Intitulé «Union nord-ouest-centre africaine» (UNOCA), le projet se définit comme «un bloc régional favorisant les échanges humains, culturels, sociaux et économiques» de plusieurs pays africains, indique un document parvenu à ********. Il est question de la première étape d’un plaidoyer censé conjuguer les efforts des Etats du nord-ouest et du centre africain pour l’intégration régionale d’une région «sous-intégrée».
Le document met d’abord en avant les raisons de la création de ce bloc régional, faisant savoir que les pays et les peuples de cette zone «ont beaucoup d’intérêts à se regrouper». Selon les initiateurs de cette proposition, l’objectif est de favoriser la libre circulation des personnes, des biens et des services, renforcer les liens, stimuler l’attractivité et les entrées des IDE et les intégrer dans un réseau, favoriser la croissance et se positionner en bloc pour peser face aux autres groupements régionaux.
Les cinq entités s’inspirent notamment de l’expérience du groupement économique de l’Asie du Sud-Est (ASEAN), de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union du Maghreb arabe (UMA), un regroupement qui «aurait pu avoir plus d’un levier pour l’intégration des pays et le renforcement des échanges interrégionaux».
UNOCA : 27 pays, 573 millions d’habitants et 1 144 milliards de dollars de PIB
L’UNOCA, qui promet d’être une grande zone d’intégration régionale, sera constituée de 27 pays : le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Libye, la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Tchad, la République centrafricaine, le Congo, le Gabon, le Cameroun, le Nigéria, le Bénin, le Togo, le Ghana, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Libéria, la Sierra Léone, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Sénégal, la Gambie, la Guinée équatoriale, la République démocratique du Congo et l’Angola.
Cette union régionale présente d’importants atouts, poursuit le document : avec ses 573 millions d’habitants et ses 1 144 milliards de dollars de PIB, l’UNOCA regroupe plus de la moitié du continent africain en population et en PIB. La croissance de son économie, bon an mal an, avoisine les «5,88% comme taux moyen annuel».
Source: ya.......bi
Le document met d’abord en avant les raisons de la création de ce bloc régional, faisant savoir que les pays et les peuples de cette zone «ont beaucoup d’intérêts à se regrouper». Selon les initiateurs de cette proposition, l’objectif est de favoriser la libre circulation des personnes, des biens et des services, renforcer les liens, stimuler l’attractivité et les entrées des IDE et les intégrer dans un réseau, favoriser la croissance et se positionner en bloc pour peser face aux autres groupements régionaux.
Les cinq entités s’inspirent notamment de l’expérience du groupement économique de l’Asie du Sud-Est (ASEAN), de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union du Maghreb arabe (UMA), un regroupement qui «aurait pu avoir plus d’un levier pour l’intégration des pays et le renforcement des échanges interrégionaux».
UNOCA : 27 pays, 573 millions d’habitants et 1 144 milliards de dollars de PIB
L’UNOCA, qui promet d’être une grande zone d’intégration régionale, sera constituée de 27 pays : le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Libye, la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Tchad, la République centrafricaine, le Congo, le Gabon, le Cameroun, le Nigéria, le Bénin, le Togo, le Ghana, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Libéria, la Sierra Léone, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Sénégal, la Gambie, la Guinée équatoriale, la République démocratique du Congo et l’Angola.
Cette union régionale présente d’importants atouts, poursuit le document : avec ses 573 millions d’habitants et ses 1 144 milliards de dollars de PIB, l’UNOCA regroupe plus de la moitié du continent africain en population et en PIB. La croissance de son économie, bon an mal an, avoisine les «5,88% comme taux moyen annuel».
Source: ya.......bi
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