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Afrique du Sud. Bagarre au parlement pendant un discours de Zuma

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  • Afrique du Sud. Bagarre au parlement pendant un discours de Zuma

    Afrique du Sud. Bagarre au parlement pendant un discours de Zuma

    Modifié le 09/02/2017 à 21:43 | Publié le 09/02/2017 à 21:43
    • Jacob Zuma, le président sud-africain. | AFP




    Le discours à la Nation du président sud-africain, sous pression d’appels de l’opposition à démissionner, a donné lieu jeudi à une bagarre générale suite à l’expulsion violente de députés qui tentaient d’empêcher Jacob Zuma de s’exprimer.
    Une bagarre a éclaté au parlement sud-africain entre des députés d’un parti d’opposition et des huissiers qui les expulsaient de l’hémicycle pour avoir interrompu le discours sur l’état de la nation du chef de l’État, Jacob Zuma.
    La popularité du président Zuma pâtit d’une série de scandales et il a fait face à une fronde au sein de son parti, l’ANC (Congrès national africain), en novembre après publication d’un rapport sur une affaire de trafic d’influence. Zuma rejette les accusations le visant.
    Les échauffourées se sont déplacées ensuite à l’extérieur de l’hémicycle lorsque les députés de l’EFF (Combattants pour la liberté économique) ont continué de bousculer les huissiers qui les expulsaient sur ordre du président de la chambre.
    400 soldats déployés

    À l’extérieur du bâtiment, les forces de police ont tiré des grenades assourdissantes pour disperser les partisans de l’EFF et de l’ANC.
    Les députés du principal parti de l’opposition ont quitté l’hémicycle, avec à leur tête le chef de file de l’oppositionMmusi Maimane, en estimant que Zuma n’était pas qualifié pour conserver sa fonction. Ils se sont élevés en outre contre la présence de soldats au parlement.
    Jacob Zuma avait autorisé plus de 400 soldats à renforcer la sécurité du bâtiment à l’occasion de son discours annuel sur l’état de la nation.


    ouest-france.fr

  • #2
    Zuma devient de plus en plus un problème pour l'ANC en plus avec ses démêlés avec la justice pour des soupçons pour corruption

    Commentaire


    • #3
      Afrique du Sud: affrontements au Parlement lors du discours à la nation de Zuma

      Des violences ont éclaté au Parlement jeudi soir, lors du discours à la nation du président Jacob Zuma. Un discours très attendu, car jamais le chef de l'Etat n'a été autant contesté par l'opposition, mais également au sein de son propre parti. L'année 2016 a été particulièrement difficile pour Jacob Zuma, embourbé dans des scandales.

      Pendant plus d'1h30, le président Zuma a tenté de prendre la parole. Et pendant 1h30, l'opposition l'en a empêché. Les députés du parti radical de Julius Malema refusent de reconnaitre le chef de l'Etat. Ils estiment qu'il a violé la Constitution et qu'il n'a pas sa place au Parlement.

      Le ton est monté. Il y a eu des échanges de coups. Et les 25 députés des Combattants pour la liberté économique (EFF) ont été violement expulsés de l'hémicycle. Après quoi, tous les députés de l'opposition ont quitté la Chambre.

      Le président Zuma a ensuite pu prononcer son discours à la nation. Une intervention très centrée sur l'économie et le besoin de transformation économique et sociale radicale. Alors que le chômage est à plus de 26%.

      L'opposition, quant à elle, a tenu une conférence de presse à l'extérieur du Parlement pour dénoncer cette violence. Et notamment le déploiement de plus de 400 soldats de l'armée autours du bâtiment.

      « Nous sommes prêts à quitter ce Parlement dans un cercueil »

      « Nous n'allons pas accepter un Parlement où la kleptomanie est mise sur un pied d'estale et est protégée par ces députés, s'est insurgé Julius Malema, leader des EFF. Cela nous est égal si ces députés ont la majorité ou non. S'ils ont tort, ils ont tort. (...) Nous sommes prêts à quitter ce Parlement dans un cercueil s'il le faut, mais nous nous battrons pour la vérité, nous ne nous laisserons pas intimider par la police, par des soldats, par des criminels. »

      Même son de cloche du côté de l'autre figure de l'opposition sud-africaine, Mmusi Maimane, chef de l'Alliance démocratique. « Vous avez un président qui a violé la Constitution, une présidente de l'Assemblée qui dit que la Constitution n'a aucune importance. Il a autorisé que l'armée pénètre dans l'enceinte du Parlement, que des gaz lacrymogènes soient utilisés dans le bâtiment, mettant en danger la vie de citoyens sud-africain. Si nous n'avons pas de Constitution, nous n'avons de pays à défendre. Et dès lors, ça n'a aucun sens pour nous de rester dans l'hémicycle et d'accepter l'action d'un gouvernement ANC qui cautionne la corruption, qui viole la Constitution. J'irai au tribunal demain pour déposer une plainte. »

      RFI

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      • #4
        Ce n'est pas la première fois que le parti d’extrême gauche le ''Economic Freedom Fighters'' s'en prend à Zuma. Il est juste l'alter-ego de l'ancien système raciste.
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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        • #5
          la video parle d elle meme

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          • #6
            Envoyé par Okba
            Ce n'est pas la première fois que le parti d’extrême gauche le ''Economic Freedom Fighters'' s'en prend à Zuma. Il est juste l'alter-ego de l'ancien système raciste.
            Aucune objectivité.

            On défend le pourri et le corrompu Zuma comme on défend le sénile et le despote Mugabe rien que parce que ces deux déchets de l'humanité ont épousé les thèses d'une bande tout aussi mafieuse qui a fait de l'hostilité au Maroc, son fonds de commerce.

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            • #7
              Aucune objectivité
              Je ne pense pas que vous avez une idée sur Julius Malema un populiste qui dans sa ligne politique il n'est pas loin de Mussolini.
              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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              • #8
                Je ne pense pas que vous avez une idée sur Julius Malema un populiste qui dans sa ligne politique il n'est pas loin de Mussolini
                C'est ps grave, il lui suffira d'une petite declaration sur le SO pour gagner votre grace. Chiyate un jour, chiyate toujours

                Commentaire


                • #9
                  Envoyé par Hakimcasa
                  On défend le pourri et le corrompu Zuma comme on défend le sénile et le despote Mugabe rien que parce que ces deux déchets de l'humanité ont épousé les thèses d'une bande tout aussi mafieuse qui a fait de l'hostilité au Maroc, son fonds de commerce.
                  Peut-être ont-ils tort dans leurs pays respectifs, à l'intérieur de leurs frontières, mais ils ont tellement raison au sujet du zizaneux Maroc officiel.

                  Les ''combattants de la liberté économique'' c'est quoi ça ? l'accoutrement rose fushia ? ils roulent pour qui ?
                  Une chose est sure, la liberté économique ne rime pas avec la philosophie de l'extrême gauche qui se veut plus étatique et centriste.
                  وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                  • #10
                    @sch

                    Chiyate un jour, chiyate toujours
                    Pourquoi vous m'insultez ?
                    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                    • #11
                      En Ukraine, ce genre de pugilat entre députés est fréquent et personne ne relève ces incidents.

                      Donc, ce n'est pas gratuit que les employés de Mustapha El Khalfi en fasse état.

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