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Une marocaine menace de rentrer en Algérie à cause de la misère

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  • Une marocaine menace de rentrer en Algérie à cause de la misère

    Le Royaume Enchanté?


    Le bœuf est lent, mais la terre est patiente.

  • #2
    En 2016, c'est incroyable qu'une femme est poussée a quitter son pays la ou elle est née! J’espère qu'une solution soit trouvé pour cette bonne femme.
    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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    • #3
      Se baser juste sur une vidéo pour porter un jugement est insuffisant.
      Si je comprend bien cette femme occupe une maison qui ne lui appartient pas, et cela depuis très longtemps. Il a du y avoir un arrêter d'expulsion, mais lui a t'on proposer de la reloger ? On ne sait pas.

      Depuis la régionalisation, les administrations régionales sont entrain de mettre de l'ordre concernant les occupations des sols.
      A mon avis c'est le fait de pondre des lois rétroactives qui doit poser problèmes.

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      • #4
        En 2016, c'est incroyable qu'une femme est poussée a quitter son pays la ou elle est née!
        Rouichda nous sert du réchauffé. Sa vidéo a été posté sur Youtube en 2015.

        Mais de la même manière que vous trouvez incroyable qu'une femme soit poussée à quitter le pays ou elle est née, nous ne comprenons pas non plus ce qui pousse des milliers d’algériens à quitter le pays ou ils sont nés et risquer leur vie pour aller grossir le rang des clandestins en Europe. Rien que dans les centres de séjour temporel d'immigrants (CETI) de Melilla, on ne compte pas moins de 200 algériens, dont 28 familles et 45 enfants ayant fuit l'Algérie et entré illégalement au Maroc pour rejoindre Ceuta et Melilla. Et ce chiffre ne cesse de grossir.
        Dernière modification par hakimcasa, 11 février 2017, 20h45.

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        • #5
          Rouichda nous sert du réchauffé. Sa vidéo a été posté sur Youtube en 2015.

          Mais de la même manière que vous trouvez incroyable qu'une femme soit poussée à quitter le pays ou elle est née, nous ne comprenons pas non plus ce qui pousse des milliers d’algériens à quitter le pays ou ils sont nés et risquer leur vie pour aller grossir le rang des clandestins en Europe. Rien que dans les centres de séjour temporel d'immigrants (CETI) de Melilla, on ne compte pas moins de 200 algériens, dont 28 familles et 45 enfants ayant fuit l'Algérie et entré illégalement au Maroc pour rejoindre Ceuta et Melilla. Et ce chiffre ne cesse de grossir.
          1- Rouichda nous sert du réchauffé. Sa vidéo a été posté sur Youtube en 2015.
          El hogra n'a pas de date.

          2- Ce que j'ai écrit est vraiment sincère et dans aucun cas j'ai essayé de dénigrer les autorités marocaines.Je ne comprend pas pourquoi vous parlez des algériens. Naitek naksa!
          Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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          • #6
            Envoyé par hakimcasa
            Rouichda nous sert du réchauffé. Sa vidéo a été posté sur Youtube en 2015.
            2016

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            • #7
              El hour 1
              T'as le droit de dénigrer l'injustice il est où le problème ?

              Ça fait mal au coeur de voir ces gens essayant de fuir la misère de leur pays colonisé .

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              • #8
                Une marocaine menace de rentrer en Algérie à cause de la misère

                Mouuuuaiiiiiii

                Certains personnes dans le World tarde center ont sauté dans le vide pour échapper au flammes ou à l'effondrement ......

                Comme quoi le désespoir est un très mauvais conseiller .
                " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                • #9
                  wow la fausse compassion qui pullule à fond sur ce topic !

                  za3ma sa vous intéresse le sort de cette femme

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                  • #10
                    Je sais que les marocains du maroc n'ont pas la même mentalités que ceux de France , oui son sort me fait vraiment mal au coeur .

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                    • #11
                      Mouuuuaiiiiiii

                      Certains personnes dans le World tarde center ont sauté dans le vide pour échapper au flammes ou à l'effondrement ......

                      Comme quoi le désespoir est un très mauvais conseiller

                      jebtiha nichane ya ma3lem

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                      • #12
                        sinon, je salue Cell et Spoutnik au passage oeilfermé

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                        • #13
                          En 2016, c'est incroyable qu'une femme est poussée a quitter son pays la ou elle est née! J’espère qu'une solution soit trouvé pour cette bonne femme.
                          il faut urgent lui montrer ça:
                          En Algérie, "logements-ghettos" et précarité nourrissent la violence urbaine

                          Lasse de vivre "la peur au ventre" en raison des heurts entre bandes rivales, Karima, 45 ans, a quitté la cité nouvelle d'Ali Mendjeli, achevée au début des années 2000 en périphérie de Constantine dans l'est de l'Algérie.
                          Cette mère de trois enfants qui préfère garder l'anonymat s'est réfugiée temporairement chez sa belle-famille avec les siens.
                          En Algérie, la violence urbaine est en hausse sensible, nourrie par la précarité sociale, les séquelles de la guerre civile et l'apparition de cités ghettos à la périphérie des grandes villes, expliquent des spécialistes interrogés par l'AFP.
                          En dix ans, raconte le professeur Rachid Belhadj, chef du service de médecine légale au Centre hospitalier universitaire Mustapha Bacha d'Alger, le nombre de personnes consultant son service pour des faits de violence est passé de 2.500 à 6.000 par an.
                          "La violence existait déjà (avant la construction de grands ensembles), mais c'est son utilisation par des bandes organisées dans les quartiers qui nous inquiète", souligne ce médecin, expert au ministère de la Justice.
                          - Précarité -
                          Les cités nouvelles qui ont poussé comme des champignons à la périphérie des villes algériennes ont favorisé la montée de ces violences "qui prennent la forme de conflits entre bandes rivales", relève Nadir Djermoune, professeur d'architecture à l'université de Blida (sud-ouest d'Alger).
                          A Ali Mendjeli, Karima évoque des "batailles rangées" avec des armes blanches y compris des sabres.
                          "J'avais peur que l'on s'en prenne à mes enfants(...). J'ai deux adolescents, je craignais qu'ils ne finissent mal", en plongeant dans la drogue et en laissant tomber l'école, dit-elle.
                          Confrontée à un boom démographique --la population est passée de neuf millions à l'indépendance en 1962 à plus de 40 millions en 2016--, et à un exode rural, l'Algérie a connu une pénurie de logements urbains.
                          Pour mettre fin à l'habitat précaire, le gouvernement a lancé en 2000 un programme de construction de deux millions de logements d'ici 2019 mais ces ensembles "émergent sans logique territoriale ni environnementale", relève M. Djermoune.
                          Ces regroupements de barres d'immeubles de plusieurs étages ne créent pas "d'espace ville" mais des "périphéries territoriales et sociales", déplore-t-il. Le Pr Belhadj évoque des "logements-ghettos".
                          Comme ce fut le cas dans des pays européens, la concentration de populations paupérisées dans des zones dépourvues de services, d'espaces verts et de transports en commun a suscité des tensions.

                          Le relogement d'habitants de bidonvilles "foyers de plusieurs fléaux sociaux a engendré des frictions entre jeunes", dans ces cités, a reconnu le ministre de l'Intérieur algérien Noureddine Bédoui.
                          Dans un pays où un quart de la population a entre 15 et 29 ans, mais où le taux de chômage atteignait 26,7% chez les jeunes de 16 à 24 ans en septembre 2016, le cocktail peut être explosif.
                          Ces groupes "se réunissent autour d'une pratique, le trafic de drogue ou le kidnapping notamment. Mais le lien fondamental qui les unit est une précarité, qui n'est pas que matérielle et qui les place dans un hors-champ de la société (...), dans le vestibule de la criminalité", relève la sociologue Fatma Oussedik de l'université d'Alger.
                          Le trafic de drogue devient "un mécanisme de compensation économique", renchérit le Pr Belhadj.
                          "Ce qui nous fait peur, c'est de passer aux bandes organisées pour le racket, les attaques de banques. Pour le moment, c'est sporadique mais cela devient un moyen de faire face à la crise", ajoute-t-il.
                          Tentant de tirer les leçons des échecs récents, les derniers ensembles en construction tentent d'intégrer davantage de services de base et d'espaces verts.
                          - Séquelles de la guerre civile -
                          Mais, nombre de spécialistes considèrent que cette violence constitue aussi l'une des séquelles de la guerre civile des années 1990 qui a fait 200.000 morts, opposant les forces de l'ordre à des groupes islamistes armés.
                          Une partie de la jeunesse actuelle a grandi durant ces années, et des enfants ont assisté à des actes de violence extrêmes contre leurs proches, souligne M. Belhadj.
                          Cela a entraîné "un traumatisme profond au sein de la population qui n'a pas encore été abordé de manière adéquate", notait le rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à la Santé, Dainius Puras, en mai 2016.
                          Si "le nombre de suicides est en régression, la violence contre soi-même s'est transformée en violence contre autrui",relève M. Belhadj.
                          Il pointe aussi une moindre peur de l'autorité: "Avant (...)un terrain de football était gardé par deux gardes-champêtres pour gérer 500 personnes alors qu'"aujourd'hui il faut 2.000 policier pour gérer 200 personnes".
                          slate

                          et c'est pas du réchauffé..
                          (25/01/2017 )

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                          • #14
                            pour faire du tourisme en algerie...

                            Commentaire


                            • #15
                              sinon, je salue Cell et Spoutnik au passage oeilfermé
                              si tenebre, tbarek Allah 3alik ya khouya

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