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Elections présidentielle française de 2017 aura lieu les dimanches 23 avril et 7 mai

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  • Elections présidentielle française de 2017 aura lieu les dimanches 23 avril et 7 mai

    L' élection présidentielle française de 2017 sera serré mais personnellement je pense soit Benoît Hamon avec le soutien de Jean-Luc Mélenchon sera élu ou Emmanuel Macron.

    J'ai ajouté 5 documentaires concernant
    Benoît Hamon, Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon,François Fillon et Marine Le Pen
    La liste des prétendants a l'élection présidentielle française de 2017 sont :

    1. François Fillon (Les Républicains)
    2. Benoît Hamon (Parti Socialiste)
    3. Marine Le Pen (Front national)
    4. Emmanuel Macron
    5. Jean-Luc Mélenchon (candidat hors parti)
    6. François Bayrou (MoDem )
    7. Rama Yada
    8. Jacques Cheminade (parti Solidarité et progrès)
    9. Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France)
    10. Nathalie Arthaud (Lutte Ouvrière)
    11. Philippe Poutou (Nouveau Parti anticapitaliste).

    Benoît Hamon - C politique - 22/05/2016

    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

  • #2
    Emmanuel Macron la stratégie du météore

    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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    • #3
      Jean Luc Mélenchon l'homme qui avancait a contrecourant

      Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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      • #4
        Marine le Pen La Vérité sur le Front National et Marine LEPEN!! Reportage complet

        Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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        • #5
          L'émission politique François Fillon & Reportage 2016

          Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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          • #6
            La liste des prétendants a l'élection présidentielle française de 2017 sont :

            1. François Fillon (Les Républicains)
            2. Benoît Hamon (Parti Socialiste)
            3. Marine Le Pen (Front national)
            4. Emmanuel Macron
            5. Jean-Luc Mélenchon (candidat hors parti)
            6. François Bayrou (MoDem )
            7. Rama Yada
            8. Jacques Cheminade (parti Solidarité et progrès)
            9. Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France)
            10. Nathalie Arthaud (Lutte Ouvrière)
            11. Philippe Poutou (Nouveau Parti anticapitaliste).
            Je ne vois pas le nom du candidat d'EELV qui, même s'il ne pèse pas lourd dans la course, il pèse plus lourd qu'une Rama Yade, un Cheminade ou un Poutou que vous avez pourtant cité alors qu'ils peinent à recueillir les 500 parrainages nécessaires.

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            • #7
              Effectivement Yannick Jadot etait dans ma propre liste mais tout bêtement je ne l'ai pas ajouté.
              J’espère qu'il soutiendra Benoît Hamon au deuxième tour.
              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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              • #8
                Dans le programme de Hamon, des promesses oubliées de Hollande

                Si certains élus au PS réclament un «droit de retrait», estimant que le projet du candidat socialiste va à l'encontre de l'action gouvernementale qu'ils ont soutenue, le candidat reprend à son compte de nombreuses promesses faites par François Hollande pendant sa campagne.

                Avis aux «réformateurs». La semaine dernière, les députés Gilles Savary et Christophe Caresche, qui se présentent sous cette bannière classée à l’aile droite du parti, invoquaient le droit du travail pour se dépêtrer d’une candidature qui ne leur convient pas. Ils demandaient ainsi un «droit de retrait», considérant que le «projet présidentiel» de Benoît Hamon était conçu «comme l’antithèse d’une action de mandature» qu’ils ont soutenue. Si la «césure réelle entre deux sensibilités idéologiquement distantes» est difficilement contestable au sein de la gauche, l’examen des 60 promesses de campagne de François Hollande et du projet de Benoît Hamon montre que le fossé s’est creusé une fois le mandat entamé. Car le candidat actuel reprend à son compte de nombreuses propositions enterrées par celui qui l’a précédé.
                Citoyenneté et institution

                Dans ce rayon, Benoît Hamon réitère parfois presque mot pour mot des promesses du candidat Hollande. Toujours dans la même veine : «Augmenter les pouvoirs d’initiative et de contrôle au Parlement», comme l’écrivait le vainqueur de la primaire de 2011 dans son programme. Ainsi, comme lui, l’ex-«frondeur» propose de mettre fin à l’entrée automatique des présidents de la République au Conseil Constitutionnel, où ils siègent à vie après leur passage à l’Elysée. Ils y gagnent, au passage, 6 000 euros par mois, qui s’ajoutent à leur retraite présidentielle. Pour Hollande, comme pour Laurent Fabius et Jean-Louis Debré, actuel et ex-président de l’institution, leur présence donne un aspect politique à cette institution qui veille au respect de la Constitution. François Hollande n’a, semble-t-il, pas changé d’avis sur le sujet mais préféré la prudence en abandonnant en rase campagne cette promesse qui nécessitait une révision de la Constitution, donc un vote des 3/5 des parlementaires réunis en Congrès, qu’il redoutait de ne pouvoir réunir. Ajoutons que si elle avait été adoptée, cette mesure se serait appliquée à son cas dès le printemps.


                Autre vieille habitude avec laquelle l’ex-candidat souhaitait rompre, comme Hamon : les nominations aux plus hauts postes de l’Etat (préfet, ambassadeurs, PDG d’entreprises publiques…) par le Président et le Premier ministre, sans contrôle du Parlement. François Hollande, jusqu’ici, s’est contenté d’instaurer l’examen obligatoire des déclarations d’intérêts des personnes nommées à ces fonctions. Dans son programme, Hamon promet, plus globalement, de «développer le contrôle parlementaire sur les grandes décisions présidentielles», dont les nominations.
                Il reprend aussi à son compte deux vieilles promesses socialistes que proposaient déjà François Mitterrand et François Hollande : l’introduction d’une dose de proportionnelle à l’Assemblée nationale (Mitterrand l’a fait) et le droit de vote des étrangers aux élections locales.
                Société

                Si le mot «récépissé» n’était pas écrit dans son programme, François Hollande promettait en 2011 de «créer une circulaire contre les délits de faciès lors des contrôles». C’est finalement Jean-Marc Ayrault qui l’annonçait dès juin 2012, juste après l’élection, assurant que le gouvernement préparait un texte qui permettrait aux forces de l’ordre de délivrer un récépissé. L’idée, enterrée par le gouvernement qui a vendu les caméras piéton arborées par les policiers comme une alternative, est reprise par Hamon. Il promet pour l’instant une expérimentation dans cinq départements.


                Idem pour la police de proximité, supprimée en 2003 par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur. Si elle n’était pas non plus évoquée telle quelle dans son programme, c’était tout comme: Hollande préconisait en effet la «mise en place d’une nouvelle sécurité de proximité assurée par la police dans les quartiers et par la gendarmerie dans les territoires ruraux». Hamon, lui, demande «une véritable police de proximité pour renouer la confiance avec la population».
                Le candidat du PS promet également l’extension de la PMA aux couples homosexuels et aux femmes seules. Pendant la campagne de 2012, François Hollande s’y était déclaré favorable, avant que les militants conservateurs de la «Manif pour tous» ne le poussent à y renoncer.
                Economie et travail

                En 2011, Hollande promettait, programme à l’appui, de supprimer les stock-options et d’encadrer les bonus des dirigeants d’entreprise. En 2017, bien que ces modes de rémunération soient plus taxés, ils existent encore. Hamon propose donc de mettre en œuvre cette promesse de suppression pendant son quinquennat s’il est élu. A noter que sur le sujet de la rémunération des grands patrons, il va moins loin que son prédécesseur : ce dernier entendait plafonner le salaire des patrons des entreprises publiques à vingt fois le salaire de l’employé le moins bien rémunéré et encadrer celui des dirigeants du secteur privé. Rien de tel dans le programme de l’actuel candidat, qui propose d’interdire les «rémunérations dépourvues de lien avec l’amélioration des résultats au cours de leur mandat».
                Autre chantier abandonné par François Hollande : la fusion de l’impôt sur le revenu et de la CSG. Cette contribution, qui sert à financer la protection sociale, n’est pas progressive, contrairement à l’impôt sur le revenu. Une fusion permettrait une imposition plus juste, grâce à la progressivité et un élargissement de «l’assiette fiscale», tous les contribuables s’acquittant de cette taxe. Aujourd’hui, Benoît Hamon ne propose pas autre chose quand il parle de «révolution fiscale».


                Pendant sa campagne, François Hollande avait à plusieurs reprises promis de revaloriser le Smic au-delà de l’évolution des prix s’il était élu. Il n’en a finalement jamais été ainsi. Benoît Hamon, lui, propose une hausse chiffrée, à 10%, le faisant passer de 1 140 à 1 300 euros environ.
                Environnement

                Sur le nucléaire, Hamon colle aux objectifs de François Hollande : les centrales ne devront pas produire plus de la moitié de l’électricité hexagonale en 2025. Sur les énergies renouvelables, il va un peu plus loin, proposant un quota de 50% d’énergie renouvelable dans la consommation énergétique totale dès 2025 quand François Hollande tablait sur 32% en 2030. Même volonté enfin pour les deux socialistes de mettre en place un plan de rénovation thermique pour faire des économies d’énergie.
                Union européenne

                «Relance de l’Europe par la transition énergétique» pour Hamon, «création d’une communauté européenne de l’énergie» pour Hollande. Une même orientation, que Benoît Hamon chiffre par contre à 1 000 milliards alors que candidat, Hollande n’en faisait rien. Hamon réclame également une taxe carbone aux frontières de l’Europe, comme François Hollande, qui a finalement adopté une taxe à l’échelle nationale.
                Sur l’Union européenne, Hamon propose aussi un «moratoire» sur le pacte de stabilité, avant qu’il ne soit réformé. Il souhaite en effet que les dépenses engagées dans le domaine de la défense et certains investissements ne soient pas intégrées au calcul du déficit des Etats membres. Pendant sa campagne et au début du quinquennat, Hollande, sans pour autant parler de moratoire, ne demandait pas autre chose : ne pas se cantonner à l’austérité mais relancer la croissance par l’investissement. A minima, il aura réussi à décrocher un pacte de croissance.


                Pas évoquée dans son programme mais pendant le quinquennat de François Hollande, l’idée d’un Smic européen se retrouve aussi dans le programme de Hamon. Un salaire minimum européen «s’imposerait comme la meilleure arme pour lutter contre le dumping social», estimait notamment Myriam El Khomri. Si Hamon est élu, il proposera à l’UE «un salaire minimum par pays à hauteur de 60% du salaire moyen».
                Même chose sur l’harmonisation fiscale européenne. En juin, Hollande affirmait qu’il fallait «en finir avec des distorsions de concurrence en commençant par l’impôt sur les sociétés». Hamon lui, assure qu’il se «battra» pour un rapprochement des taux de l’impôt sur les sociétés mais aussi pour la création d’un nouvel impôt européen sur les Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon) et les multinationales.
                Dans les pas du candidat Hollande

                Sur plusieurs sujets, Benoît Hamon s’inscrit dans les pas du candidat Hollande, mais va plus loin. C’est le cas sur le renforcement de la loi SRU. François Hollande a multiplié par cinq les amendes infligées aux communes qui ne respectent pas le quota de 25% de logements sociaux. Sans chiffrer, Hamon propose de les «renforcer». Même chose pour la parité en politique, où l’on frise la redite. Hollande a alourdi les sanctions financières contre les partis politiques ne la respectant pas. Hamon veut faire de même, évoquant des «amendes réellement dissuasives».
                L’actuel candidat s’inscrit également dans la continuité de son prédécesseur en proposant de garantir un droit à la scolarisation dès l’âge de 2 ans dans les réseaux d’éducation prioritaire. L’objectif du gouvernement est d’atteindre en 2017 un taux de scolarisation de 30% des enfants de 2 ans dans l’éducation prioritaire.
                Autre exemple : la présence des représentants des salariés dans les conseils d’administration et dans les comités de rémunération des grandes entreprises que François Hollande avait promis d’imposer. C’est le cas depuis 2015, dans les entreprises qui comptent au moins 1 000 salariés. Benoît Hamon promet aujourd’hui de renforcer cette représentativité selon «la règle des trois tiers : 1/3 de sièges pour les représentant·e·s des actionnaires, 1/3 des sièges pour les représentant·e·s des salarié·e·s, 1/3 de sièges pour les représentant·e·s des parties extérieures affectées».

                Source: Libération
                Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                • #9
                  merci pour se tour dhorison
                  on va assister je pense a une sacree presidentielle

                  Commentaire


                  • #10
                    Benoît Hamon inaugure son QG et présente son équipe de campagne


                    Benoît Hamon, candidat socialiste à l'élection présidentielle, a présenté samedi une partie de son équipe de campagne. Officiellement investi dimanche dernier par son camp à l'issue de la primaire organisée le PS, il a dévoilé les grandes lignes de son organigramme à son nouveau QG, dans le Xe arrondissement de Paris.

                    Plusieurs personnalités politiques étaient présentes aux premiers rangs, dont la maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, ou le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, mais Benoît Hamon a mis l'accent sur la «gouvernance citoyenne» de sa campagne. «Sept personnalités travailleront avec mes équipes», a-t-il indiqué. Thomas Piketty en conseiller.

                    Il s'agit, outre Thomas Piketty, «conseiller sur la question européenne et du traité budgétaire européen», de la sociologue Dominique Méda qui réfléchira «à la question du travail», de l'économiste Julia Cagé, en charge des questions économiques, de Salah Amokrane, conseiller justice sociale et égalité, de Nicolas Hazard, conseiller entrepreneuriat, de l'épidémiologiste Alfred Spira pour la santé et de François Gémenne pour l'environnement. «La philosophe Sandra Laugier animera ce laboratoire des idées», a précisé le candidat du PS.

                    «A côté d'eux, et ce sera peut-être l'innovation la plus forte de cette campagne, nous allons constituer un conseil citoyen», a poursuivi Benoît Hamon. Ce conseil comprendra quarante personnes, tirées au sort, à la suite d'un appel à candidatures lancé sur les réseaux sociaux dès la semaine prochaine.

                    Ces personnes «se réuniront à plusieurs reprises [...] pour à la fois évaluer et juger les propositions que nous mettrons sur la table, et aussi [...] nous proposer des projets. En clair, je veux que la campagne anticipe ce que sera la gouvernance du pays», a expliqué le député des Yvelines.

                    Pas de composition exacte du Conseil politique
                    S'il n'a pas dévoilé la composition exacte de son conseil politique, d'une trentaine de membres dont Anne Hidalgo, Jean-Christophe Cambadélis et les secrétaires d'Etat Axelle Lemaire et Mathias Fekl, Benoît Hamon a détaillé le reste de la «gouvernance politique», en se défendant d'avoir effectué un «casting» destiné à respecter les équilibres des courants au sein du PS. «Je ne leur ai pas demandé de venir avec leur étiquette Peillon, Montebourg, Valls ou Hollande», a-t-il assuré.

                    Proche de l'ancien Premier ministre Manuel Valls, le sénateur Luc Carvounas chapeautera le «conseil des parlementaires», tandis que le sénateur David Assouline, soutien de Vincent Peillon, sera en charge de la «riposte». Et parmi les sept porte-parole figurent deux soutiens de François Hollande, la sénatrice Frédérique Espagnac et le député Sébastien Denaja, ainsi que deux proches d'Arnaud Montebourg, les députés Aurélie Filippetti et Jérôme Guedj.

                    20 minutes
                    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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