affaire

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            • #7
              le mauvais coté des coulisses n'a même pas besoin d’agir, à la présidence il y a plus mauvais, une demande suffirais pour une autorisation quelconque. Ce qu'ils peuvent viser c'est détruire la relation qu'il a avec poutine, la il peuvent agir, mais c'est d'ordre de l'intime.

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              • #8
                Même avec un attentat, les gens intelligents aux USA maintienderaient la pression.

                La seule chose que peut faire Trump est d'aller en guerre et vite

                Vue les réaction des policiers et douaniers aux frontières, USA est devenu un pays fachiste.

                La liste des 7 pays n'était que pour cacher les visés de Trump, car tout être humain s'appelant Abdellah a droit à un interrogatoire.
                La haine aveugle

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