Les États-Unis ont bloqué vendredi la candidature de l'ancien premier ministre palestinien Salam Fayyad au poste d'émissaire des Nations unies en Libye.
La représentante américaine au sein de l'Onu Nikki Haley a déclaré vendredi que l'administration Trump « était déçue » que le nouveau secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, ait envoyé une lettre au Conseil de sécurité annonçant son intention de nommer l'ancien premier ministre Salam Fayyad au poste d'émissaire des Nations unies en Libye, annonce The New York Times.
« Trop longtemps les Nations unies ont injustement penché en faveur de l'Autorité palestinienne au détriment de nos alliés en Israël », a déclaré la nouvelle ambassadrice américaine aux Nations unies, Nikki Haley.
Elle a noté que les États-Unis ne « reconnaissent actuellement pas l'existence d'un État palestinien et n'acceptent pas non plus le signal que cette nomination enverrait au sein des Nations unies ».
« À l'avenir, les États-Unis agiront, et ne se contenteront pas de parler, afin de soutenir leurs alliés », a conclu la représentante des États-Unis, l'un des cinq membres permanents du Conseil et qui dispose à ce titre d'un droit de veto.
Salam Fayyad, 64 ans, ancien haut dirigeant du Fonds monétaire international, a dirigé le gouvernement palestinien de 2007 à 2013.
Trump avait critiqué la résolution de l'Onu, adoptée en décembre, réclamant la fin des colonies israéliennes. Par la suite, Nikki Haley a promis de défendre les intérêts d'Israël.
Sputniknews et aussi Reuters
La représentante américaine au sein de l'Onu Nikki Haley a déclaré vendredi que l'administration Trump « était déçue » que le nouveau secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, ait envoyé une lettre au Conseil de sécurité annonçant son intention de nommer l'ancien premier ministre Salam Fayyad au poste d'émissaire des Nations unies en Libye, annonce The New York Times.
« Trop longtemps les Nations unies ont injustement penché en faveur de l'Autorité palestinienne au détriment de nos alliés en Israël », a déclaré la nouvelle ambassadrice américaine aux Nations unies, Nikki Haley.
Elle a noté que les États-Unis ne « reconnaissent actuellement pas l'existence d'un État palestinien et n'acceptent pas non plus le signal que cette nomination enverrait au sein des Nations unies ».
« À l'avenir, les États-Unis agiront, et ne se contenteront pas de parler, afin de soutenir leurs alliés », a conclu la représentante des États-Unis, l'un des cinq membres permanents du Conseil et qui dispose à ce titre d'un droit de veto.
Salam Fayyad, 64 ans, ancien haut dirigeant du Fonds monétaire international, a dirigé le gouvernement palestinien de 2007 à 2013.
Trump avait critiqué la résolution de l'Onu, adoptée en décembre, réclamant la fin des colonies israéliennes. Par la suite, Nikki Haley a promis de défendre les intérêts d'Israël.
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